ÂGE : 47 ans (5 mars) SURNOM : Val' tout simplement, mais son préféré reste maman STATUT : Mère de deux enfants parfaits (en toute objectivité bien entendu), divorcée & qui n’a aucune intention, ni l’envie de refaire sa vie parce qu’aucun autre homme ne pourra remplacer Ugo MÉTIER : Responsable des relations publiques de la fillière Australie de LVMH LOGEMENT : #33 Parkland Boulevard, Spring Hill POSTS : 439 POINTS : 150
TW IN RP : adultère, sexe, grossièretés TW IRL : NCGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née à La Havane ● mère de Roberto (15 ans) & Maya (12 ans) et découvre qu’être mère d’ados, ce n’est pas de tout repos ● carriériste ● intransigeante ● piquanteRPs EN COURS : (03)Ginny#1 (FB-2021) › Valugo#16 ›
J’avais l’impression d’avoir dormi cinq minutes quand j’entends rentrer dans la chambre. Je grimace d’autant plus quand je sens le corps chaud qui me collait, se redresser sans attendre. On dormait bien là, pourquoi on venait nous réveiller ? J’ouvre difficilement un œil quand j’entends parler italien, la voix lointaine de mon ex-belle-mère raisonne dans ma tête et je n’ai pas bu une seule goutte d’alcool pour être si fatiguée. J’ai tellement relâché la pression que voilà … j’ai dormi comme un bébé ! Ugo et sa mère sont en grande conversation et je ne comprends pas un traitre mot de ce qu’ils racontent. Pourtant, je sais que c’est de l’italien mais probablement de l’argot. Nonna s’adresse encore à son fils avant de s’avancer vers la fenêtre et d’ouvrir les rideaux pour que le soleil pénètre dans la pièce. Je me redresse sur mes coudes et salue d’un vague geste de la tête la mère d’Ugo. « mais je suis ravie de voir que tu t’es rendue compte que Valentina était une perle rare » Je roule des yeux malgré moi quand elle me fait un clin d’oeil, elle exagère toujours Nonna … « je les rejoins à la plage. Préparez vos excuses pour tout à l’heure. » Elle sort en claquant la porte très fort, nous laissant seul à nouveau.
On a encore quelques heures. Ils sont à la plage cet après-midi mais j’ai déjà la boule au ventre. Je me laisse lourdement retomber dans le lit et je viens poser ma tête sur le torse de l’italien, mon bras autour de sa taille en refermant les yeux : « Vous vous êtes dit quoi ? Je suis presque sûre que c’était de l’italien mais … j’ai rien compris ! » lui avouais-je sans la moindre gêne. J’avais appris cette langue grâce à Ugo mais je n’avais pas honte de dire que je ne comprenais pas tout. « On a déconné c’est ça ? Bon sang j’ai aucune idée de l’heure qu’il est mais j’al l’impression que je viens à peine de fermer les yeux. »
You are the reason ...
I'd climb every mountain and swim every ocean just to be with you and fix what I've broken cause I need you to see that you are the reason ( ☽☽ )
Ugo De Luca
La nostalgie des sentiments
ÂGE : quarante ans (02.09.1984) SURNOM : compa • papa • sciocco STATUT : divorcé. pourtant, c’est auprès de la même femme qu’il est en train de passer ses soirées. MÉTIER : directeur de collection d'une maison de haute couture, Weatherton LOGEMENT : spring hill, numéro 380 POSTS : 1841 POINTS : 220
TW IN RP : adultère & mensonge & potentiel language grossier TW IRL : violence contre les animaux (!) & transphobie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : a deux enfants (quinze & douze ans)RPs EN COURS : RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Miguel Angel Silvestre CRÉDITS : @ssoveia (avatar) @gayzing.away (gifs signature) DC : molly, anthony, ottie PSEUDO : émilie, éms. INSCRIT LE : 07/05/2022
Elle se laisse tomber à côté de lui et ses mains à lui n’ont toujours pas quitté son visage car il a compris, lui, ce que sa mère vient de lui confier … combien ils se sont comportés comme des abrutis egoistes. « Vous vous êtes dit quoi ? Je suis presque sûre que c’était de l’italien mais … j’ai rien compris ! On a déconné c’est ça ? Bon sang j’ai aucune idée de l’heure qu’il est mais j’al l’impression que je viens à peine de fermer les yeux.» Ugo retire ses mains de son visage, un bras vient s’enrouler autour de Valentina pour que sa main puisse se poser dans son dos et l’autre main vient se lier à la sienne. « Elle a juste souhaité une bonne journée et dit qu’on était plutôt doués comme parents … », ironise-t-il en faisant une moue désolée. Il soupire et fixe le plafond. « Bobby est rentré bourré, a vomi à peu près partout --- je lui parlerai cet après-midi --- maya a failli lancé une alerte enlèvement car elle t’a pas trouvé cette nuit et pas non plus ce matin --- on va devoir leur parler, val. » Et l’idée n’était pas celle la veille … ils ne voulaient pas leur en parler, pas tout de suite, pas alors qu’ils étaient encore en train de s’apprivoiser. Il se redresse pour chercher son regard. « Peut-être qu’on devrait leur expliquer, leur dire --- pas toute la vérité mais leur dire que nous aimerions pouvoir essayer, réparer, --- et que ça ne change rien au fait que nous sommes là pour eux et que … j’en sais rien, tu crois que c’est une bonne idée ? j’ai pas envie de mentir, de chercher des excuses et encore moins de devoir me priver de moments comme celui-ci ... si on leur parle, si on leur explique, peut-être que ce ne sera pas si dramatique », il cherche une réponse dans son regard mais il ne sait pas si elle posséde une réponse … Peut-être qu’ils sont perdus ensemble. Peut-être qu’ils sont face à un croisement et qu’une décision doit être prise maintenant … une décision qui aura un impact sur leur famille.
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Valentina De Luca
les sirènes du frisson
ÂGE : 47 ans (5 mars) SURNOM : Val' tout simplement, mais son préféré reste maman STATUT : Mère de deux enfants parfaits (en toute objectivité bien entendu), divorcée & qui n’a aucune intention, ni l’envie de refaire sa vie parce qu’aucun autre homme ne pourra remplacer Ugo MÉTIER : Responsable des relations publiques de la fillière Australie de LVMH LOGEMENT : #33 Parkland Boulevard, Spring Hill POSTS : 439 POINTS : 150
TW IN RP : adultère, sexe, grossièretés TW IRL : NCGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Née à La Havane ● mère de Roberto (15 ans) & Maya (12 ans) et découvre qu’être mère d’ados, ce n’est pas de tout repos ● carriériste ● intransigeante ● piquanteRPs EN COURS : (03)Ginny#1 (FB-2021) › Valugo#16 ›
Il y avait clairement mieux comme réveil que votre ex-belle-mère rentrant dans votre chambre alors que vous êtes avec votre ex-mari. Au moins, j’étais encore habillée. Je pouvais me consoler avec ça. Quand elle sort de la chambre en claquant – fort – la porte, je retombe lourdement sur l’oreiller. C’était trop tôt pour tout dire aux enfants, je ne souhaitais pas leur faire espérer … et si ça foirait ? Si on arrivait pas à réparer ce qu’on avait cassé ? Il y avait encore tant de choses qu’on devait voir ensemble … sans avoir peur que les enfants en soient encore des victimes collatérales. Mais est-ce que ce n’était pas une utopie de se dire que les enfants n’en seraient pas impactés s’ils n’étaient pas au courant ? est-ce que ce n’était pas une immense connerie de se dire qu’on ne peut pas souffrir de ce qu’on ignore ?
« Elle a juste souhaité une bonne journée et dit qu’on était plutôt doués comme parents … » Je pousse un long soupir. On a déconné. On a pensé qu’à nous. On a surtout pensé uniquement à nos hormones en ébullition, voilà ce qui s’était passé ces derniers jours ! « Bobby est rentré bourré, a vomi à peu près partout --- je lui parlerai cet après-midi --- maya a failli lancé une alerte enlèvement car elle t’a pas trouvé cette nuit et pas non plus ce matin --- on va devoir leur parler, val. » Nouveau soupir de ma part. Je ne savais même pas, par quoi commencer. « Il vaut mieux que ce soit toi qui parle avec Bobby, sinon je vais le punir jusqu’à ses 25 ans, tu peux lui dire. » Je pensais qu’on avait mieux éduqué nos enfants que ça. Je me doutais qu’il allait expérimenter l’alcool mais de là à vomir ? Ou est-ce qu’il avait la tête ?! Puis je grimaçais alors que la culpabilité me revenait en pleine figure. Maya m’avait cherché cette nuit et ce matin … « Je pensais … je sais pas, qu’on aurait pris plus de recul avant de leur parler. » soupirais-je. J’aurais surtout préféré leur parler une fois qu’on aurait été vraiment sûrs de nous mais le serons-nous un jour ? « Mais on va pas avoir le choix je crois. »
« Peut-être qu’on devrait leur expliquer, leur dire --- pas toute la vérité mais leur dire que nous aimerions pouvoir essayer, réparer, --- et que ça ne change rien au fait que nous sommes là pour eux et que … j’en sais rien, tu crois que c’est une bonne idée ? j’ai pas envie de mentir, de chercher des excuses et encore moins de devoir me priver de moments comme celui-ci ... si on leur parle, si on leur explique, peut-être que ce ne sera pas si dramatique » je lève mes yeux vers lui et j’ai conscience qu’il chercher à ce que je le rassure, que je lui donne une réponse rassurante … La vérité, c’est que je n’en suis pas capable. « Je pense pas qu’ils vont sauter de joie non, » lui répondis-je en toute honnêteté, « Je sais que c’est pas la réponse que tu espérais entendre, mais ils en ont bavé depuis un an et ils sont pas maso nos enfants. » Je me redresse, calant mon dos contre la tête de lit puis je passe ma main sur mon visage. « Mais t’as raison, on va pas avoir d’autre choix que de leur dire la vérité. Je veux pas leur mentir moi non plus. Mais je veux pas leur faire espérer quoi que ce soit, parce que si ça foire, on fera encore plus de dégâts. » Je ne voulais pas que ça foire et j’étais persuadée, en mon fort intérieur que ça ne pouvait pas foirer, mais je voulais rester pragmatique. Quand ça concernait les enfants j’étais toujours pragmatique, quand j’écoutais mon cœur de femme (quand ça concernait Ugo), je devenais fougueuse et impétueuse. « On va leur dire qu’on veut essayer de … de réparer ce qu’on a cassé mais que ça ne changera rien à leur quotidien, qu’ils viendront toujours chez toi ou chez moi chaque semaine, qu’on sera toujours là pour eux, qu’ils seront toujours notre priorité, que ça nous concerne que tous les deux mais qu’on veut pas faire les choses dans leur dos et … et voilà, non ? » Je demande en tournant la tête vers lui. « On devrait peut-être les rejoindre à la mer ? Leur dire là-bas ? Je sais, c’est lâche parce que j’ai espoir qu’au moins sur un terrain neutre ils piquent pas de crises…. » pouffais-je nerveusement de rire.
You are the reason ...
I'd climb every mountain and swim every ocean just to be with you and fix what I've broken cause I need you to see that you are the reason ( ☽☽ )
Ugo De Luca
La nostalgie des sentiments
ÂGE : quarante ans (02.09.1984) SURNOM : compa • papa • sciocco STATUT : divorcé. pourtant, c’est auprès de la même femme qu’il est en train de passer ses soirées. MÉTIER : directeur de collection d'une maison de haute couture, Weatherton LOGEMENT : spring hill, numéro 380 POSTS : 1841 POINTS : 220
TW IN RP : adultère & mensonge & potentiel language grossier TW IRL : violence contre les animaux (!) & transphobie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : a deux enfants (quinze & douze ans)RPs EN COURS : RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Miguel Angel Silvestre CRÉDITS : @ssoveia (avatar) @gayzing.away (gifs signature) DC : molly, anthony, ottie PSEUDO : émilie, éms. INSCRIT LE : 07/05/2022
« il vaut mieux que ce soit toi qui parle avec bobby, sinon je vais le punir jusqu’à ses 25 ans, tu peux lui dire. » « depuis quand je suis le papa cool ? », il laisse échapper un éclat de rire avant d’acquiescer en posant une main sur son avant-bras pour lui confirmer qu’il lui parlera, à son abruti d’adolescent de fils. « je pensais … je sais pas, qu’on aurait pris plus de recul avant de leur parler. » « ça aurait été plus pratique, oui » « mais on va pas avoir le choix je crois. » « je crois que non, on n’a pas le choix maintenant. »
« je pense pas qu’ils vont sauter de joie non, je sais que c’est pas la réponse que tu espérais entendre, mais ils en ont bavé depuis un an et ils sont pas maso nos enfants. mais t’as raison, on va pas avoir d’autre choix que de leur dire la vérité. je veux pas leur mentir moi non plus. mais je veux pas leur faire espérer quoi que ce soit, parce que si ça foire, on fera encore plus de dégâts. » « je sais », hélas, il sait … et il ne veut pas entendre parler de cette possibilité … il pourrait y avoir un problème, ils pourraient se séparer de nouveau. encore une fois. il déglutit. « on va leur dire qu’on veut essayer de … de réparer ce qu’on a cassé mais que ça ne changera rien à leur quotidien, qu’ils viendront toujours chez toi ou chez moi chaque semaine, qu’on sera toujours là pour eux, qu’ils seront toujours notre priorité, que ça nous concerne que tous les deux mais qu’on veut pas faire les choses dans leur dos et … et voilà, non ? on devrait peut-être les rejoindre à la mer ? leur dire là-bas ? je sais, c’est lâche parce que j’ai espoir qu’au moins sur un terrain neutre ils piquent pas de crises…. » il laisse échapper un éclat de rire et se penche vers elle, pose une main sur sa joue pour venir approcher ses lèvres des siennes, le regard plongé dans le sien, « on va leur dire sur la plage, en terrain neutre et en cas de crise, on leur paie une glace », un sourire amusé et il l’embrasse avec tendresse.
ils étaient arrivés en italie comme une famille déconstruite, sur le point de se reconstruire, il semblerait qu’ils retrouvent brisbane … dans une toute autre constellation. le soleil italien fait des miracles.