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 joamie + now you're free

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptyVen 25 Mar - 20:05

all this bad blood
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Ne pas accepter les compliments de l'autre faisait partie de leurs points communs. L'une parce qu'elle avait toujours manqué de confiance en elle, l'autre parce qu'il avait été rabaissé pendant toute sa vie. Mais aucun des deux ne se lassait de faire rougir les pommettes de l'autre. "Ce ne sont pas des bêtises." dit-elle tout bas, avec sourire des plus rieurs. "Tu es beau, séduisant, même... sexy." Elle haussa un sourcils et ne manqua pas continuer. "Mais aussi talentueux, avec un sourire ravageur, et ce regard, que tu sais merveilleusement bien utiliser quand tu veux avoir ce que tu convoites. Sans parler du charme que tu dégages." Des termes usuels, dirait-on. Mais ils les employait si peu de manière verbal. Ces mots-là étaient surtout dit par le regard, les caresses. Les verbaliser rendait la chose assez étrange. "Il est aussi sous le charme de son papa. Parce qu'il sait que maman a raison." rétorqua-t-elle malicieusement. Elle précisa que les parents de Joanne comptait récupérer leur petit-fils en début de soirée. Jamie voyait juste, c'était loin de leur déplaire. "Pour eux, c'est tout bénef'." dit-elle en riant. "Ils peuvent le bichonner pendant un certain temps. Et je pense qu'ils savent qu'on a besoin de temps pour nous deux. Ne penser qu'à nous tout en se disant que Daniel est entre de bonnes mains." Jamie était pour se simplifier le cours de la soirée, en se gavant effectivement de loukoums, ou commander à manger. Les yeux de la jeune femme lorsqu'il mentionna la nourriture asiatique. "J'adorerai manger chinois ce soir !" s'enthousiasma-t-elle. Mais l'excitation s'effaça rapidement lorsqu'elle allait enfin lui parler de cette question qui la tracassait temps. Elle se disait qu'au moins, ce serait fait, qu'elle n'aurait plus d'interrogations à se faire à ce sujet. Ce n'était que pour la rassurer. Jamie ne laissa pas le silence régner trop longtemps, en venant chercher le regard bleu de sa fiancée, et lui assurait que tout ce que Marie avait dit était bien faux. De ses doigts, il dégageait quelques mèches de cheveux de son visage, lui assurant que sa mère avait perdu la raison. Il l'embrassa longuement, et tendrement, comme pour clore ce sujet, et lui garantir que ses sentiments pour elle n'avaient pas changé. Ses paroles la touchèrent. Il voulait toujours l'épouser. Joanne le regarda très amoureusement. "Je t'aime." lui dit-elle, avec un sourire des plus soulagés. Elle lui confia Daniel, Jamie tenant à lui faire découvrir l'instrument. La jeune femme les regardait faire tendrement. Le petit sursaut que son garçon eut dès qu'il appuya sur la première était tout simplement adorable. Joanne rit doucement en caressant sa petite tête. "Peut-être qu'il deviendra un artiste comme son papa." dit-elle en posant sa main sur le bas du dos de Jamie. Elle le caressait juste avec le bout de ses ongles. Daniel, quant à lui, essayait d'appuyer de lui-même sur les touches du piano. Mais il n'avait pas encore assez de force dans ses petites mains pour parvenir à faire un peu de bruit. Alors Joanne appuya là où ça l'intéressait. Il sursauta une nouvelle fois, puis regarda sa mère en lui faisant un grand sourire, et même un rire. Joanne rit avec lui. Ca la rendait tellement heureuse de le voir s'épanouir. Ils restaient encore tous là pendant un bon moment, s'amusant avec le piano. Jusqu'à ce que la sonnette retentisse. La jeune femme se leva pour aller ouvrir. Ses parents étaient déjà là. Elle les salua en les enlaçant, tandis que Jamie restait avec leur garçon près du piano. "Il adore la musique." leur expliqua-t-elle, avec un sourire ravi. Jane fut particulièrement attendrie en les voyant. "Je vous ai un préparé un sac, avec des affaires, je vais vous le chercher." Joanne grimpa rapidement à l'étage pour récupérer le sac à bandoulière spécialement destiné pour les affaires du bébé. Des couches, des habits de rechange, sa peluche préférée, des biberons... Rien ne manquait. Joanne était particulièrement organisée de ce côté. Lorsqu'elle redescendit, Jamie avait également saluer ses futurs beaux-parents et commençait déjà à habiller leur petit bout de chou. "On vous le ramène demain matin, sinon. J'aurai peur qu'il ne se réveille avec le trajet, et tout ça." dit Jane en le prenant dans ses bras. Joanne leur sourit, sachant pertinemment que c'était aussi une bonne chose pour eux. "Vous avez toujours le siège auto ?" Ses parents lui assurèrent que oui. Ils finirent par partir avec tout ce qu'il fallait, Joanne embrassa son garçon pour lui dire au revoir, et quelques mots d'amour qu'elle lui chuchota. Ils n'étaient plus que tous les deux lorsque la porte d'entrée s'était refermée.

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptySam 26 Mar - 13:27


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Ne laissant pas passer cette occasion de me rendre rouge écarlate, Joanne rajoute une couche de flatteries sur la précédente, me faisait sourire et rire nerveusement en secouant négativement la tête. N'importe quoi. Bien sûr, elle range le bébé qui ne peut pas exprimer son avis du côté de sa mère. Je les embrasse tous les deux. Ils sont si adorables, déjà si complices, et tellement beaux l'un avec l'autre. « A deux contre un, je n'ai plus qu'à accepter tous ces gentils compliments. » dis-je finalement pour capituler, les deux mains en l'air faisant cesser le feu. Je pense que je sais ce que ma fiancée essaye de faire, me valoriser en listant tout ce que j'ai à mon avantage maintenant que le compte en banque est vide -et que je l'ai toujours considéré comme une de mes rares armes me permettant d'avoir confiance en moi, sans cela je me sens bien petit. Ce n'est pas dit qu'elle y parvienne tout de suite, mais l'intention est louable. Je vais avoir besoin de bon nombre de ces petites intentions pour me relever. Désormais je peux volontiers croire ceux qui me disent de prendre soin de moi. Le truc, c'est que je ne peux plus me le permettre comme avant. Mais je pense que cette petite soirée pourra me faire du bien. Juste ma fiancée et moi. « Alors chinois ça sera. » dis-je face à l'enthousiasme de Joanne. La seconde suivante, je me rends compte que je ne pourrai pas payer la livraison et que c'est elle, que l'absence de dépenses a pu faire économiser bien des sous, qui nous offrira le dîner. Vraiment, me faire à tout cela ne sera pas simple. Rien que d'avoir particulièrement hâte d'être au jour de paye pour ne plus être complètement sur la paille est particulièrement bizarre. Je dois arrêter de penser en chiffres. Ou plutôt, je ne dois pas commencer. Je balaye rapidement les craintes de ma belle au sujet des propos de Marie. Les dires d'une femme ayant sombré dans la folie ne devraient pas avoir d'importance pour nous et ne doivent pas nous hanter après que le chapitre soit clos. Pour nous changer les idées, je joue avec Daniel et le piano. L'instrument lui plaît beaucoup, semble-t-il, et ses petites mains sans force essayent de s'abattre sur une touche en vain. Alors quand la note résonne à l'aide de sa mère, le revoilà qui bondit sur place. « Ou qu'il sera un petit passionné d'Histoire comme sa maman. » je rétorque à Joanne. Le temps file pendant que nous jouons tous les trois, ne nous lassant pas de faire rire notre fils qui s'amuse et s'étonne d'un rien. Parfois, son visage se fige, très concentré, pendant que son cerveau emmagasine toutes ces nouveautés ou lorsqu'une note ne lui plaît pas vraiment. Puis il lance une voyelle en l'air qui ne veut dire quelque chose que pour lui. Il n'applaudit pas vraiment quand quelque chose lui plaît, mais il secoue un peu ses bras avec enthousiasme. Il est adorable. Il commence à se fatiguer quand on frappe à la porte. Sa petite tête ne tient plus vraiment droite toute seule -il faut dire que c'est un sacré effort pour lui, et que tout ce nouveau savoir le fatigue. Je laisse Joanne aller ouvrir tandis que je cale Daniel dans mes bras et le berce un petit peu comme pour le féliciter d'être un bébé curieux et joyeux qui a bien mérité une sieste. « Tu ne devais pas rentrer dimanche soir ? » demande Jane une fois que je viens près d'eux. « J'ai pu écourter mon séjour, je suis rentré dès que j'ai pu. » J'enfile sa petite veste à Daniel, puisqu'il fait de plus en plus frais en fin d'après-midi, et une paire de chaussettes sur ses pieds nus en espérant qu'elles survivent au trajet. « Ca me permet de récupérer un peu de la fatigue du décalage horaire. » Et du reste. Mais pas besoin de le citer. Rentrer dimanche soir m'aurait fait enchaîner sur le lundi au travail immédiatement, et je pense que la semaine aurait été des plus longues. « Tu as une petite mine, oui. Reposes-toi bien surtout. » Je la remercie d'un faible sourire. Joanne revient, confie tout le nécessaire à ses parents, puis nous embrassons notre petit avant qu'il ne soit emporté par ses grands-parents. Quand la porte se ferme, j'ai un petit pincement au coeur. « C'est bizarre mais, depuis qu'il est né, je ne peux pas m'imaginer revenir à un temps où il n'était pas là. » Comme s'il n'existait plus vraiment de moment passé ou futur dont il ne ferait pas partie. Daniel s'est immédiatement imposé comme le centre de l'univers. Il est notre évidence désormais. « Il me manque à chaque fois. » j'avoue avec un petit sourire amusé. Même si je sais que je le revois le soir, il peut me manquer au milieu de la journée de travail. Il sera de retour demain, mais je sais que j'aurai une pensée pour lui, me demandant si tout va bien. Je me détourne enfin de la porte d'entrée et m'approche de Joanne avec un sourire malicieux. Je la saisis par la taille et la soulève de manière à ce que ses jambes s'enroulent autour de moi. Après quelques pas, je la dépose sur l'îlot de la cuisine et l'embrasse longuement. « Mais pour ce soir, j'ai Maman tout pour moi. » je murmure au bord de ses lèvres avant de les capturer de nouveau.

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptySam 26 Mar - 16:41

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Jamie avait raison, chaque séparation était difficile. Et on ressentait vite ce manque une fois que Daniel était loin d'eux, pour une raison ou pour une autre. Cette sensation avait certainement du s'accentuer depuis qu'il avait été enlevé. Mais Joanne savait que ses parents étaient dignes de confiance et qu'il prendrait soin de lui comme il le fallait. La première séparation avait été la plus difficile pour elle, mais chacune la marquait tout de même. Elle pouvait comprendre que son fiancé le ressente encore davantage, étant donné qu'il ne le voyait pas à longueur de journée en semaine. Une fois que les parents de la jeune femme étaient partis, il exprimait ce sentiment de vide, dès que Daniel n'était pas dans les parages. Il était devenu le centre de tout depuis le jour de sa naissance. "C'est parce que c'est le plus précieux des bébés. Notre petit miracle." lui dit-elle tout bas en le regardant tendrement. Elle posa ses mains sur ses hanches et lui sourit. "Le fruit de notre amour, la preuve de ce que l'on est capable de faire." Jamie s'approcha ensuite d'elle avec un regard malicieux qui voulait en dire long. Il la souleva du sol et elle entoura sa taille avec ses jambes. Il l'emmena ainsi jusqu'à l’îlot central de la cuisine, où il la déposa et l'embrassa longuement. Joanne répondit à son baiser avec tout autant d'amour. Jamie comptait bien profiter de sa belle pour le reste de la soirée. Elle sourit, gardant ses lèvres proches des siennes. [color=#006699]"Ne sommes-nous pas sensés manger quelque chose avant de considérer ce genre de choses ?"[color] dit-elle tout bas avec un rire nerveux. La dernière fois qu'il l'avait ainsi installé sur l'ilôt, ils y avaient fait l'amour. Assez intensément, selon les souvenirs de la jeune femme. Joanne avait très envie de lui. Elle voulait mettre derrière elle tous ces événements, vivre enfin pleinement de leur amour, en sachant qu'ils n'avaient pas ce petit être sur qui veiller. Elle admirait les traits de son visage, passait le bout de ses doigts dessus avec délicatesse. Ses lèvres effleuraient la peau de sa joue, l'arête de son nez, ou déposait des baiser là où elle le pouvait. [color=#006699]"Mon amour..."[color] lui chuchota-t-elle tout bas, en continuant ses gestes d'affection. Elle ne se lassait d'admirer ses traits, de les découvrir et les redécouvrir, qu'importe s'il trouvait son visage vieilli, ou les quelques cheveux qui étaient apparus. Elle le trouvait toujours aussi beau, ne lui trouvant aucun défaut. La belle blonde glissait ensuite ses mains sous son tee-shirt, tout en l'embrassant tendrement. "Je n'ai pas très faim pour le moment." lui souffla-t-elle, les yeux plus que malicieux. Elle souleva doucement le t-shirt de Jamie afin de le lui retirer. Joanne replia un peu ses jambes pour qu'il se colle à elle. Elle aimait tellement sentir sa chaleur contre elle, la douceur de sa peau. Comme envoûtée, ses baisers se firent de plus en plus langoureux sans qu'elle ne le veuille vraiment. Elle cherchait certainement à effacer ces mauvais souvenirs, faire en sorte que tout reparte. Qu'il comprenne qu'elle l'aimait toujours malgré tout ce qui pouvait le travailler, même si son égo en avait pris un coup et qu'il était tombé de bien haut. Elle ne lui en tenait pas rigueur, ce n'était pas pour son argent ni pour son statut qu'elle était tombée amoureuse de lui. Joanne savait que les premiers mois allaient être compliqués, mais elle savait aussi qu'ils allaient s'en sortir, qu'ils étaient tous les trois bien plus forts que les vices et les coups bas d'Edward Keynes. Ses lèvres glissaient doucement le long de sa mâchoire, de son coup. Elle sentait son coeur s'accélérer une vitesse folle, sa respiration devant s'adapter à ce rythme effréné. Joanne continuait d'embrasser, de mordiller la peau au même niveau, alors que ses doigts passaient sur son dos. Au bout de quelques minutes, elle redressa son visage pour toucher à peine ses lèvres. Ses yeux regardaient ceux de Jamie, se demandant s'il en avait autant envie qu'elle.

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptySam 26 Mar - 17:41


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A voir Daniel, Joanne et moi sommes capables de belles choses. Nous ne pourrions pas rêver d'un fils plus parfait, d'un meilleur mélange de nos deux êtres. Le fruit de notre amour. Cette partie partie de nous qui s'en va à chaque fois qu'il s'éloigne de nous, et qui laisse un peu mélancolique pendant quelques minutes. Dans le fond, nous sommes tous les trois liés les uns aux autres ainsi. Je souris en coin, songeant toujours un peu aux fois où j'avais la bêtise de dire que je n'aurai pas d'enfants. Je n'aurais pas été complet sans cela. Cela fait partie de qui je suis vraiment, de qui je dois être. Un père pour Daniel, un mari pour Joanne. Voilà ce qui me définit. Maintenant que le petit est entre de bonnes mains pour la soirée, il n'y a plus qu'elle et moi. Sans perdre de temps, j'installe la jeune femme sur le meuble central de la cuisine. Il a déjà connu nos ébats, je m'en souviens comme si c'était hier. A vrai dire, il ne reste que peu d'endroits dans la maison qui ne les ait pas subits désormais. J'arque un sourcil à la question de Joanne, un sourire amusé au coin des lèvres. Certes, nous avions parlé de commander à dîner. Mais il est encore un peu tôt, nous avons le temps. Et puis, il n'y a pas de loi qui régisse l'ordre des événements. « Pourquoi donc ? Est-ce que cela serait plus raisonnable ? » je rétorque en appuyant tout particulièrement sur le dernier mot. Manger, se mettre un film, se coucher, faire l'amour pudiquement puis se souhaiter une bonne nuit comme le premier couple plan-plan venu. Non, nous avons la soirée, la nuit, et toute la maison rien que pour nous. Nous pouvons en profiter comme nous l'entendons. Pendant que Joanne parcours mon visage dans le détail, m'embrassant ça et là, mes doigts frôlent sa taille, ses hanches, ses cuisses. Je ferme un instant les yeux pour mieux sentir le souffle de ma belle sur ma peau, ses lèvres qui chérissent ces traits qu'elle aime tels qu'ils sont. Je réponds à ses baisers, en dépose sur sa joue, sa tempe, son front, sa mâchoire. Nous nous cherchons avec tendresse ainsi pendant quelques minutes. Jusqu'à ce que les mains de ma fiancée se glissent sous mon t-shirt, ayant en l'idée de me l'enlever. Je lève les bras sans me faire prier et la laisse faire. Une pression de ses jambes me garde bien contre elle. D'un bras, je la serre un eu plus contre moi, colle son buste au mien, tandis que j'attire son visage plus près d'une main posée sur sa nuque. Les baisers langoureux trahissent les premières étincelles d'un désir commun. De quoi réveiller une flamme qui ne s'éteint jamais vraiment. Saisissant finalement la tête de Joanne à deux mains, délicatement, je goûte ses lèvres avec plus de fougure, je cherche sa langue avec envie. Le regard que nous échangeons en dit long. « Dites-moi... » je murmure tout bas, gardant ce sourire malicieux et complice, et faisant glisser mes doigts le long de sa silhouette, jusqu'en bas de sa robe. Mes mains remontent en dessous, à même sa peau, sur la peau douce et chaude de ses cuisses puis de ses fesses. « Quels sont les endroits qui n'ont pas encore été testés et approuvés dans cette maison ? » Il doit bien en rester quelques uns que Joanne aimerait inaugurer ce soir, il ne faudrait pas passer deux fois sur l'îlot de la cuisine, cela serait bien trop dommage. Il y a sûrement le canapé, pour ne pas aller trop loin, ou même la nouvelle table de salle à manger. Il y a assurément la piscine qui manque à notre liste. Tout un tas de possibilités. Ma langue humidifie mécaniquement mes lèvres, ce qui suffit à comprendre mon envie, et mon regard ne cesse de dévorer ma fiancée, toujours si belle et sensuelle malgré elle.

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptySam 26 Mar - 18:35

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Raisonnable. Ce mot qui les avait tant bloqué au début de leur relation. Alors qu'ils avaient envie de l'un l'autre, qu'ils voulaient franchir le pas, mais il y avait cette façade qui faisait qu'ils pourraient se mêler à la population lambda. Cette sorte de loi qui s'imposait pour être normal. Mais ils avaient vite compris que ce n'était pas pour eux. Ils savaient qu'ils voulaient aller à leur rythme et s'aimer comme bon leur semblait. C'était la formule qui leur correspondait, et qui leur réussissait. Beaucoup penseraient que c'est malsain, que leur relation n'était pas stable, mais pour une fois, Joanne s'en fichait bien. Elle était éperdument amoureuse de lui, et c'était tout ce qui comptait.  Mais depuis que Daniel était né, ils étaient un peu plus limités dans l'ensemble, ce qui les forçait en quelque sorte à rentrer dans les rangs. Avoir une soirée rien que pour eux était une aubaine. "Je crois que je n'ai pas pas envie d'être très raisonnable avec toi, ce soir." Ils étaient seuls dans cette grande maison, ils pouvaient monopoliser tout cet espace et en faire ce qu'ils veulent, personne ne les verrait. Leur bulle s'agrandissait jusqu'à ces murs, créant un univers qui ne leur appartenait qu'à eux. Ils profitaient de l'un l'autre avec des gestes légers et délicats, cherchant le contact physique. Une douceur comme s'ils se connaissaient à peine, qui allait certainement vite se contraster par la suite. Jamie était particulièrement joueur, ce qui surpris agréablement la jeune femme. Malgré la fatigue et tous ses malheurs, il se comportait toujours de la même façon avec elle. Elle sentait ses mains remonter sous le tissu pour qu'il vienne saisir ses fesses, ce qui arracha un soupir envieux à la jeune femme. Il jouait avec elle, lui demandant quelle pièce mériterait d'être baptisée de leur manière. Elle rit doucement. "Eh bien, il y a tout ce nouveau salon." dit-elle en se mordillant la lèvre inférieure, venant ensuite prendre la sienne entre ses dents. "Mais pas pour tout de suite." lui dit-elle tout bas. La jeune femme descendit de l'îlot central, ne quittant pas un seul instant son regard, malicieux à souhait. "D'abord, nous devrions dans un endroit où je pense que les sous-vêtements que je porte, et que je pense que tu n'as pas encore vu, serait mis en valeur avec la lumière et le reflet de l'eau." Facile à deviner  où elle comptait aller. Elle l'embrassa à plusieurs reprises. "A moins que ce genre de choses ne t'intéresse pas." dit-elle pour le taquiner. La jeune femme commença à faire quelques pas en arrière, le regard malicieux à souhait, et pétillant comme jamais. "Peut-être que tu devrais venir avec une bouteille de vin et deux verres à pied, on aura peut-être un peu soif au bout d'un moment." Elle rit avec légèreté, et, pour jouer avec lui jusqu'au bout, la belle blonde commençait à faire glisser la fermeture éclair de sa robe avant de passer par la porte de la baie vitrée et filer d'un pas léger vers la piscine. Il faisait toujours chaud déjà, à la base dans le poolhouse. Avec le soleil qui commençait à tomber, les lumières tamisées de la pièce, tout était propice pour bien démarrer leur soirée à deux. Joanne commença à retirer sa robe et à la poser sur l'une des chaises, laissant apparaître un ensemble de lingerie qu'elle n'avait pas pu mettre depuis le début de sa grossesse. Elle se l'était achetée juste avant, mais ayant pris trop de hanche et de poitrine, elle n'osait plus s'essayer à rentrer dedans, jusqu'à ce jour là. Et vu ce qu'ils avaient prévu de faire de leur soirée, c'était une occasion parfaite. Sa pudeur commençait peu à peu à s'envoler, même si cela remontait à des semaines, la dernière fois qu'ils avaient couché ensemble. La belle blonde réajusta un peu l'ensemble, s'avouant être un peu nerveuse. Elle avait hâte de retrouver cette confiance en soi lorsqu'ils n'étaient que tous les deux. Qu'elle puisse à nouveau se donner à lui sans craindre son regard, parce qu'elle avait compris qu'il ne faisait que la dévorer des yeux. Elle réajustait un peu ses boucles blondes, restant debout, au bord de la piscine, n'ayant alors même pas remarqué que Jamie venait tout juste de la rejoindre.

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptySam 26 Mar - 19:21


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Pour cette fois, sortons des sentiers battus. Un élan joueur est lancé et Joanne semble être d'humeur à être de la partie. Elle évoque d'abord le salon comme terrain de jeu, puis se ravise. Je plisse les yeux, cherchant à savoir ce qu'elle a derrière la tête, mais elle reste secrète le temps de descendre de son perchoir et de s'éloigner un peu de moi avec ce regard malicieux qui me fait toujours autant d'effet. Je ne sais pas si c'est l'idée de la piscine ou l'évocation d'une lingerie sur laquelle je n'aurais toujours pas porté les yeux qui me fait sourire, mais la jeune femme arrive à animer ma curiosité et attiser un peu plus mon envie. Quitte à profiter de la soirée, autant le faire bien, et elle propose d'accompagner l'escapade dans le jardin d'une bouteille de vin. « Vos désirs sont des ordres. » dis-je humblement avant qu'elle ne file à travers la baie vitrée, la fermeture éclair de sa robe ouverte de manière à me laisser voir son dos jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans la verrière. J'entreprends de nous trouver une bouteille d'un cru blanc qui me paraît bon -mais je ne me suis toujours pas transformé en connaisseur- ainsi que deux verres à pied. Puis je la rejoins près de la piscine, la prenant en flagrant délit de coquetterie. Je m'avance jusqu'à trouver une petite table entre deux transats sur laquelle poser le vin. Pour autant, mon regard a bien du mal à se détacher de Joanne. Elle avait raison, les reflets de la piscine mettent en valeur l'ensemble. Enfin je m'approche d'elle, et pose mes mains sur ses hanches. « Quelle magnifique créature. » je murmure avec un sourire, frôlant l'arrête de son nez et ses lèvres. Je l'attire jusqu'à l'une des chaises longues ; je m'assois dedans et invite la jeune femme à s'installer à califourchon sur mes jambes. « Je ne peux pas t'enlever ça tout de suite, non... » Du moins, je dois d'abord le lui retirer avec les yeux, et c'est ce que mon regard se plaît déjà à faire. La déshabiller, de haut en bas. La dévorer avec une envie qui ne se cache pas. L'admirer avec amour, trouvant chaque centimètre carré de son corps absolument parfait. Je ne me lasse pas de la contempler ainsi. Cela la gêne toujours un peu, mais elle supporte bien mieux mon regard qu'au début de notre relation. A ce moment là, tout la faisait rougir, la mettait mal à l'aise. Elle se cachait autant que possible. Désormais, elle semble se plaire à me réserver ce genre de surprises -qui sont toujours grandement appréciées. A attirer ce regard vers elle, et attirer l'éclat envieux qui le fait briller. La jeune femme me fait toujours hésiter entre l'admirer comme une pièce de musée, sans y toucher, comme si elle était la chose la plus belle et précieuse qui soit et que je ne mérite pas moi-même d'atteindre, ou la dévorer toute entière, parcourir la moindre parcelle de sa peau, la faire mienne et l'assimiler complètement. Le second choix l'emporte toujours, néanmoins, cette fois-ci, plus longtemps que d'habitude, je prends le temps de n'être qu'un passionné devant un chef d'oeuvre. J'observe avec attention ces clavicules dessinées d'une main de maître, le galbe de sa poitrine parfaitement mise en valeur, la courbe délicate de ses hanches, ses jambes joliment esquissées. Lorsque je suis contenté, je me redresse un peu pour coller son buste au mien et atteindre ses lèvres. Après quelques caresses tendres s'échangent des baisers bien plus passionnées, se croisent des langues envieuses, se forment des mordillages subtils. Je la tiens fermement dans mes bras, je ne la laisserai m'échapper pour rien au monde. Mes baisers s'exilent sur son cou, le dévorant avec passion, tout comme ses épaules, et tout le haut de sa poitrine qui sont flattés avec soin pendant que mes mains empoignent ses cuisses ou ses fesses. Alors seulement, d'un geste discret, je dégrafe son soutien-gorge. Et puisqu'il ne faudrait pas se priver d'une beauté aussi délicieuse, mes lèvres s'aventurent sur ses seins jusqu'à ses mamelons cette fois.

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


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Comme elle aurait du s'y attendre, Jamie était sous le charme de ce qui se présentait devant ses yeux. Il avait sagement écouté ses consignes en ayant rapporté une bouteille de vin de blanc et deux verres pour pouvoir le déguster. Elle sourit timidement, sans pour autant dissimuler avec ses mains ses parties les plus intimes. Mais elles étaient jointes. Le bel homme déposa la boisson sur une petite table qui se trouvait entre deux transats avant de s'approcher de sa muse. Ou plutôt, comme il le dirait, de cette sublime créature. Ses mais déposés surs ses hanches dénudés, il la flattait de très légères caresses. Il l'invita à s'installer sur l'une des chaises longues. Joanne se mit à califourchon sur lui, comme il le désirait. Il la dévorait du regard comme il pouvait l'admirer. Comme si c'était la plus belle chose qu'il n'ait jamais vu. Il osait à peine la toucher, il n'y avait que ses yeux verts pour la contempler dans le plus grand des silences, parce qu'il n'avait rien à dire. Joanne avait l'impression que c'était ainsi qu'il se ressourçait, en redécouvrant le corps de celle qu'il aimait le plus au monde. Il ne voulait pas la déshabiller, pas encore, désireux de profiter de cette lingerie qui mettait ses formes féminines en valeur. Au fond, elle adorait lui plaire, ainsi. Ce n'était pas grand chose, et elle ne tapait pas dans l'originalité, mais il ne semblait pas s'en lancer. Il prenait plus de temps que de coutume, et elle lui en laissait d'autant qu'il lui plairait. Elle glissait parfois ses doigts dans ses cheveux pendant sa contemplation. Elle se disait qu'il l'idéalisait beaucoup trop. En l'incitant à coller son torse avec le sien, Jamie passait à l'étape supérieure. Jamie prit d'assaut ses lèvres, le baiser gagnait en passion très rapidement, Joanne venait jouer avec sa langue, faisant parfois glisser ses dents dessus. Elle ne pouvait s'empêcher de soupirer de plaisir, parfois même de gémir de façon à peine audible. La bouche de Jamie allait ensuite se perdre au niveau de son cou. Comme d'habitude, Joanne penchait la tête sur le côté, posant l'une de ses mains sur sa nuque et appuyant très légèrement dessus, comme si elle ne voulait pas qu'il s'arrête. Contrôlé par le désir qu'il avait pour elle, il lui mordait parfois légèrement la peau, ce qui la faisait totalement fondre. Puis il continuait à descendre encore, pendant que ses mains empoignaient fermement la chair de ses fesses. Elle perdait pied. D'un geste discret, il dégrafa son soutien-gorge et s'en débarrassa. De manière totalement inattendue, Jamie apporta ses lèvres jusqu'à ses seins. Endroit qu'il ne s'était pas permis de toucher depuis la naissance de Daniel, et du coup, depuis bien plus longtemps que ça. Et, comme chaque partie de son corps, les sensations étaient décuplées. L'effet fut immédiat. Dès le premier contact, Joanne gémit et tressauta légèrement par plaisir. Elle se redressa sur ses genoux pour qu'il puisse continuer de chérir sa poitrine d'autant qu'il le voulait dans une position plus confortable. Elle voudrait tellement qu'il s'y attarde pour rattraper le temps perdu, qu'il s'approprie à nouveau cette partie de son corps. Chaque contact avec ses lèvres, sa langue, ses dents, l'excitait un peu plus. La jeune femme se sentait fébrile et elle avait l'impression que son coeur explosait dans sa poitrine. Elle aimait tellement lorsqu'il s'attardait ainsi sur ses seins, comme s'il cherchait à continuer de la dévorer et de ne faire plus qu'un avec elle. Joanne prit l'une de ses mains, afin que celle-ci prenne soin du sein qui n'était pas chéri par sa bouche. Il lui était déjà arrivé de se demander si elle pouvait avoir une montée de lait, lors de ces moments là, lorsqu'il stimulait ainsi ses mamelons. Elle n'avait pas trouvé de réponses claires à ce sujet. Elle se doutait bien que Jamie ne lui porterait pas préjudice s'il y avait un petit accident de ce type durant leurs rapports. Son bassin commençait à faire quelques mouvements qui trahissait le désir qu'elle ressentait pour lui. Elle aurait adoré le caresser à son tour, mais elle tenait encore tellement à ce qu'il profite de sa poitrine qu'elle se sentait incapable de l'arrêter.

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Depuis combien de mois n'aies-je pas osé m'approprier complètement la poitrine de ma propre fiancée, laissant ce que je nomme ce territoire à la pleine possession de notre fils, comme si nous ne pouvions pas la partager de cette manière. Je suppose qu'il y a un cap de ce genre à passer pour certains pères, l'assimilation malgré soi entre de genre de contact et l'allaitement du petit, que cela soit plus ou moins conscient. Il y a un peu de crainte, un peu d'appréhension, ou simplement une forme de timidité nouvelle. Je ne sais pas pour autant pourquoi cette fois plutôt que les autres je me sens prêt à reprendre d'assaut cette partie du corps de ma belle qui a finalement toujours été mien d'une certaine manière -de cette manière là dont je ne profitais plus. Une envie soudaine, un besoin, ou une question de possessivité. Je ne veux Joanne qu'à moi ce soir, et je ne veux pas m'encombrer de détails inutiles. Je ne désire qu'embrasser, que goûter et dévorer son corps tout entier. Et cela passe par cette redécouverte de sa poitrine, ce qui n'est pas un luxe après tant de mois. Je m'applique à en parcourir la moindre parcelle de peau. Lorsque la main de la jeune femme vient chercher la mienne pour la déposer sur son sein libre, je ne me fais pas prier pour le couvrir de caresses. L'un et l'autre ont leur lots de baisers et d'attentions. Ils sont toujours plus galbés et fermes qu'avant sa grossesse, mais aussi plus sensibles, et cela se devine aisément. Il suffit de s'attarder sur le bout de ses mamelons du bout de la langue pour entendre Joanne soupirer de plaisir, retrouvant des sensations certainement décuplées à cause de l'attente. Elle s'est redressée pour me faciliter l'accès à son buste, et les subtiles ondulations de son corps traduisent parfaitement l'envie que ces caresses buccales font naître en elle. Mais je prends mon temps pour renouer avec cette poitrine dont je me suis longtemps tenu éloigné, flattant un sein puis l'autre avec application et douceur. Je réponds aux sollicitations du corps de Joanne et aux légères pressions de sa main sur ma nuque en faisant glisser mes dents sur sa peau, faisant comprendre que j'ai au moins autant envie qu'elle. Je ne fais pas attention à la petite montée de lait du sein sollicité par mes lèvres. Cela a si peu d'importance. Elle disparaît en un instant. Quand je quitte son sein, ce n'est que pour mieux réclamer et prendre d'assaut les lèvres de ma fiancée. Chaque baiser ne demande qu'à faire disparaître le monde entier. Tous nos tracas. Jusqu'à ce qu'il n'existe que nous. Que notre amour soit tout ce qu'il reste de réel. Ils sont aussi autant de complaintes. J'ai tant besoin d'elle. Besoin de n'être qu'à elle. Ma déesse, l'objet de toute mon adoration. Le centre du monde. Elle est si belle. Lorsqu'elle me jette ces regards brillants d'envie, un brin vitreux, animés par ce désir qui prend le dessus sur tout ; quand elle passe ses doigts entre mes cheveux pour s'assurer que mon esprit lui appartient ; quand elle m'embrasse avec toute cette tendresse en me surplombant avec sensualité. Non, elle ne se rend pas comte que le moindre de ses soupirs me fait de l'effet, que les mouvements de son corps me rendent fou. Elle n'a pas idée de toute la sensualité qu'elle dégage et qui me donne tellement envie d'elle. Quand elle me sourit en coin, quand elle me regarde avec cette malice. On donnerait le bon dieu sans confession à pareille beauté. Et elle est mienne. C'est parfois une idée satisfaisante qui suffit à accélérer mon rythme cardiaque. Et à cet instant, c'est ce que je me dis. Que j'ai une chance inouïe. Dans le malheur, même au plus bas elle est là. Mon ange. Elle veille sur moi, et je ne sais jamais comment lui rendre tout le bien qu'elle me fait. Si ce n'est en lui offrant un autre type de bien en retour, en faisant palpiter ses veines de plaisir. L'une de mes mains se glisse entre ses jambes puis se plaque entre ses cuisses. A travers son dessous, son intimité est si chaude, et l'on devine aisément tout l'effet que mes baisers ont eu sur elle. Seconde après seconde, l'effet des caresses sur son entre-jambe se devine tout autant. Les sens en éveil, j'écoute ses soupirs qui donnent le rythme à mon coeur. Au bord de ses lèvres j'avoue que je la prive de baisers pour mieux entendre et avaler le moindre de ses gémissements. D'autant plus lorsque mes doigts se glissent sous l'élastique de sa lingerie pour parcourir son intimité à même sa peau. Mon épiderme est déjà brûlant, tout le désir emmagasiné poursuivant sa condensation dans mon corps.

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Joanne sentait son corps frémir sous ses caresses. Le regarder faire ne faisait que décupler tout ce qu'elle pouvait ressentir à ce moment là. Il y avait bien évidemment du plaisir, et peut-être une sorte de soulagement du fait qu'il ait réapprivoiser une partie d'elle qui lui avait toujours appartenu. Il savait à quel point elle adorait lorsqu'il s'attardait sur sa poitrine, inlassablement. Que ce soit avec ses lèvres ou ses doigts, il n'hésitait pas à montrer à quel point s'être permis de toucher cette partie d'elle lui avait manqué. Il s'y attardait, désireux de rattraper tout le temps passé à ne pas l'avoir embrassé à ce niveau là. La jeune femme continuait à soupirer et gémir de plaisir, serrant de plus en plus entre ses doigts ses mèches de cheveux. Comprenant que le plaisir et le désir étaient tous deux bien partagés, Jamie se plaisait à mordiller ou passer ses dents là où il savait que ça ferait son effet. Elle eut une sensation de brûlure au niveau de l'un des seins, une des sensations qu'elle a au moment d'une montée de lait. Un peu gênée, ses joues rosirent lus qu'elles ne l'étaient déjà et elle regardait Jamie, espérant qu'il n'y aucune réaction négative. Mais rien. Il fit rapidement disparaître les quelques de lait mais ne se laissa pas perturber pour autant. Le bel homme continuait ses caresse pendant de longues minutes, jusqu'à ce qu'il pense qu'il avait suffisamment redécouvert. Suite à quoi, il captura avec ardeur ses lèvres, un baiser plus fougueux que l'autre. Joanne avait pris son visage entre ses deux mains, caressant chacune de ses lèvres avec amour. Elle le surplombait légèrement, adorant avoir cette sensation de mainmise sur lui. Mais ce rôle allait et venait, et s'échangeait constamment, adorant tous les deux être totalement démuni face à l'autre. Même le temps se perdait dans leurs ébats, l'espace n'existait plus vraiment, et il n'y avait plus qu'eux. ils créaient leur monde à eux, étant les seuls à pouvoir y accéder. Ils se fichaient bien du temps qu'il faisait ou ce qui pouvait se passer dans le coin. Il fallait qu'ils ne soient que tous les deux, et qu'il se retrouvent complètement. En vue des derniers événements, c'était surtout indispensable pour Jamie. Qu'il sache qu'il n'était pas seul et qu'elle serait toujours là pour lui, entièrement dévouée. Doucement, l'une des mains de Jamie atteignit son intimité, par dessus le tissu qui lui restait. Il la frôlait à peine avec ses doigts, mais cela suffit largement à faire grimper la température corporelle de la jeune femme, qui étouffait quelques gémissements. Volontairement, il maintenait ses lèvres éloignées des siennes à chaque fois qu'elle tentait de l'embrasser pour faire ses soupirs sonores. Ceux-ci résonnaient alors dans toute la pièce, avec un écho qui était loin de déplaire au bel homme. Il avança un peu les préliminaire en passant cette fois-ci sous sa lingerie afin qu'il puisse être en contact direct avec son entre-jambe. Ses doigts se crispèrent sur la peau de sa nuque, se mordillant la lèvre pour étouffer ses cris. Il connaissait tous les endroits où il fallait s'attarder pour la faire perdre pied. Il faisait déjà chaud dans la pièce à la base, et Joanne eut de vives bouffées de chaleur avec ses caresses, faisant déjà luire sa peau de porcelaine. Sans être trop brusque, elle poussa Jamie pour qu'il s'allonge sur la chaise longue. Toujours en le surplombant, elle posa sa main sur celle de son fiancé, l'invitant ainsi à intensifier ses caresses, sentant en elle ce brasier qui ne se faisait que s'agrandir de seconde en seconde. Mais elle en voulait plus, elle voulait ressentir plus. Effectuan une pression supplémentaire sur ses doigts, Joanne l'incité à les introduire en elle. Ses mouvements de bassin ne faisaient que s'accentuer selon le degré de plaisir qu'il parvenait à lui procurer. Jamie continuait de résister à l'embrasser, pour continuer à entendre les gémissements de sa belle, qu'il puisse inspirer toute l'air qu'elle pouvait expire. Parfois, elle avait comme une vive sensation de plaisir, et elle fut contrainte d'étouffer son cri dans son cou, où elle passait ses dents sur sa peau brûlante.

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Face aux événements de ces dernières semaines, nous aurions pu tout perdre. Pas seulement tout cet argent. Nous n'aurions peut-être jamais revu notre fils si nous ne l'avions pas retrouvé avant que mes parents ne l'emportent loin de nous. Nous aurions pu nous déchirer jusqu'à nous séparer et ne plus être capables de nous voir sans nous entre-tuer. Tout aurait pu tomber en ruines, et en une seconde, le bonheur que nous venions tout juste de réussir à bâtir serait parti en fumée. Nous avons été plus forts que tout ceci. Je sais que face aux nouvelles difficultés, nous serons toujours ensemble, toujours soudés. Joanne n'a jamais cessé d'être d'un soutien indéfectible. Toujours là pour moi, pour son fils. Oui, elle a finalement appris à se battre pour sa famille, à être forte, même si elle n'est pas infaillible. Elle est un peu plus qui elle doit être, ses pétales se déploient petit à petit, et la rendent toujours plus belle. Il y a toujours ces moments spéciaux où je réalise, même si je le sais déjà, cette évidence ; des moments où je la regarde, et mon corps et mon âme sont en émoi, alors que je me dis que j'ai véritablement l'amour de ma vie face à moi. Ces moments ont souvent lieu au milieu de ces crises que nous avons traversé. La première fois à Londres. Puis sur la plage, lorsqu'elle m'a annoncé avoir avorté et me quitter. Et cette fois, quand nous avons perdu Daniel et qu'elle est venue me sortir de ce trou de culpabilité que je me creusais comme une tombe. Des moments difficiles, mais où toute sa beauté ressort de manière brute. Je l'aime un peu plus à chaque fois. Quoi qu'on pourrait croire que cela est difficilement possible. Pourtant, même si je me sens toujours un pu plus à l'étroit dans on propre corps, l'être tout entier contenant non sans mal tout cet amour qui bout, c'est le cas. Elle me devient toujours plus indispensable. Dans mon coeur et dans ma tête, elle est déjà ma Joanne Keyes. Mienne à jamais. Jusqu'à ce soir, je n'ai pas eu l'occasion de l'aimer comme je le veux, de prendre soin d'elle pour montrer ma gratitude. Nous sommes déterminés à oublier le monde qui nous a blessés cette nuit. N'être que tous les deux, dans notre bulle, l'un à l'autre, assimilant la chaleur et la présence de l'amour, nous nourrissant de cet amour pour nous régénérer. Car il n'y a que cela qui puisse nous permettre de rester debout après cette épreuve. Même si nous jouons un peu, avec légèreté, nous savons tous les deux que ce moment nous est indispensable. Peut-être que nous amuser un peu, nous taquiner et jouer est la meilleure solution pour voir que notre complicité n'en sort que plus forte. Alors c'est avec un imperceptible sourire que je garde mes lèvres éloignées de quelques millimètres de celles de Joanne, l'obligeant ainsi à laisser exploser le moindre gémissement qui grimpe dans sa gorge. Je les avale tous avec délectation. Je scrute les traits de son visage sur lesquels je peux lire les vagues de plaisir qui la traversent et qu'elle a encore un peu plus de mal à contenir lorsque mes doigts flattent l'épiderme chaud et humide de son intimité. Délicatement, la jeune femme m'allonge complètement sur la chaise longue, me surplombant toujours avec sensualité. Répondant à l'appel de son corps et de sa main posée sur la mienne, mes caresses s'intensifient avant que mes doigts se glissent en elle. Un acte à l'effet immédiat ; la belle loge son visage au creux de mon cou, et ses mouvements et ses gémissements me procurent autant de frissons et de coups de chaud. Sa main serre ma nuque, attrape mes cheveux ; la mienne saisit fermement sa chair. Je poursuis ainsi selon son désir pendant de longues minutes, suivant les mouvements de son bassin, embrassant son cou, passant mes dents sur son oreille, jusqu'à ce qu'elle cède et s'abandonne. Son cri résonne dans toute la pièce dans un écho sublime. Le bout de mes doigts frôle la courbe de sa colonne vertébrale de bas en haut, puis se logent dans ses cheveux pour relever son joli visage. Enfin, je lui donne un long baiser passionné. « Il commence à faire chaud. » je lui murmure avec un petit sourire. Je me dégage doucement de la chaise longue, laissant Joanne s'y allonger à son tour. Je m'occupe de défaire ma ceinture, mon pantalon, et retirer le tout pour me retrouver nu. J'adresse un petit coup d'oeil complice à la jeune femme avant de m'introduire dans la piscine.

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Joanne n'aurait jamais pensé que les relations intimes qu'elle avait avec Jamie aurait autant d'importance dans leur vie de couple. C'était un peu à cause de lui. Il était incapable d'exprimer son amour et sa dévotion pour elle d'une autre façon, ou il la couvait de cadeaux sans raison. Chose dont il ne pouvait plus vraiment se permettre. Elle avait pris beaucoup de temps à le comprendre, mais depuis qu'elle avait compris ce langage, elle réalisait qu'elle ne pouvait plus vraiment s'en penser. Jamie, et tout l'amour qu'il avait à lui offrir. Avec le temps, la jeune femme en était véritablement devenue dépendante. Il l'avait entraîné dans ce tourbillon de sentiments dont ils n'arrivaient plus à se défaire. Un plaisir qu'il partageait volontiers d'autant qu'ils le pouvaient. Une fois qu'ils avaient tous les deux compris que ce langage là leur permettait de partager leurs sentiments pour l'un l'autre, ils n'hésitaient plus à le pratiquer où bon leur semblait, quand ils le voulaient. Jamie se plaisait à la faire ainsi voyager, répondant avec tout autant d'ardeur aux demandes physiques de la jeune femme. Celle-ci avait appris à faire comprendre ce qu'elle désirait. Les premières fois, il était surpris, mais se laissait entraîner. Désormais, il savait que ces demandes trahissaient toute l'envie qui restait enfoui au fond d'elle. Le bel homme intensifiait de plus belle les caresses qu'il faisait au niveau de son intimité avant d'introduire ses doigts en elle. Il la connaissait par coeur, sachant parfaitement comment s'y prendre pour la faire perdre pied rapidement ou la faire languir encore pendant de très longues minutes. Son visage logé dans son cou, Joanne sentait sa température corporelle monter en flèche au fur et à mesure de ses caresses. Ses reins s'animaient sensuellement au gré du plaisir qu'il lui procurait. Elle mordait parfois la peau de son cou entre deux gémissements. Jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus retenir quoi que ce soit et qu'elle finisse par pousser un cri pour évacuer ce trop plein de plaisir. Elle frissonna d'autant plus en sentant les mains de son homme remonter doucement le long de son échine, faisant loger ses doigts en ses mèches blondes. Essoufflée, elle profitait tout de même du moindre de ses contacts et gestes d'amour. Jamie reprit ses lèvres d'assaut pour l'embrasser avec fouge, elle y répondait avec tout autant d'ardeur. Il avait raison, il faisait déjà extrêmement chaud dans la pièce. Le bel homme inversa leur position, invitant Joanne à s'allonger sur le transat. Celle-ci était prête à l'accueillir entre ses jambes, persuadée qu'ils continueraient leurs ébats. Il se déshabilla et, contre toute attente, avec son sourire malicieux à souhait, il allait se rafraîchir dans la piscine. La frustration ressentie par Joanne était inimaginable et la brûlait de l'intérieur. Difficile de reprendre sereinement ses esprits après un tel départ, si bien qu'elle restait allongée quelques secondes pour s'effectuer elle-même quelques caresses au niveau de son intimité, par dessus le tissu qui la recouvrait toujours, émettant parfois quelques soupirs. Mais cela ne comblait en rien cette frustration en elle qu'il avait joyeusement laissé derrière lui. Joanne finit par se redresser et de s'asseoir au bord du transat. "Moi aussi je vais un peu me rafraîchir." dit-elle en ouvrant la bouteille de vin et versant le liquide dans les deux verres. Elle déposa l'un d'eux au bord de la piscine, gardant l'autre en main. Désormais debout, elle retira avec sensualité le dernier sous-vêtement qui lui restait, le laissant glisser ensuite de lui-même le long de ses jambes. Elle s'introduit à son tour dans la piscine et rejoignit son fiancé, passant un bras autour de son cou pour rester collé à lui. Elle but une fine gorgée de son vin avant d'effleurer ses lèvres pour l'embrasser tendrement, saisissant soudainement sa langue avec ses dents. Le regard tout aussi joueur, elle lui dit. "Tu me le paieras." Peut-être cette fois, peut-être une autre. Ses jambes entouraient sa taille, et elle reprit le baiser de manière particulièrement fougueuse. "Ton amour m'avait manquée. Tes caresses aussi." Il s'était réapproprié tout le corps de la jeune femme. "Ca me manque toujours, d'ailleurs."
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Dernière édition par Joanne Prescott le Lun 28 Mar - 22:12, édité 1 fois
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Entre la chaleur de la pièce et celle de nos corps, l'eau de la piscine semble presque gelée. De quoi rafraîchir le corps et remettre les idées en place. Ou plutôt, calmer un brin les ardeurs en attendant la suite. Je me fais assez vite à la température de l'eau une fois en bas des escaliers carrelés, immergé jusqu'à la taille. Puis je me tourne pour m'appuyer les bras sur le rebord afin de pouvoir voir Joanne. J’arque un sourcil envieux en devinant sa main entre ses cuisses, ses doigts poursuivant les caresses que j'effectuais sur son intimité. Autant dire que le flot de pensées érotiques reprend bien vite après qu'un bon coup de chaud soit venu enrober mon thorax. Je la regarde ainsi faire quelques longues secondes, écoutant les petits gémissements nés sur plaisir qu'elle se procure, admirant le tout avec un désir grandissant pour cette paire de jambes ouvertes, cette poitrine nue, ces lèvres délicieuses. Elle a déclenché l'accélération de mon rythme cardiaque, et même ma respirationse saccade quelque peu. Finalement elle cesse, le spectacle prend fin. Joanne se sert un verre de vin. A cet instant, le moindre de ses gestes m'apparaît terriblement sensuel, de sa manière de prendre la bouteille entre ses doigts à celle de remplir le verre. Elle déloge son dernier dessous de ses hanches, et j'admire sans modération la chute du tissu le long de ses jambes, puis le corps de la belle complètement nu sur lequel dansent les reflets de la surface de l'eau. Son verre dans la main, elle descend doucement dans la piscine pour me rejoindre avec ce regard qui me fait fondre comme glace au soleil. Lorsque ma fiancé se colle à moi, je ne peux rien cacher de tout l'effet qu'elle produit sur moi. Je suis complètement trahi par l'ensemble de mon corps qui traduit parfaitement tout mon désir pour elle. Je souris en coin en l'écoutant promettre sa vengeance. Pris de court, il me faut une bonne seconde avant de répondre à son baiser avec au moins autant de fougue. Joanne parvient tout de même à m'arracher un soupir sonore mêlant surprise et excitation quand elle joue avec ma langue. Je la serre un peu plus dans mes bras. J'ai tant envie d'elle. Et elle semble bien avoir autant envie que moi, évoquant son manque. “Ça peut se régler facilement.” je lui réponds avec ce même regard malicieux et complice. Je subtilise son verre de sa main pour lui voler une gorgée de vin, puis je le dépose sur le rebord de la piscine. Elle risque de ne plus en avoir l'utilité pendant un moment. A moitié immergés, nous avons encore pieds, et cela sera bien plus pratique. Sans plus attendre, je prends d'assaut les lèvres de Joanne. Je saisis sa lèvre inférieure entre mes dents, la mordille légèrement. C'est au milieu de ces caresses fougueuses que j’avorte le baiser pour ajouter une petite couche à la frustration de ma belle. D'un geste ferme mais restant délicat, je fais tourner la jeune femme sur elle-même afin qu'elle se trouve face au bord de la piscine. Je ne penche que légèrement son buste vers l'avant, gardant son dos courbé bien collé au mien. D'une caresse, j’écarte ses jambes et revient frôler son intimité avec mes doigts. Dans l'eau, les sensations sont différentes. Elle forme une caresse et un son supplémentaires qui ne laissent pas indifférents. Au moindre mouvement, les bruissements résonnent en écho dans toute la salle. J'embrasse Joanne le long de sa mâchoire, de son cou et ses épaules, la dévorant un peu plus lorsqu'elle penche sa tête comme elle en a toujours le réflexe. L'une de mes mains glisse le long de son ventre et remonte sur sa poitrine afin de saisir l'un de ses seins. L'autre guide ma virilité en elle, et un long mouvement de rein m’introduit au plus profond de son être. Et cela fait, elle se dépose de l'autre côté, sur l'intimité de la jeune femme. Ainsi, je la caresse pendant les quelques secondes où je me délecte simplement d'être au plus près de ma fiancée, sans bouger, avant de débuter les va-et-vient. Mes mains ne cessent jamais de la solliciter de toutes parts, et mes lèvres, elles, de la goûter, la dévorer.

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Jamie se disait toujours être le plus faible dans ce genre de jeux qu'ils se créaient juste pour le plaisir. Mais ce soir-là, c'était bien lui qui tenait les rennes et qui décida ou non d'avancer les choses. Ils avaient tout leur temps après tout. Mais attendre ne faisait pas partie de ses qualités, et pourtant, il se montrait d'une grande patience lorsqu'il s'agissait de faire languir et frustrer au possible celle qu'il vénérait tant. Il l'admirait les yeux brillants d'envie lorsqu'elle leur servit tranquillement du vin ou quand elle se dévêtit, se mettant à nu juste devant lui. Il avait tout le loisir de la voir entièrement nue, pendant que la nuit tombait à l'extérieur et qu'il n'y avait que les lumières de la piscine pour éclairer la salle. Elle le rejoignit ensuite dans l'eau, se collant rapidement à son corps qu'elle trouvait parfait. D'humeur joueuse, elle promettait une vengeance avant de l'embrasser. Ainsi, la jeune femme sentit la virilté de Jamie trahir à quel point il la désirait. Elle lui disait, sans trop rougir des joues, et sans passer par quatre chemins, que ce qu'il avait déjà n'était pas suffisant. Elle avait encore soif de son amour, de sa manière à lui de le lui donner, de la manière la plus brute et la plus pure qui soit. Jamie semblait vouloir régler ce léger soucis. Le voir boire de l'alcool le rendait incroyablement séduisant aux yeux de la jeune femme. Ce n'était qu'un acte simple, mais elle n'y trouvait que de la perfection, et beaucoup de désir. Elle s'en mordillait la lèvre inférieure. Il finit par déposer son verre sur le rebord de la piscine. Il prit d'assaut ses lèvres pour l'embrasser on ne peut plus langoureusement, venant prendre sa lèvre entre ses dents. Geste qui arracha facilement un long soupir à la jeune femme, prête à se laisser totalement dévorer par son amant. Mais, une nouvelle fois, Jamie interrompit le baiser et l'obligea à se retourner, et être face au bord de la piscine, qu'elle ne tenait que de ses deux mains. Ce désir de contrôle qui revenait certainement au galop, et la jeune femme n'y voyait aucune objet. Elle était à sa merci depuis le début, et il la manipulait comme bon lui semblait. Il ne tarda pas à se coller. L'une de ses mains l'invita à écarter ses jambes, la replaçant au niveau de son intimité sans la moindre hésitation. Les sensations étaient différentes, mais toujours aussi intenses. Joanne gémissait dès le premier contact, ses doigts se crispant sur la pierre. Il en profitait pour la couvrir de baiser là où il savait que ça ferait son effet. Des mèches de cheveux venaient déjà se coller sur son visage. Les gestes de Jamie étaient plus fermes que d'habitudes, un brin sauvage, notamment lorsqu'il s'empara de l'un de ses seins avec sa main. Sachant que tout était plus sensible, ce flot d'émotions la rendait complètement folle. Il la surprit d'autant plus lorsqu'il vint en elle. Il était si peu habituel dans leur vie intime qu'ils ne soient pas en face de l'autre pendant leurs ébats. Joanne n'avait souvenir que de l'avoir fait qu'une seule fois avec lui, elle n'avait jamais vraiment osé lui avouer que cette position là lui avait beaucoup. Des sensations différentes, l'emprise que Jamie avait sur elle étant décuplé à ce moment-là. Bien que ce n'était pas tous les jours appréciables, le fait qu'il garde autant ce contrôle sur la situation la stimulait assez. Les féministes crieraient au scandale, mais elle appréciait la supériorité masculine qu'avait toujours dégagé Jamie. Elle se sentait en sécurité. Histoire de la mettre définitivement à sa merci, l'une de ses mains reprirent d'intenses caresses sur son intimité, tout en restant en elle. La respiration plus que saccadée, elle gémissait très régulièrement. Tout était nouveau, et tout était particulièrement plaisant, elle se l'avouait et le lui montrait. Son autre main restait sur son sein, qu'il massait fermement, et provoqua une nouvelle petite montée de lait. Joanne ne savait plus où en donner de la tête, encore moins lorsqu'il commençait ses mouvements de rein. Le dos courbé en arrière, elle appelait son nom à plusieurs reprises, le suppliant presque de continuer cette torture on ne peut plus appréciable. Elle adorait lorsqu'il était ainsi avec elle. Sa petite poupée, il en faisait ce qu'il en voulait. Il lui mordillait la peau de son cou comme s'il voulait la dévorer. Joanne ne retenait même plus ses cris, qui devenaient de plus en plus forts et plus fréquents. Elle se remettait totalement à lui, rêvant d'en avoir toujours plus encore.

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☙ now you're free

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Il y a toujours eu cet étrange rapport de force entre Joanne et moi, sans que l'un n'ait jamais à se plaindre de la position de l'autre. Dominant et dominé sont des mots qui ont peut d'importance. Nous sommes l'un et l'autre tout à la fois à tour de rôle, et nous adorons chaque rôle à chaque moment où nous devons l’endosser. J'aime tout particulièrement lorsque ma fiancée prend les devants, tient les rennes de nos états. Lorsqu'elle me surplombe avec sensualité, ondule son corps sur le mien avec cette douceur qui lui est propre. Elle sait exactement ce qui me plaît et comment me pousser à bout pour obtenir tout ce qu'elle désire. Elle prend plaisir à laisser ses marques sur moi, me rendre tout à elle, complètement envoûté par son charme, et me faire tout oublier jusqu'à ce qu'il ne reste que l'amour et le plaisir partagé. Oui, ces moments là sont délicieux. Mais ce soir fait partie de ceux où les rôles s'inversent. Ceux où je prends soin de Joanne et m'autorise à flatter chaque centimètre carré de son corps sans lui laisser d'autre choix que d'accepter ces caresses et accueillir chaque sensation toutes armes baissées. La belle demande régulièrement à ce que j’appose mes propres marques sur elle, que j'use de nos ébats pour qu'elle se sente pleinement mienne. C'est le cas plus que jamais. Ainsi piégée contre le muret, dans l'eau. Et elle ne s'y oppose pas, non. Parce qu'elle sait que même si j'ai le dessus, même si j'ai cette mainmise sur son corps, chaque attention est uniquement pour elle. Pour l'aimer, pour son plaisir, pour qu'elle s'abandonne. Bien sûr, je dois avouer que la mettre dans cette position me procure une foule de sensations. La voir désarmée, à ma merci, la tête jetée en arrière contre mon épaule à la recherche d'air à inspirer et qu'elle expire dans de nombreux gémissements. Quelques petites mèches blondes se sont collées à mon visage alors que je dévore son cou sans m'en lasser. Son corps reste plaqué au mien malgré l'eau omniprésente. Ses doigts se resserrent sur le rebord de la piscine. Autant de détails qui donnent d'autant plus envie de la satisfaire, d'en faire plus. Les coups de reins sont sans concession. Sûrement parce que je me délecte toujours autant de chacun des gémissements et des cris que Joanne ne peut pas retenir, et qui couvrent le clapotis de l'eau qui glisse sur son corps. Je flatte toujours sa poitrine, caresse son intimité. J'espère pouvoir la noyer sous les sensations. Qu'elle perde la tête, qu'elle me laisse tout contrôle pour la guider vers le point de rupture. Mes dents glissent sur ses épaules, entre ses omoplates. Je quitte son sein pour passer mon bras autour d'elle et la saisir plus fermement. L'autre main abandonne son intimité pour se poser sur l'une des siennes qui s’aggrippe au rebord. Et je peux ainsi intensifier les mouvements, bruts comme elle peut les connaître, se logeant au plus profond d'elle. Je poursuis ainsi aussi longtemps que nécessaire pour sentir sa volonté de tenir se craqueler. Puis jusqu'à ce qu'elle cède et laisse entièrement place à la vague de plaisir qui l'emporte. La mienne n'est pas encore venue, mais je m'accorde un moment de répits pendant que Joanne reprend son souffle et ses esprits. Je me retire mais reste près d'elle, l'embrasse tendrement dans le cou. Mon coeur bat à toute allure et j'ai bien du mal à le calmer. J’entraine finalement Joanne a faire volte face et la garde plaquée contre le muret lorsque je capture ses lèvres avec une ardeur immodérée.

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Message(#)joamie + now you're free - Page 2 EmptyLun 28 Mar - 23:46

all this bad blood
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


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Joanne ne savait plus où en donner de la tête, perdant tout point d'ancrage. Elle se laissait aller avec plaisir, bien qu'elle soit à bout de souffle et qu'il n'y avait que ses cris qui résonnaient dans toute la pièce. Mais tout était si délicieux, si agréable. Elle ne voulait pas que Jamie la prive de quoi que ce soit, ce serait sinon la pire des frustrations. Il la chérissait avec tous ses membres. L'une de ses mains finit tout de même par abandonner son intimité pour mieux la coller contre lui, ses gestes restant toujours aussi fermes, mais délicats et attentionnés. A partir de ce moment là, la houle gagnait en intensité, les mouvements étaient plus bruts, moins contrôlés, comme s'il cherchait à former une symbiose parfaite avec elle, en allant au plus profond d'elle. Absolument tout gagnait en intensité, dont les cris de la jeune femme, qui ne savait plus où se raccrocher. Elle appréciait chacun de ses va-et-viens, le laissant totalement prendre possession de son corps et assimiler chaque cellule pour son bon plaisir. Lui aussi, en prenait, mais il n'était pas à la même phase critique que sa belle, il était certainement désireux d'être complètement là pour s'attribuer son orgasme. Elle y parvint sans problème, sentant ses muscles se crispet et se décontracter, lui permettant ainsi d'évacuer ce long et doux cri dont il devait se délecter. Après quelques secondes d'attente, il se retira d'elle tout en restant collé à son petit corps. Il l'embrassait doucement au niveau de son, caresse qu'elle appréciait tout autant, avant de la retourner pour l'avoir face à lui, la plaquant contre le mur pour l'embrasser fougueusement. Joanne y répondait autant d'ardeur, passant ses bras autour sa nuque pour se coller complètement à lui. Ses fines jambes encerclaient sa taille, et elle sentit sa virilité loin d'être satisfaite par le prémice de ces ébats. Ils s'embrassaient jusque ne plus avoir de souffle, dévorant les lèvres et la langue de l'autre avec délice. Reprenant leur respiration, Joanne gardait son front collé contre le sien, ne quittant pas un seul instant son regard. "Même l'eau est trop chaude, maintenant." dit-elle tout bas en riant nerveusement. Elle lui vola un baiser et caressa doucement la peau de son dos, en pleine contemplation de son si beau visage. Au bout de quelques minutes, elle finit par lui avouer. "Cette partie de toi m'avais aussi manquée." Elle caressait l'arête de son nez avec le bout du sien, retrouvant un peu de tendresse après des ébats d'un tout autre genre. "J'aime aussi quand tu me fais l'amour de cette façon." Pour une fois qu'elle n'était pas rouge pivoine en lui parlant de tout ceci. "C'est là où je ressens le plus que je suis complètement à toi, corps et âmes." Sa voix était de plus en plus basse. Jamais à un seul instant elle avait quitté son regard. "Alors pense à me le rappeler un peu plus souvent." Ses yeux pétillaient, elle savait très bien que le message était très bien passé. La pèce état silencieuse, on entendait que la légère agitation de l'eau suite à leurs ébats. Ils restaient collés l'un à l'autre, Joanne en profita pour boire une gorgée de vin, puis reposa la verre à sa place initiale. "Est-ce normal d'avoir toujours autant envie de toi ?" lui demanda-t-elle, comme hypnotisée. L'une de ses mains atteignit sa virilité, qu'elle caressa succinctement. Leurs lèvres s'effleurèrent, et Joanne feinta un baiser. "Oh, mais c'est vrai, il faut que j'aille commander le chinois." lui dit-elle, les yeux joueur. Elle lui vola un baiser et sortir de l'eau. Elle avait toujours quelques affaires qui traînait dans le coin et elle enfila un de ses kimonos, pour seul vêtement. La soie se collait immédiatement sur sa peau encore bien humide. En passant, elle ne prit que son verre de vin, faisant un clin d'oeil à son amant en passant. Pieds nus, elle regagna le séjour où elle s'empara du téléphone pour passer commande. Des choses que Jamie aimaient, d'autres avec un peu plus de viande pour elle. La ceinture fermée de son vêtement laissait tout de même un large décolleté. Une fois la commande passée, Joanne s'installa sur le canapé comme si de rien n'était, encore un peu mouillée et en sueur, attendant Jamie jambes croisées et le verre de vin blanc à la main, dont le niveau diminuait petit à petit.
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