« Parce qu’il me faut une raison pour vouloir embrasser la femme de ma vie ? » Aussi incroyable que cela puisse paraître, tu rougis. Comme si c’était quelque chose de nouveau, de récent et que tu ne t’attendais pas à ce qu’il te sorte ça. Même si tu sais que t’as en face de toi Jordan Ashley Fisher, aka un des plus grands lovers de cette décennie, voire du millénaire. Mais ça te fait réagir comme une adolescente face à son crush qui vient de lui avouer son amour et, il faut l’avouer, ça fait plaisir à l’âme de se l’entendre redire. Tout comme les sensations sont agréables et tu prends toute la positivité, même si elle est niaise et qu’elle te rend stupide. Tu préfères être stupide qu’une pleurnicheuse. Une journée sans larmes pour l’instant, c’est un jour à marquer au fer rouge! “Peut-être que j’aime juste bien te l’entendre me le répéter.” Tu souffles doucement avec un petit sourire - te répéter les choses ne te fait pas de mal en ce moment.

« I don’t know it’s just that… It feels good. Today. Now. You. » Ce que tu considères comme la vraie raison s’étale sous tes yeux. Appuyé par un nouveau baiser bien plus chaste mais tout aussi long sur ta bouche, alors que ta main va vers Milord, autant pour le caresser que pour t’assurer qu’il ne s’est pas sauvé. Jordan sera capable de ne plus le sentir et de ne pas s’en rendre compte. D’autant que vous êtes en train de vous lécher le museau et de vous regarder avec ces yeux de merlan frit qui vous font oublier le monde extérieur. « Ça faisait longtemps je t’avais pas entendu parler autant d’une traite comme ça. » Ton cœur se serre un peu. Le fait qu’il le remarque te touche. Tu vas devenir émotionnelle s’il continue. « I feel good today. » Nouveau baiser. « I hope you do too. » Tu déglutis tout en passant ta main contre ton oeil, un léger sourire se formant. “Je vais me mettre à pleurer si tu continues.” T’avoue sans le cacher. “I… I think I feel good too. At peace. I’m enjoying it because Merlin always knows how long it will stay like that.” Tu remets ta main sur Milord, le coeur tout gros mais d’amour et d’une tendresse infinie - ça change. “Je sais que rien n’est réglé et que ça le restera sûrement comme ça pour longtemps mais… J’aime bien cette illusion où tout semble redevenu normal.” Ton sourire s’aggrandit. “Sûrement parce qu’Aurora n’est pas là. Mais lui dis pas que j’ai dit ça, hein. Je nierai totalement.” Tu dis avec un petit air complice.

Tu es toute douce et toute tranquille, ce qui est un exploit. Comme si ton corps et ta tête se sont mis d’accord pour se mettre sur pause pendant quelques heures pour t’offrir une petite parenthèse de répit. Ou alors, c’est juste parce que tu as bien dormi et que tu as pu larver sans broncher au lit. Ou parce qu’aussi tu es traitée comme la plus adorable des créatures par Jordan et que ça te met du baume au cœur de le sentir aussi détendu sans avoir l’impression sordide et culpabilisante de l’étouffer sous ton malheur et ta détresse. Un mixte de tout ça. Pourquoi choisir quand tout semble être au vert ?

« Je dirai rien promis. » son large sourire vient s’écraser sur le bout de ton nez alors que le tien s’amuse aussi. De toute façon, Jordan n’a pas d’autres choix que d’être de ton côté, non ? C’est ton partenaire dans le crime quoiqu’il arrive, il est obligé par les lois divines d’aller dans ton sens, de te couvrir si besoin, de te défendre si jamais. Non ? « C’est aussi cette sensation de liberté qui me fait autant de bien aujourd’hui. » “Je vois ça.” Rien que le fait qu’il soit torse poil est un cri du cœur de cette liberté manquée que vous n’avez plus. Tu essaies de ne pas te rappeler que c’est de ta faute, de ton ressort - même si en fait non, ça ne l’est pas mais tu portes encore les stigmates de la victime coupable de faire subir à ses proches les ricochets de son drame vécu. « Et voir tes jolis yeux briller aussi. » “Autre que de larmes ?” T’as le temps de murmurer avant qu’il ne vienne t’embrasser de nouveau.

Ton fiancé bouge et Milord chavire un peu, ce qui te fait légèrement ricaner avant de reprendre la petite créature dans ta main pour déposer un baiser sur ses poils. « Tu peux me remettre de la crème s’il te plait. J’ai pas envie de cramer. » Tu relèves la tête, le sourcil lui aussi relevé, avant d’avoir un large sourire. “Mais avec graaaaand plaisir.” Tu mets Milord de nouveau sur ton épaule avant de prendre le tube. « Tu te baignes avec moi après ? » Tu penches la tête sur le côté. “J’aimerai bien mais…” Tu pointes ton plâtre du menton alors que tu remplis ta main de crème solaire. “C’est moche de me rappeler que je peux pas faire ce que je veux.” Tu lui dis d’un ton léger avant de plaquer la crème sur son joli torse. Oh que tu vas bien la lui mettre, c’est certain, y’a rien de plus plaisant que de pouvoir palper la peau de ton amoureux. “Je serai forcée de t’admirer. Quelle plaie.” T’ajoute avec un sourire de coin alors que tes doigts se baladent allègrement sur lui. Tu te penches pour l’embrasser. “Allez, tourne toi, ma belle petite crêpe.” Que tu dis en l’embrassant de nouveau.

« J’ai des idées pour que tu puisses te baigner sans que ton plâtre touche l’eau. » Tu l’écoutes mais t’es surtout bien perdue dans l’exploration des tatouages qui parsèment son dos. Tu les as déjà vu et revu mais ce n’est pas non plus un endroit que tu as en observation sous le nez constamment. Alors tes doigts le caressent tout en prenant bien soin que la crème pénètre sa peau car ça serait vraiment très fâcheux si Jordan se chopait un coup de soleil, en automne de surcroît. « Tu peux garder les deux jambes dehors et faire la planche genre, mais en restant sur le bord. Je peux te gonfler un matelas ou aller acheter un autre truc flottant pour que tu sois dans l’eau avec moi. Ton joli cul dans l’eau, je m’imagine déjà en train d’aller sous l’eau pour le croquer. » Tu fronces le front car ça te paraît bien trop improbable que ton plâtre ne finisse pas dans l’eau un moment ou un autre. Il suffit d’une seconde d’inattention et bim.

« Mais je suis sûr qu’elle a tout ce qu’il faut en matière de truc qui flotte dans l’eau. Faudra juste fouiller un peu. » Tu lui masses les épaules avec vigueur alors que tu te penches pour embrasser son crâne. “C’est gentil de chercher des solutions, même si je sais que c’est seulement pour pouvoir bouffer mon cul.” Tu dis avec un timbre amusé. “Mais y’a trop de risques de mouiller mon plâtre, j’ai pas très envie. Je serai juste ici. Au pire, je peux toujours y plonger une jambe mais ça fait trop de gymnastique pour ma tête et mon petit corps.” Tu allonges ton buste contre son dos, embrassant sa joue de sa tête tournée, tes mains allant sur loger contre ses hanches, à la limite de son short. “Je t’assure que ça me va très bien de t’admirer patauger et dégouliner d’eau juste pour moi.” Tu susurres à son oreille. “Et tu pourras admirer mon cul dans l’eau plus tard. Il sera toujours là dans deux semaines. Et tout le reste de nos vies.” Tu mords un peu son lobe avant de déposer un baiser dessous.

« Est-ce que je pourrais voir ton cul hors de l’eau ? » Y’a Milord qui commence à grimper sur la tête de Jordan car penchée comme tu l’es, il va finir par tomber de ton épaule, le bougre. Tant qu’il ne s’envole pas très loin, il peut bien gambader là où le cœur lui en dit. D’autant que ses maîtres sont occupés à se mordiller et s’embrasser avec tout cet amour mutuel qu’ils se portent plutôt que de faire attention à lui. « Ton cul dans un legging ou un short serré… » Il y a un petit rire sortant de tes lèvres. Il se fait des films tout seul. A croire qu’il en fait exprès d’occulter dans sa jolie petite tête que tu as un foutu plâtre. Oh que tu aimerai l’oublier, toi aussi, et surtout, faire en sorte que ce ne soit plus qu’un souvenir. Tu as vraiment très hâte. « Je vais me mettre à bander si je continue comme ça. Reste sur moi on est bien là. » Il tente même un geste sur toi, sa main tapotant chaleureusement ta cuisse alors que tu remontes tes bras pour l’encercler avec.

“C’est pas possible non plus de mettre un truc serré quand j’ai ce machin à la cheville. Je vais finir par croire que t’en fais exprès de l’oublier.” A part si, comme à chaque fois qu’un problème s’impose, Jordan te sort une de ses phrases préférées “un problème une solution” ? “Tu pourrai bander juste à sentir mes seins contre ton dos ? J’suis sûre que tu les sens même pas.” Ils sont tellement petits. Petits mais mignons. Parfaits dans les mains de Jordan. Tu papillonnes de baisers sa peau qui est juste sous ton pif avant que tu te relèves, ta main allant taper son cul à lui. “Allez, file dans l’eau, j’ai bien mérité de me rincer l’oeil.” Tu attrapes Milord là où il s’est carapaté sur le transat. “Allez, hop hop hop, file!” T’as aussi envie de t’allonger sur la place qu’il va laisser. Ce qui est à lui est à toi, non ?

« Si si si je les sens mes amours. Continue. » Autant dire que la voix désireuse de son fiancé ne la laisse pas de marbre ; le joli petit oiseau s’amuse à frotter quelque peu sa poitrine sur son dos, avec un petit sourire hilare. Elle a l’impression d’être Phoebe dans Friends, qui pense que sa poitrine peut guérir n’importe quel maux. Avec Jordan, c’est une réalité. Qu’importe les formes qu’elle propose, il saura trouver son bonheur quoi qu'il arrive. C’est toujours aussi plaisant de se sentir désirée de la sorte, jolie et belle même quand l’état général ne permet pas de se voir soi-même tel quel. Birdie n’est pas en état de s’apprécier en se regardant, première fois que cela la répugne autant - non, c’est faux, y’a bien eu quelques années auparavant, un paquet d’années auparavant, où la naïve jeune femme a été fauchée une première fois en plein vol. C’était différent, une autre époque, une autre elle, et un autre mode de guérison aussi. Aujourd’hui, elle est dans une belle maison près de la mer, avec un homme qui l’aime plus que la raison elle-même, des amis qui la soutiennent et une famille aux petits soins. C’est totalement différent, jusqu’aux ressentis internes.

Mais pour le moment, les ressentis internes sont positifs et aussi solaires que le temps, ce qui fait plaisir à constater alors qu’elle admire son fiancé se lever. Elle n’empêche pas sa main lui foutre une nouvelle tape au cul, because you can, avant de s’installer confortablement sur la place réchauffée de Jordan sur le transat tout en calant comme il faut Milord pour ne pas que la créature se dérobe de sa vigilance. « Tu vois bien là ça va ? » Relevant la tête pour poser ses prunelles claires sur lui, elle sourit fort. “Je suis pas devenue bigleuse, hein.” Qu’elle cingle en croisant les jambes entre elles, avant d’apprécier le plongeon puis de l’envier de pouvoir nager et enfin d’admirer quand il s’étire sur ses bras pour sortir. Pour mieux s’allonger sur le bord de la piscine. Tout trempé qu’il est. Birdie s’en mord la lèvre. “T’es beaaaau, my love, I love yoooou!” Elle parle comme une groupie du dernier boyband à la mode tout en tendant une main vers lui, trop loin, trop bas pour qu’elle puisse réellement le toucher. Elle glousse à moitié de sa connerie tout en se mettant sur le côté de son corps pour mieux pouvoir le regarder. “Hey, stranger, you look hot. Give me your number ?” Elle enchaine et ça la grise tellement. Y’a presque un air d’orchestre pour célébrer la victoire de sa légèreté sur tout le reste en ce moment. C’est inexplicable, c’est fou, c’est incompréhensible, mais c’est réel ; “I’m happy to see your gorgeous self.” vraiment. Le jeu l’amuse, l’attraction aussi, l’envie tout autant, les interactions prônent l’adoration mutuelle, ça fait du bien, bordel.

Jordan essaie de faire son difficile mais malheureusement, il semble aussi oublier encore une fois que le rejoindre au sol comme ça n’est pas une chose aisée - et ça te rappelle une fois de plus que t’as vraiment hâte que ce plâtre vire. Tu ne sais pas quand Jordan va appeler l’hôpital pour savoir mais tu sais que tu vas faire le décompte des jours, comme une gosse qui attend Noël avec impatience. Et c’est le cas, tu es très très très impatiente de pouvoir être libre. Totalement et irrémédiablement libre.

« T’as de la chance je le sors pas tous les jours. » Tu arque un sourcil alors qu’il s’approche de toi. “And that’s a fucking shame.” Tu lui as déjà dit à quel point il devrait aimer son corps, parce que toi, t’as les yeux de merlan frit quand tu le regardes évidemment, mais c’est un travail sur soi de longue haleine et ton partenaire a clairement d’autres choses à penser et gérer ces derniers mois voire années pour gérer ce genre de détails. “J’exige de le voir tous les jours. J’ai besoin de ma dose.” Tu lui dis alors qu’il s’arrête pile devant toi, dans toute sa grandeur qui te fait de l’ombre, à toi et à Milord. « You want my number? What will you do with it? » Tu passes ta langue sur ta lèvre alors que tes yeux le parcourent allègrement et sans aucune retenue. “Pranks. And nudes.” Tu te redresses pour embrasser son ventre qui est juste là, tout comme son entrejambe dont tu sais qu’il ne faudrait qu’un petit titillement pour que ça grimpa sévère. Tu souris légèrement en levant la tête vers lui. “I have a lovely fish below my boob. Do you wanna see it ?” Que tu demandes, maligne et soudainement séductrice, une main glissant contre sa cuisse, comme pour l’inciter à venir le voir par lui même. Tu sais ce qui risque d’arriver si vous continuez comme ça et ça ne te pose aucun problème. Bien au contraire, vu l’appétit qu’il t’ouvre juste à être comme ça, là, tout ruisselant.

La tension commence à se sentir, de celles qui sont euphorisantes, douces et bonnes pour l’égo. Les regards sont flatteurs, les gestes sont taquins et il y a peu à peu l’envie qui s’installe dans les yeux des deux participants à ce jeu instauré sans crier garde. Comme une once de normalité dans la tempête, Birdie y fonce droit, tête baissée, car ce calme est une bénédiction face au tumulte qui se passe dernièrement dans leurs vies. Visiblement, aujourd’hui, le seul tumulte à l’horizon serait les deux corps frissonnant l’un contre l’autre de plaisir et de tendresse.

« Oh my god you’re killing me. » Mais avant tout ça, il faut jouer le charme et la sensualité, le jeu et la malice, des armes que l’oiseau n’a pas utilisé depuis bien trop longtemps déjà. Plus de deux semaines, c’est court, pour elle qui papillonne des paupières avec la moue séductrice aussi facilement qu’elle respire. Un fin sourire s’étire sur les jolies lippes de la malicieuse, sachant appuyer là où ça prend pour attraper l’homme de sa vie dans ses filets encore et encore sans jamais se lasser. « Who in the world would reply no to this. I respectfully want to see your boob. I mean, your under boob. » Oh oh, son fiancé vrille sévère ; y a les crocs qui pourraient presque se voir si elle plisse un peu les globes, tout ce petit manège l’amusant autant que ça la flatte… Et que ça la réveille plus bas. « Is it special for me or are you flashing people like that quite regularly ? » Sa main dans la chevelure blonde, l’oiseau se sent pourtant en position de force. Elle a l’arme utile quasiment sous son nez, il lui faudrait juste déplacer sa main un peu plus au nord pour qu’il s’abandonne complètement à sa merci. Mais elle oublie pas la question. “Oh no, this one is only for you, baby.” Qu’elle sussure. “You should get on your knees or you won’t see a thing with that giant height of yours.” Qu’elle ajoute, le sourire amusé, alors que tranquillement, elle enlève sa main de lui pour remonter sous son haut à elle. “Because it’s right… here.” L’oiseau ne soulève pas entièrement, elle garde sa poitrine sous le tissu, mais la ligne dessous, à leur naissance, se voit aussi parfaitement que ledit poisson tatoué à cet endroit. “You can touch it. It won’t bite, I swear.” Elle laisse flotter quelques secondes avant de s’étouffer un petit ricanement. “But maybe I will.” C’est qu’elle se sent drôle, la gamine. Légère. Putain que ça fait du bien.

Docile comme un affamé devant sa pitance, ton fiancé se met à genoux devant toi, rééquilibrant les forces de l’avoir à ta portée de visuel, aussi beau et dégoulinant d’eau qu’il est. Ta main se faufile dans ses cheveux que tu caresses tendrement, le cœur palpitant devant cette image si belle qu’elle étouffe toutes les mauvaises ondes de ton être juste par ce seul portrait. Il est tellement charmant, et charmeur, c’est une plaie qu’il ne se voit pas comme toi tu le vois. Mais à chacun son fardeau, tu as bien du mal à voir le bien en l’humanité en ce moment. En tout cas, se rendre à genoux devant toi te fait sourire autant que ça t’attendrit, cette confiance entre vous lui permettant de se montrer soumis aussi facilement.

Puis c’est ta peau qui se soumet à ses caresses alors qu’il vient taquiner le poisson incrusté dans ta peau - en son honneur à lui seul, Fisher que tu ne porterai jamais sur tes papiers mais près de ton coeur, comme doit être sa place de toute façon. Un soupir est lâché quand sa main vient pleinement prendre l’entièreté de ton globe alors que son visage se lèche les babines dans une perspective que tu imagines des plus intenses. « If you tell me to stop you’d be so cruel. » Un petit sourire prône sur ton visage ; c’est dangereux de sa part de te dire, il devrait savoir mieux que ça. Il devrait te connaitre assez pour savoir que tu es bien capable de faire l’inverse de ce qu’il veut juste parce que ça t’amuse. Et de l’amusement, tu l’as bien mérité. Aujourd’hui semble être le jour, où tout est au vert, tout est dégagé, tout semble aller dans le meilleur des mondes.

« Can I suck your tits ? » Tes prunelles scrutent les siennes, son envie palpable aussi bien par la voix que par les gestes. « I’m craving your body… » Il joue avec ton sein et toi, tu plonges une nouvelle fois tes doigts dans ses cheveux trempés. “First…” Tu commences à dire en approchant ton visage du sien. “Va remettre Milord dans sa cage. Je serai pas sereine si je sais pas où il est.” Ton expression est sérieuse car la requête l’est tout autant. Maman poule veillant sur ses petits, tu ne le laisseras pas faire quoi de plus si ce point là n’est pas réglé. Car une fois ses lèvres sur ta peau, sur ta poitrine, tu sais ce que ça va enchaîner ; un tourbillon de plaisir passionnel où vous perdrez tous les deux la tête et le sens des priorités. “Et après, tu pourras faire tout ce que tu veux.” Que t’ajoute dans un souffle, comme une confession, contre ses lippes avant de les embrasser d’un baiser approfondi, impliquant la langue et les dents, la promesse que la journée ne peut qu’aller de mieux en mieux. Et que oui, il pourrait profiter de ton corps autant qu’il le désire.