AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Besoin d'un coup de main pour t'intégrer ?
Clique ici pour trouver un parrain et relever les défis du nouveau !
Le forum a besoin de vous
N'oubliez pas de voter autant que possible.
-45%
Le deal à ne pas rater :
Four encastrable Hisense BI64213EPB à 299,99€ ( ODR 50€)
299.99 € 549.99 €
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Sortie PlayStation 5 Pro : où précommander la console PS5 Pro ?
Voir le deal

 [Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyMar 29 Mar - 8:31


Martin a à peine 20 ans. Sachant que nous, Christopher, Scott et moi avons 27-30 ans, il est le plus jeune. Et nous nous amusons régulièrement à le lui faire savoir. Il nous arrive de nous moquer de lui, disant que sa maman nous voudra si on ne fait pas attention à lui etc. Mais nous ne sommes jamais sérieux et il le sait. En général il se prends au jeu. Mais pas aujourd'hui. Lorsqu'il passe à côté de nous en nous répondant sur un ton las, je sais déjà que quelque chose ne va pas. Je crois que si je me suis pris d'affection pour lui c'est surtout grâce à mon côté « aîné de famille ». martin est même un peu plus jeune qu'Ezra. Mais peu importe.

Ce qui me choque un peu plus c'est l'âge de Myrddin. 17 ans qu'il me répond. Je comptais lui répondre, mon petit protégé ne va vraiment pas bien. Alors, au lieu de continuer à parler avec mon amant je vais le voir. C'est plus fort que moi. C'est comme ça que j'apprends qu'il a le vertige et que s'il est venu c'est juste pour nous faire plaisir. Il voulait d'ailleurs nous cacher cette peur parce qu'il en a honte. Mais ça je ne le dis pas, trouvant ça aussi idiot qu'adorable. Je le laisse donc tranquille et explique rapidement les raisons de son isolement aux autres. Scott lui lance une pique et lorsque je le réprimande je suis des plus sérieux. Mon collègue, piqué à vif, se met à bouder. Un grand gamin ce mec. Enfin.

Je fais signe à Myrddin de venir afin que nous nous éloignons un peu du petit groupe. Une fois assit un peu plus loin, je réitère ma question sur l'âge disant que 10 ans de différence étaient quand même beaucoup et souhaite savoir si ça le dérange, lui. Sa réponse est tellement adorable que j'en souris doucement. Il ne me pensais pas aussi vieux et 10 ans, bien que beaucoup, ne le dérange pas. Il s'excuse ensuite, le regard fuyant, de ne pas m'avoir prévenu plus tôt car il est encore mineur et que c'est quand même très important. Mais lui il s'en fout car après cette semaine on ne se reverra pas. J'ignore mon cœur qui se sert et continue de l'écouter, hochant légèrement la tête lorsqu'il reprends que … tant pis, l'âge n'est pas important. Sa phrase reste un instant en suspens comme s'il attendait que je lui réponde.

Et ma réponse est évidente. M'approchant de lui, je pose une main sur son épaule et dépose mes lèvres sur les siennes. Avec tendresse, je l'embrasse tout en lui caressant un peu l'articulation. Je me recule ensuite et plonge mon regard dans le sien  «L'âge n'est qu'une formalité. C'est juste le papier et … tu sais quoi ? J'en ai rien à foutre » lui assurais-je  «Alors il y a 10 ans qui nous sépare mais … et alors ? Quand j'aurais 40 ans et toi 30 ça ne jouera plus aucun rôle » je lui souris et viens lui caresser doucement la joue  « C'est juste un peu bizarre maintenant, mais faut relativiser. C'est si j'avais 17 ans et toi 7 ans » je rigole doucement et passe un bras autour de ses épaules en me tournant vers la vitre  «Une semaine s'est trop cours pour se reposer sur ses principes et ce genre de formalité » reprenais-je ensuite en regardant l'extérieur. Du coin de l’œil je vois comment Scott et Chris nous observent discrètement, en souriant. Mais je ne dis rien et resserre un peu mon étreinte pour attirer Myrddin contre moi. Je l'aime.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyMer 30 Mar - 20:57


COME ON, LET'S BE PSYCHOS TOGETHER. —

— MYRDDIN & THOMAS
Thomas préfère couper court à notre discussion lorsque nous entrons tous dans la cabine, car il a remarqué que Martin, le plus jeune de leur bande, n’a pas l’air dans son assiette. Je reste silencieux, assis à côté de Chris et de Scott. Ce dernier, alors que Thomas en revenant nous apprend que Martin a le vertige, se moque de lui. Tom lui répond pour une fois fermement qu’il n’y a pas de quoi rire, ce qui vexe son binôme. Je me sens un brin mal à l’aise à ce moment précis, et mon amant ne m’aide pas en me faisant signe de venir le rejoindre à l’écart. Je sais de quoi il veut me parler, de notre différence d’âge. Dix ans, c’est énorme. Surtout à notre niveau. Je ne suis même pas majeur alors qu’il est déjà aux portes de la trentaine. Il me demande ce que j’en pense personnellement, et si cela me dérange. Tout d’abord je lui avoue que je ne le voyais pas si vieux. Disons que je lui donnais pas plus de 25 ans.

De toute façon ça ne me dérange pas cette histoire d’âge. Nous nous entendons bien, sommes sur la même longueur d’onde la plupart du temps, et n’avons aucun mal à discuter. Alors l’âge, je ne vois pas ce que ça change à présent. Mais je m’excuse de ne pas le lui avoir révélé plus tôt. Je n’ai jamais eu l’occasion, mais j’aurais bien voulu qu’il soit au courant, car j’imagine que lui, ça va lui poser problème. Je défends un peu mon cas, disant qu’on a de toute façon qu’une semaine ensemble, alors l’âge ne compte pas vraiment. J’ai peur qu’il décide de tout arrêter. J’ai vraiment peur.

Pourtant, Thomas me surprend une fois de plus. Il s’approche un peu plus, dépose une main sur mon épaule, et vient ensuite m’embrasser. Comme ça, devant ses collègues, sans prendre de gants. Il m’embrasse tendrement et, après un moment d’étonnement au premier abord, je lui réponds. Puis il décide de rompre l’échange et sur recule pour me fixer dans les yeux. Je ne quitte pas son regard, déjà grandement rassuré par le baiser, et encore plus par ses paroles. L’âge n’est qu’une formalité pour lui et, selon ses propres mots, il « n’en a rien à foutre ». Un sourire vient prendre naturellement place sur mon visage. Nous avons certes 10 ans de différence, mais lorsque nous saurons plus vieux, cela aura encore bien moins d’importance. Fait est que rien ne dit que nous nous reverrons, mais je me garde bien de le dire. Il me caresse la joue, ajoutant que c’est un peu bizarre maintenant, comme cela serait pire si j’en avais 7 et lui 17. Il faut juste relativiser. Thomas passe un bras autour de mes épaules et je viens me serrer contre lui, faisant encore une fois remarquer qu’une semaine est trop court pour se poser des questions comme ça. Je ferme les yeux, et vais me blottir contre lui.

— Ca sera la meilleure semaine de ma vie, j’en suis certain... soufflais-je.

Je me redresse pour aller l’embrasser sur la joue, puis je tourne le regard vers l’extérieur. Ce faisant, je remarque Chris et Scott qui nous regarde sans se cacher, et j’en rougis, gêner. Je n’aime pas vraiment m’afficher auprès de gens que je ne connais pas. Dans la rue, ce n’est que peu gênant, car c’est tous des inconnus. Là, ils sont proches de Tom. Et moi je ne les connais pas. Et ça, c’est gênant. Surtout que s’ils ont entendus pour notre différence d’âge, je ne sais pas ce qu’ils vont en penser. Thomas peut bien être confiant, je sais qu’on n’est jamais sûr de rien. M’enfin. Lorsque la cabine commence à s’élever à une distance raisonnable du sol, je me redresse réellement et observe le paysage avec autant d’étoiles dans les yeux qu’il y en a dans le ciel. Et c’est sûrement la quatrième fois que je monte dans le London Eye. Sans faire gaffe, je commence à montrer des choses, des lieux, à Tom, à lui raconter quelques anecdotes, à répondre à certaines de ses questions. Et tout cela, sans lâcher sa main que j’ai pris dans la mienne. Alors que je fais une pause simplement pour admirer la vue, je me tourne pour aller l’embrasser une nouvelle fois sur la joue.

— J’suis tellement heureux de partager ça avec toi, t’imagine même pas, dis-je doucement, avec un grand sourire. Puis je vais lui glisser à l’oreille : J’vais t’avouer un truc, j’ai encore envie de te faire l’amour...

code by lizzou
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyMer 30 Mar - 23:07

Je ne peux pas faillir à mon devoir d’aîné. Pas même lorsque j'ai Myrddin -que je devine être l'amour de ma vie- près de moi. Non. Je suis obligé d'aller voir Martin pour voir ce qui ne va pas avec lui. Et lorsqu'il m'avoue avoir le vertige et prendre énormément sur lui en ce moment même je ne peux m'empêcher de le traiter intérieurement d'idiot. Mais je fini par le laisser tranquille, explique rapidement pourquoi il s'est isolé, réprimande Scott lorsqu'il se moque de Martin puis fait venir Myrddin pour nous éloigner un peu du groupe.

Une fois installer un peu plus loin, je lui avoue que pour moi, l'âge m'importe peu. Lui semble réellement stressé voire carrément paniqué par l'idée que je pourrais lui en vouloir de ne pas tout m'avoir avouer tout de suite. Dans le fond, je ne trouve pas ça correcte de sa part, mais à quoi bon ? Une semaine est beaucoup trop courte pour se faire du soucis là-dessus ! Ainsi donc, je le lui fait comprendre en l'embrassant sans plus de cérémonie, devant mes collègues et tous les autres. Je le sens se tendre mais n'arrête pas pour autant. Je souris simplement en le sentant répondre au baiser. C'est à ce moment que je me recule pour lui dire que je n'en ai rien à foutre. Et ça le rassure. Ça se voit au sourire qu'il arbore sur son visage. Adorable, je vous dis.

Le blottissant contre moi, il me dit que ce sera la plus belle semaine de sa vie et je ne peux que lui donner raison. Lui caressant l'épaule, je le garde là, dans mes bras et observe le paysage. Je le laisse me faire de nombreux commentaires, lui posant même beaucoup de questions et fini par fermer un peu les yeux lorsque Myrddin m'embrasse à nouveau sur la joue, disant qu'il est heureux de partager tout ça avec moi.  « Et moi donc ?» soufflais-je en posant mon menton contre son front, le serrant un peu plus contre moi. La suite me fait frissonner  « Si je le pouvais je le ferais là, ici» murmurais-je à son oreille pour que seul lui m'entende.  « Ce soit, de nouveau » lui promettais-je alors que nous amorçons lentement la descente.

Nous observons encore longtemps en silence le paysage enneigé qui s'offre à nous avons que nous ne nous levions pour sortir de la gondole. Le premier a sortir c'est, bien évidement Martin. C'est limite il ne pousse pas tout le monde pour être le plus rapidement dehors, à l'air libre. Myrddin et moi, nous prenons encore un peu notre temps et sortons les derniers avec Christopher. Dehors, ce sont les voix vives de Scott et Martin qui nous accueille. Ce n'est pas bon. Car Scott une fois énervé  se calme très difficilement, voire pas du tout. Il peut même devenir violent et je ne veux pas risquer la vie de Martin. J'accélère donc et m'approche des deux hommes qui s'engueulent devant toute une assemblée qui les observe.

Sans hésité je me place entre eux, face à Scott et fixe.  « Arrête Scott » disais-je sur un ton calme. Alors qu'il veut passer à côté de moi, je pose mes mains sur ses épaules et le retiens  « Je ne sais pas ce qui s'est passé mais calme toi » je lance un coup d’œil au-dessus de mon épaule et remarque avec soulagement que Martin s'est éloigné de quelques pas vers la Tamise. Reportant mon attention sur mon meilleur ami, je me recule d'un pas.  «Vaudrais mieux que Chris et toi vous partiez de votre côté. Martin vient avec Myrddin et moi. Et pas de discussion » reprenais-je sur un ton sec.

Scott me fusille du regard puis se détourne. Dans un soupire, Chris s'empresse de le rejoindre et je les observe partir. Je soupire à mon tour, secouant la tête et regarde Myrddin  « Désolé, c'est la seule solution que j'ai trouvé pour … enfin voilà » je lui souris doucement puis me dirige vers mon collègue  « ça va aller ?» lui demandais-je sur un ton très doux en posant une main sur son épaule.  «Ouais, ouais. C'est pas faute. J'aurais pas dût remettre ses moqueries sur le tapis et ... » je secoue la tête  « Non, il a cas apprendre à se contrôler.» le coupais-je en lui offrant un sourire bienveillant  « Tu restes avec Myrddin et moi pour le reste de la journée, ok ?»Martin hoche la tête  « OK ...»puis lance un regard incertain vers mon amant  «ça te dérange pas ? » lui demande-t-il en grimaçant un peu. Je pose à mon tour mon regard sur mon amant. Il ne dira pas non. Je ne pense pas. Et puis de toute manière nous aurons la soirée et la nuit pour nous.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyJeu 31 Mar - 21:37


COME ON, LET'S BE PSYCHOS TOGETHER. —

— MYRDDIN & THOMAS
En entrant dans la cabine, Thomas s’empresse d’aller voir Martin qui m’a l’air au bout de sa vie. Je reste ainsi à côté de Chris et Scott, silencieux. Je n’en tiens pas rigueur à Tom, j’ai bien compris qu’il tenait beaucoup à tous ces collègues, et Martin est le plus jeune d’entre eux, il doit ressentir plus ou moins une sorte de responsabilité. Je les observe simplement, avec l’infime espoir que cela lui fasse oublier cette histoire d’écart d’âge entre nous. Mon amant revient finalement vers nous, réprimande Scott qui se moque du vertige de Martin, puis me fait signe de le suivre un peu plus loin. Sans discuter je le rejoins et nous nous installons à l’écart des autres. Pour pouvoir discuter sans être dérangés. J’ai un petit coup de stress, confirmé par le sujet qu’aborde Thomas.

J’ai peur qu’il ne m’en veuille de ne pas lui avoir dit mon âge plus tôt. Ce n’était pas volontaire, le sujet n’est pas venu sur le tapis, et je n’ai jamais réellement pensé à le faire de moi-même. Je ne suis même pas sûr d’y avoir pensé, en fait. Je suis quand même mineur, et ça, ça a un peu d’importance. J’essaie de défendre ma cause, pour ne pas qu’il me quitte. Mais nous tombons d’accord que pour une semaine, se soucier de ça ne sert à rien. D’autant que l’âge ne compte pas pour nous deux. Sans le savoir, nous sommes passés au-dessus, en apprenant à nous connaître. Thomas m’embrasse sans se soucier des regards extérieurs – notamment ceux de ses collègues. D’abord étonné, je finis par répondre au baiser avec un soulagement sans nom. C’est après ça qu’il m’explique clairement n’en avoir rien à faire de mon âge, quand bien même dix ans nous séparent. Je souris de plus en plus largement.

Il m’attire contre lui et je me blotti dans ses bras avec plaisir, disant que ça sera sans aucun doute la plus belle semaine de ma vie. C’est ainsi, tout contre lui, que nous observons le paysage. Je partage mon savoir sur Londres avec lui, et répond à ses questions. Je finis, après un silence, par aller l’embrasser sur la joue et lui dire à quel point je suis content de partager ça avec lui. Disant qu’il en va de même pour lui, il resserre son étreinte, et je ferme les yeux de délice. Je relève la tête pour aller murmurer à son oreille que j’ai encore envie de lui faire l’amour. Et, sur le même ton, Thomas avoue qu’il me prendrait ici et maintenant s’il le pouvait. J’en frissonne. C’est sur la promesse de faire ça ce soir que la discussion se termine. Je l’embrasse furtivement au passage. Nous observons en silence la ville enneigée lors de la descente, avant de sortir. Martin est le premier dehors, et nous le rejoignons. Scott est le premier vers lui, et avant que l’on n’arrive, nous les entendons se disputer.

Bien mal à l’aise, je reste à côté de Christopher, voire même un peu en arrière. Scott me paraît énervé, tout comme je devine qu’il n’est pas du genre à se calmer facilement. Thomas vient se placer promptement entre eux pour essayer de calmer le jeu. Son ton est posé, et il n’hésite pas à tenir Scott pour ne pas qu’il s’approche de Martin. Ce dernier en a profité pour s’éloigner un peu. Après une courte réflexion, Thomas dit à son binôme de partir avec Chris et de nous laisser avec Martin. Toute discussion est inutile et Scott, bien mécontent, se détourne, rapidement rattrapé par Christopher qui, à sa tête, a l’air déjà fatigué. Tom m’adresse enfin la parole pour s’excuser de n’avoir trouvé que cette solution. Je secoue simplement la tête, avec un léger sourire.

— Y’a pas de mal.

Si, un peu quand même, mais je ne suis pas assez égoïste pour vraiment lui en vouloir de nous avoir privé de cette fin de journée tous les deux. J’ai bien compris que cela aurait pu dégénérer, et je préfère savoir Martin en sécurité. Mon Australien va voir son jeune collègue pour savoir comment il se porte. J’écoute un peu leur discussion, mais ne réagit que lorsque Martin s’adresse à moi pour savoir si ça ne me dérange pas. Il est gentil, il me rappelle un peu Nathan d’ailleurs.

— Non t’inquiète, tu peux rester avec nous, répondis-je avec un léger sourire. On pensait aller au musée Tussaud, avec les statues en cire, expliquais-je avec un coup d’œil à Thomas. Nous en avons parlé tout à l’heure, et ça me paraît toujours être une bonne idée. Ça te dit ?

Martin accepte volontiers de nous suivre, et c’est ainsi que nous partons. Cette fois, en raison de l’heure, je nous dirige vers la station de métro la plus proche pour atteindre le musée rapidement. Je suis à moitié surpris de voir que Martin s’ouvre petit à petit et que notre conversation s’enrichie. Thomas avait raison, nous nous entendrons bien tous les deux.
code by lizzou
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyJeu 31 Mar - 22:24

Je n'en veux absolument pas à Myrddin de m'avoir cacher son âge. De toute manière, même si j'étais choqué au début, je refuse de m'en formaliser pour une semaine. Ce serait trop dommage de se priver de ce bonheur. Et puis, n'est-ce pas encore plus excitant de savoir que c'est interdit ? Si, clairement. Je le lui assure par la parole et confirme mes dires en l'embrassant avec tendresse là, devant tout le monde. Je remarque que mes collègues nous observe mais j'en ai rien a foutre. Il n'y a que Myrddin qui compte pour moi maintenant. Je lui annonce ensuite que si je me pouvais je lui ferais l'amour là, maintenant, mais ce serait assez indécent. C'est donc, en silence et l'un contre l'autre, que nous commençons à apprécier la vue. J'écoute les quelques commentaires de mon amant et lui pose aussi de nombreuses questions.

Lorsque nous devons descendre c'est Martin qui est le premier dehors. Et Myrddin et moi nous sortons en dernier. Sauf que, dehors, c'est la voix forte et grave de Scott ainsi que la voix plus aiguë de mon jeune collègue qui nous accueille. Ni une ni deux, je me place entre eux et les sépare. Je reste calme car c'est le seul moyen pour calmer Scott qui risque de s'enflammer encore d'avantage si je l'engueule. Si c'est le cas, je risque d'ailleurs aussi de m'en prendre une. Et la dernière fois que son poing est venu s'écraser sur ma tempe je suis resté bien 2 voire carrément minutes inconscient. Enfin, passons les détails. Je fini par réussir à convaincre Scott de s'en aller, précisant que Martin, lui, restera avec nous. Scott, grommelant, s'en va, très vite suivi par Christopher a qui je souffle un petit 'désolé' au passage.

Je m'excuse ensuite auprès de Myrddin, car nous allons devoir rester avec mon collègue maintenant. Mais mon amant ne semble pas s'en formaliser. Du moins, ne le montre-t-il pas. Et puis, s'il doit en vouloir à quelqu'un c'est bel et bien à Scott, pas à moi ni à Martin. D'ailleurs, en parlant de ce dernier, je m'approche de lui, lui demande si ça va puis lui explique qu'il restera avec nous. Adorable comme il est, il demande au jeune anglais si ça ne le dérange pas qu'il reste avec. Myrddin secoue la tête et lui assure avec sa gentillesse légendaire qu'il n'y aucun problème. Il propose même qu'on aille au Madame Tussaud ! Je souris, attendris car nous venions d'en parler puis interroge mon collègue du regard. Celui-ci hausse les épaules avec un sourire puis hoche la tête.

 « ça me dit bien, ouais» confirme-t-il. J'hoche donc la tête et tape dans mes mains  « Alors allons-y, suivez le guide» disais-je en désignant Myrddin. Ensemble, nous nous mettons en route vers la station de métro la plus proche. En chemin, nous discutons tous les trois et je sens Martin bien plus détendu. Il commence à s'ouvrir un peu plus et ça fait plaisir. Il n'hésite d'ailleurs pas à rigoler et à faire des blagues ce qui prouve qu'il est à l'aise. Nous arrivons assez rapidement au musée, payons chacun notre entrée et passons un très bon moment, nous photographiant devant chaque statue de cire qui nous plait.

Au final, il est 19h lorsque nous sortons de là, la bonne humeur n'ayant eu aucun mal à revenir et nous reste collée à la peau pendant tout le chemin de retour vers l'appartement de l'oncle de Myrddin pour chercher ses affaire puis vers l'hôtel. Là je demande à Martin s'il veut encore rester avec nous mais il dit que non, qu'il sera mieux seul dans sa chambre car il doit encore appeler sa meilleure amie. J'accepte cette explication et monte avec Myrddin dans ma chambre.  « on va encore manger, ok? Je t'invite » je lui souris doucement et va chercher mon uniforme que je pose sur le lit avant de commencer à me changer.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyDim 3 Avr - 23:24


COME ON, LET'S BE PSYCHOS TOGETHER. —

— MYRDDIN & THOMAS
Cette histoire d’écart d’âge n’a aucune conséquence malheureuse, et j’en suis plus que ravi. Je peux comprendre que du côté de Thomas, qui est bien plus âgé, cela puisse être étrange ou carrément impensable de se taper un petit jeune de 17 ans. Moi, le savoir plus vieux, ça ne le rend que meilleur à mes yeux. Sentiment de sécurité, l’expérience, tout ça... Et puis bon. C’est excitant aussi. Mais, comme il le dit si bien, pour une semaine, l’âge ne peut pas compter. Au final ce n’est qu’un chiffre, le principal c’est que nous nous aimons. J’ai tout de même tenu à m’excuser de lui avoir caché ce détail. Au final il m’embrasse, clôturant le sujet d’une merveilleuse façon, en montrant à tous qu’il n’a aucune honte à être avec moi.

Nous passons tout le tour rien que tous les deux. Dans ses bras, je commente de temps en temps la vue, ou réponds à ses questions. Le silence est bien souvent entre nous, alors que nous profitons de la vue. Peu avant la fin, je lui fais savoir mon bonheur de pouvoir partager ça avec lui, et que si je pouvais lui faire l’amour maintenant, je n’hésiterais pas. Et lui non plus, d’ailleurs... C’est après la promesse de reporter ça à ce soir que nous descendons les derniers, à la suite de Chris et Scott, eux-mêmes devancés par Martin. Lorsque nous les rejoignons, c’est tout d’abord les voix de Martin et Scott qui nous accueillent. Sentant l’altercation venir, Thomas va se placer entre les deux et met fin à la dispute. Scott et Christopher partent alors d’un côté, et nous nous retrouvons avec Martin. Ce dernier, très gentil, me demande si cela ne me dérange pas qu’il nous accompagne. Je souris largement, en lui assurant qu’il n’y a aucun mal. C’est ainsi que tous les trois, nous partons en direction du métro pour se rendre au musée de Madame Tussaud. Nous en avions parlé un peu plus tôt avec Tom, et cela m’a semblé une bonne idée.

Sur tout le chemin, je remarque combien Martin s’ouvre davantage alors que nos discussions s’allongent. Il se détend, rit, fait même quelques blagues. Le courant passe très bien entre nous deux, comme l’avait prévu Thomas. Au musée nous passons un bon moment, c’est vrai pour moi en tout cas. Comme tous bons touristes, nous nous photographions avec nos statues préférées. La bonne humeur ne nous quitte pas lorsque nous sortons du musée, à 19h. Il fait déjà nuit, et le temps commence à se rafraîchir, mais cela ne nous empêche pas de passer d’abord par l’appartement de mon oncle. Ma tante est présente, et je lui explique alors en quelques mots que je suis pressé, que je vais avoir plus de travail que prévu avec le théâtre, que je prévois de passer la dernière semaine de répétition à bosser un maximum, et qu’ainsi, je trouve plus logique de loger chez mes collègues, plus proches du théâtre. Elle accepte, un brin suspicieuse, mais elle n’a de toute façon pas le choix. Tout le monde sait, quand il s’agit de comédie, il est encore plus impossible que d’habitude de me faire changer d’avis.

Je redescends dans la rue, où j’avais dû laisser mes nouveaux amis, avec un sac de sport chargé de tout ce qu’il faut pour une petite semaine de découchage. Nous poursuivons notre route vers l’hôtel sans encombre. Thomas propose à Martin de rester avec nous encore un peu, et, pour mon bonheur égoïste, ce dernier refuse. Il a de toute façon des choses à faire apparemment. Nous n’insistons pas et chacun se retrouve dans sa chambre. Enfin, moi dans celle de Tom. Je vais déposer mon sac et m’étire, ravi de pouvoir me débarrasser un instant de mes vêtements d’hiver et de savourer la douce chaleur de l’intérieur de la chambre. Je me laisse tomber en travers de lui, reposant mes jambes. Thomas me propose alors d’aller diner.

— Excellente idée ! lançais-je joyeusement en me relevant. Mais t’es pas obligé d’m’inviter tu sais, j’peux payer pour moi, dis-je en le suivant du regard, alors qu’il ramène son uniforme sur le lit puis commence à se changer. J’arque un sourcil, perplexe, détaillant mon amant, puis le costume. Pourquoi tu.. tu vas mettre ça ? demandais-je, ne pouvant détacher mes yeux du vêtement et arrivant sans peine à l’imaginer sur Thomas. On va où ? Faut que j’me change aussi ? Parce que j’aurais pas quelque chose d’aussi classe j’crois.

Je reporte alors mon attention sur Thomas, qui s’affaire à se déshabillant et à se changer. Je pousse un léger soupire, ayant bien envie d’aller le déranger un peu pour profiter de ce torse musclé qui s’offre à moi. Mais d’un autre côté, j’ai hâte de le voir dans son uniforme. Curiosité, quand tu nous tiens. Je reste silencieux, assis au bord du lit, à le regarder. Et je fini ébahi par combien le costume lui sied à la perfection. Je crois que je reste un moment la bouche ouvert comme un débile, à le fixer, tandis qu'il ajuste les derniers détails de sa tenue. Je reviens à terre lorsqu'il me demande si je suis prêt. Je secoue la tête, rougissant légèrement, et vais trouver en vitesse de quoi ne pas paraître comme un paysan à côté de Thomas. Je trouve une chemise et un pull qui feront l'affaire. Je me change en quatrième vitesse pour ne pas trop faire attendre Tom.

— Désolé, dis-je en finissant de me préparer. J'étais perdu dans la contemplation de ton uniforme, au cas où t'avais pas remarqué. Et il te va beaucoup trop bien. Je m'en vais mettre ma veste et autres accessoires pour combattre le froid, passant sous silence le désir qui s'est éveillé en moins à la vue de mon amant dans ces habits beaucoup trop saillants. J'imagine déjà des choses et... Ce n'est pas le moment. Bon, on y va ? lançais-je en souriant pour me changer moi-même les idées.
code by lizzou
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyMar 5 Avr - 21:16

La journée se déroule tout de même très bien. Le petit accrochage entre Martin et Scott est très rapidement oublié. Le plus jeune de mes collègues se fait rapidement une place et je sens que Myrddin et lui accrochent bien l'un avec l'autre. C'est adorable. Mais en même temps un sentiment de jalousie m'envahit. Faudrait pas qu'ils se rapprochent de trop. Enfin, je vais y veiller à ça. Pour l'instant tout se passe bien, il ne sont pas trop proche. Et nous faisons nos touristes en nous prenant en photos avec toutes les statues de cires qui nous plaisent.

Au final, la joie et la bonne humeur nous suit encore longtemps jusqu'à l'habitation de l'oncle de Myrddin. Là je me retrouve pendant quelques minutes seuls avec Martin et il me pose des questions un peu plus personnelles sur Myrddin. Je lui dis que c'est le coup de foudre, mais je lui avoue que je ne pense pas que notre relation dureras après cette semaine. Je pense que c'est c'est clair entre lui et moi, et ce depuis ce début. Enfin, peu importe.

Lorsque mon amant ressort de la maison, nous retournons à pied cette fois-ci à l'hôtel. Là Martin nous souhaite une bonne soirée, disant qu'il a des choses à faire. Je suis, bizarrement, content qu'il nous laisse seul. Je ne l'aurais pas mal prit s'il avait voulut nous accompagné encore un peu, mais au final c'est seulement avec Myrddin que je rejoins ma chambre. Là je lui explique que je l'invite à manger tout en posant mon uniforme sur le lit. Je le fusille du regard lorsqu'il me dit que je ne suis pas obligé de l'inviter.  «Ouais, mais j'ai envie » lui disais-je simplement en me tournant à nouveau vers mon uniforme.

Je commence par déboutonner ma chemise alors que Myrddin me demande pourquoi je met ça puis où on va étant donné que lui n'aura rien d’aussi classe. J'hausse les épaules, dos toujours tourné vers Myrddin, en enlevant ma chemise  «On a des avantages en tant que marin » souriais-je doucement en me tournant tout en enfilant ma chemise bleue claire parfaitement repassée  « Et je suis sérieux. Avec Scott on a déjà fait le test : en sortant en civil on est considéré comme des personnes lambda. En sortant en uniforme on est directement mieux servi» je souris en boutonnant la chemise  «Mais en plus je trouva ça classe et ... » je me tais en accrochant le bouton de mon pantalon et me stop un instant en mettant ma veste.

Myrddin semble être totalement ailleurs, dans un autre monde. Il semble ébahit par mon uniforme. Je claque légèrement des doigts et il se dépêche de mettre un pull et un autre pantalon tout en s'excusant d'avoir été trop prit par la contemplation de mon uniforme qui me va beaucoup trop bien. Je rigole de bon cœur en lissant un plis de la veste et hoche la tête  « C'est du sur mesure, donc bon » je met mon autre veste d'histoire qui va avec l'uniforme puis glisse mon porte feuille dans la poche interne et la ferme.  «Et voilà, ouais, on peu y aller » je m'avance vers la porte et embrasse Myrddin en passant à côté de lui.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyMar 5 Avr - 23:21


COME ON, LET'S BE PSYCHOS TOGETHER. —

— MYRDDIN & THOMAS
Malgré le petit souci entre Martin et Scott, la suite se passe très bien. Je ne sais pas trop comment cela se passe du côté de Christopher et de Scott, mais de notre côté, Martin oubli vite son ressentiment. Il devient de plus en plus à l’aise à mon côté, et je m’aperçois qu’en effet, nous nous entendons bien. Nos âges sont proches, ceci doit expliquer cela. Je me sens proche de lui sans que nous ayons beaucoup besoin de discuter de sujets sérieux. Par bien des aspects, il ressemble à Nathan, alors je sais comment réagir avec lui. Nous passons un bon moment tous les trois, au musée de Madame Tussaud, comme de vrais touristes. Après cela, nous faisons encore un détour par l’appartement de mon oncle, où je me dépêche d’aller chercher mes affaires pour ne pas trop les faire attendre. Seulement ensuite nous pouvons prendre le chemin du retour.

Lorsque nous atteignons l’hôtel, Martin préfère partir de son côté, nous assurant qu’il a des choses à faire et refusant la proposition de Tom. Je suis intérieurement heureux d’avoir enfin mon Tom pour moi tout seul, bien que la compagnie d’autres personnes ne me dérange pas. Tant que ça ne dure pas trop longtemps. Notre temps est compté, mine de rien. Nous lui souhaitons une bonne soirée, puis montons dans la chambre. Moi je prends le temps de me poser un coup, en travers du lit et avec quelques couches de vêtements en moins. Marcher autant fatigue pas mal. Thomas propose alors d’aller manger, il m’invite. Je lui rétorque que ce n’est pas nécessaire, mais il me fusille du regard. Il me rétorque simplement qu’il en a envie, et que c’est une raison suffisante.

— Bien chef, marmonnais-je en souriant.

Je lui demande ensuite, naturellement, pourquoi il a sorti son uniforme de marin, et si nous nous rendons dans un endroit quelque peu chic. Mon regard ne le quitte pas, un peu par habitude, et un peu parce que son dos parfaitement musclé s’offre désormais à moi. Mais, j’arrive quand même à écouter sa réponse. Habillé ainsi, il a des avantages qu’il n’aurait pas en civil, comme être par exemple mieux servi. A partir de là à peu près, ma concentration s’envole loin. Enfin pas si loin que ça, jusque au niveau de Thomas, désormais presque entièrement en uniforme. Et je bave déjà. Je suis clairement ailleurs, perdu dans des fantasmes qui, une fois que j’en prends conscience, me font rougir. C’est Thomas qui me fait revenir sur terre réellement et, bafouillant des excuses, je me dépêche d’aller me changer. Je lui fais savoir que je trouve que son uniforme lui va parfaitement. Thomas rit en entendant cette excuse un peu nulle, et m’explique que c’est du sur-mesure, ce qui explique l’exactitude de vêtement.

— Ca empêche pas que ça te va très bien, j’pensais pas qu’tu pouvais être plus beau que.. d’habitude j’dirais, de base t’es.. bref, cet uniforme c’est la cerise sur le gâteau, dis-je en allant prendre ma veste. Enfin, ça, et pis quand t’es sous la douche, et au réveil aussi... listais-je en finissant de me préparer pour lutter contre le froid.

Thomas me dit alors que nous pouvons y aller, je lui souris, et réponds au baiser qu’il m’offre, puis le suit dans le couloir. En prenant furtivement sa main, je vais l’embrasser sur la joue. Je le relâche ensuite pour sortir de l’hôtel, pas besoin d’afficher notre relation au monde entier, et s’attirer les regards réprobateurs de quelques clients. Mieux vaut prévenir que guérir. Bref, la soirée se passe merveilleusement bien, inutile de tout raconter en détail. Un vrai rendez-vous. Des rires, des discussions plus sérieuses, des regards enamourés, des sous-entendus qui se finissent en sourires taquins. Et un repas délicieux, accompagné de quelques verres de vins. Parfait. L’alcool fait quelques effets, même si je n’ai pas besoin de lui pour aller murmurer à l’oreille de Thomas que je fantasme clairement sur son uniforme. Disons que ces verres m’aident juste à être plus franc, et à avoir moins froid.

Là où ça devient intéressant, c’est la chambre. Déjà en arrivant dans l’ascenseur, vide, je ne peux m’empêcher d’aller l’embrasser. L’ouverture des portes nous interromps, mais je prends soin d’attraper la main de mon amant pour le traîner presque jusqu’à la chambre. J’ai juste tellement envie de lui, là, maintenant. Et je le lui fais plutôt bien comprendre. Lui aussi, d’ailleurs, a dû mal à cacher son désir tant il me dévore des yeux. Une fois dans la chambre, à peine a-t-il refermé à clé, et à peine ai-je enlevé veste et écharpe en vitesse... Je lui saute dessus.
code by lizzou
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyJeu 7 Avr - 22:51

Si je veux inviter Myrddin aujourd'hui ce n'est pas pour montrer que j'en ai les moyens, mais c'est surtout parce que j'en ai envie. Je veux lui faire plaisir et qu'il se fasse plaisir donc ...voilà. C'est seulement pour cette raison pourquoi je me montre aussi stricte et limite agressif quand il veut me contredire. Je crois qu'il comprends assez rapidement que ça ne sert à rien de discuter avec moi car il se rétracte avec un sourire amusé en coin.

Pendant ce temps je me change, mettant mon uniforme tout en lui expliquant les raisons pour lesquels je choisi de mettre cet habit plutôt que de me balade en civil. Je ne m'attarde pas trop non plus, il découvrira assez rapidement de lui-même la véracité de mes propos. Je lui propose ensuite de sortir et il me dit que même si l'uniforme est fait sur mesure je reste magnifique dedans. Je souris amusé puis éclate franchement de rire lorsqu'il me dit que je sexy de toute manière, que ce soit le matin au réveil ou sous la douche.  « Oh, ta gueule » le réprimandais-je de bon cœur en lui frappant gentiment l'arrière du crâne. C'est donc, toujours aussi joyeux, que nous sortons de la chambre. Nous traversons le couloir, rejoignons l'ascenseur qui nous amène vers le rez-de-chaussée. Nous sortons et je suis bien heureux d'avoir pensé à ramener ma veste d'hiver. Elle tient bien chaud ! Enfin peu importe.

Nous arrivons au restaurant, mangeons à notre faim et abusons un petit peu du champagne mais aussi du vin qui est plus qu'excellent. C'est donc, joyeusement atteint, que nous repartons vers l'hôtel quelques heures plus tard. Nous nous perdons un peu dans les ruelles -dans le sens propre du terme- et il doit être 1h du matin lorsque nous arrivons à l'hôtel. L'ascenseur désert fait faire des choses peu catholique à mon Myrddin. De lui-même il me plaque contre la paroi et m'embrasse avec véhémence et passion. J'y réponds avec bonheur, tout en me remémorant le nombre de fois qu'il m'a dit à quel point mon uniforme lui fait de l'effet.

Il me frustre lorsqu'il se détache de moi quand les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Je soupire et le suis jusqu'à la porte de ma chambre. Je l'ouvre et y entre, le laissant fermer derrière lui. J'ai a peine le temps d'enlever mon écharpe, mon bonnet et d'envoyer le tout avec ma veste dans un coin que Myrddin me saute littéralement dessus. Je fais un pas en arrière pour assurer mon équilibre mais le rattrape et réponds rapidement à son baiser.  «Quelle fougue ... » soufflais-je, amusé et passant une main dans ses cheveux. Je l'observe, me mordille la lèvre inférieure, attends un peu puis me recule vers le lit  «Allez, vient là » je l'envoie ensuite littéralement tomber sur le matelas, essayant de retenir au maximum sa chute.  «On le fait vite et bien. J'ai résisté toute la soirée et je ... » je me mordille la lèvre inférieure  «Tu tiens beaucoup aux boutons de cette chemise ? » demandais-je.

Je n'attends pas sa réponse que j'attrape le premier bouton entre mes dents. Je tire dessus et le fil ne met pas longtemps avant de céder. Je joue un peu avec le bouton entre mes lèvres puis le crache sur le sol et m'occupe des autres jusqu'à ce que la chemise s'ouvre d'elle-même.  « Je sais coudre» ajoutais-je, avec un demi sourire malicieux en remontant vers ses lèvres, tout en commençant à retirer ma cravate.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyJeu 21 Avr - 21:28


COME ON, LET'S BE PSYCHOS TOGETHER. —

— MYRDDIN & THOMAS
Petite soirée au restaurant, invité par un beau marin en uniforme... Manque plus que la chandelle et le champagne. Ah non, le champagne, on en a. C’est vrai que le fait que Thomas soit habillé ainsi incite sûrement les gens à plus de respect, mais je ne saurais pas vraiment dire la différence. D’un autre côté, j’en ai un peu rien à faire. Tout à l’heure, en lui disant que je le trouvais magnifique avec son uniforme, mais au réveil ou sous la douche par exemple, il m’a réprimandé tout en riant. Maintenant, je n’en pense pas moins ; il est vraiment incroyable. J’ai l’impression de l’aimer plus. J’ai l’impression, maintenant que j’y pense, que je l’aime toujours un peu plus, à chaque sourire ou à chaque geste de sa part. Je pourrais me perdre dans ses yeux et je ne vois pas le temps passer. La soirée se passe parfaitement bien.

C’est un peu alcoolisés que nous reprenons ensuite la route de l’hôtel. Le vin fait son petit effet, mais vraiment rien de grave. La nuit est tombée depuis longtemps, et est bien avancée. Pas très concentrés sur notre chemin, nous arrivons à nous perdre dans quelques ruelles. Il est facilement minuit passé lorsque nous entrons dans l’ascenseur de l’hôtel. J’ai même cru voir 1h affichée à l’horloge de l’accueil. A cette heure-ci, il n’y a personne pour nous embêtés dans l’endroit confiné qu’est l’ascenseur, et je n’hésite pas à me rapprocher de Thomas, avec un léger sourire en coin, avant d’aller l’embrasser. Je cesse lorsque nous arrivons à notre étage et lui prend la main pour l’amener jusqu’à la porte de notre chambre, avec un peu de précipitation mine de rien. Son uniforme me fait beaucoup d’effet, je ne m’en suis caché plus tôt, et Tom l’a sûrement très bien compris.

Il referme la porte, et je prends juste le temps de me déshabiller des vêtements d’extérieur avant de lui sauter dessus. Lui aussi a eu le temps de se débarrasser du trio écharpe-bonnet-veste. Heureusement pour lui, quoique je m’en serais occupé de toute façon. Je l’embrasse avec vivacité et envie. Après y avoir répondu, Thomas souligne avec amusement ma fougue, me dévore un instant des yeux, puis me fait reculer vers le lit. Avec le même sourire en coin, je le laisse faire et tombe finalement sur le lit. Tom propose de le faire vite et bien car il s’est retenu toute la soirée. Je ris légèrement, même sans le dire j’avais bien compris qu’il était aussi désireux que moi. Vite et bien oui, ça me va, en sachant que, de toute façon, ça ne devrait pas être notre seule fois ce soir. Avant de vraiment répondre, je suis pris de court par Thomas qui me demande si je tiens aux boutons de ma chemise. Je jette un coup d’œil à ceux-ci, les sourcils froncés, avant de regarder mon amant. Assez incertain, je tente de capter ses intentions à travers son regard mais il va plus vite. Se penchant, il attrape le premier bouton entre ses dents et l’arrache.

— Hé ! m’exclamais-je de surprise. Mais enfin Tom ça va pas ! lançais-je en riant, sans pour autant l’arrêter dans sa démarche. Il finit par défaire – arracher – toutes les attaches puis remonte pour m’embrasser avec un sourire malicieux, m’assurant qu’il sait coudre. T’as plutôt intérêt ouais, répondis-je avec un moue sérieuse. Je viens passer mes bras autour de son cou et approche mon visage du sien. Tu casse, tu répares, l’informais-je avant d’aller l’embrasser. C’est alors que je remarque sa cravate à moitié défaite. Dans un élan de générosité, tout d’abord pur et innocent, je la lui défais. Cependant, au dernier moment, je ne la lui retire pas. Avec un sourire en coin, je me redresse un peu et commence à remonter vers les oreillers. Allez viens, soufflais-je, taquin, en tirant sur sa cravate.

Je le laisse remonter sur moi, et vais l’embrasser tranquillement, faisant enfin glisser sa cravate le long de son cou. Je la laisse de côté, puis m’attaque à sa chemise. Elle, je m’en occupe délicatement. Mais avec une certaine rapidité. Entre baisers et caresses, je finis par inverser les rôles d’un coup de bassin. Me retrouvant au-dessus, un sourire de chat anime mes lèvres. Je vais l’embrasser un peu partout, sans pour autant viser ses lèvres. Je le frustre avec plaisir, tout en reprenant la cravate que j’avais laissée de côté. Sans qu’il n’ait le temps de réagir davantage, j’emprisonne ses poignets avec le tissu et parviens à nouer le tout au montant de la tête de lit. Puis je me redresse, assis sur lui, avec un grand sourire.

— Cette fois-ci tu vas devoir te laisser diriger mon petit militaire... le taquinais-je en bougeant lascivement mon bassin contre le sien.

Là je vais pouvoir faire ce que je veux. Pour changer.
code by lizzou
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyJeu 28 Avr - 21:50

Pourquoi ? Juste, pourquoi ? Coup de speed ? Envie soudaine ? Besoin de changer un peu dans mes préliminaires ? Sans doute tout ça à la fois. Pourtant, lorsque j’arrache le premier bouton de la chemise, je ne me pose pas toutes ces questions. Au contraire. J’agis presque naturellement et j’adore ça. J’avoue que la vue du torse de mon amant qui s’offre peu à peu à moi m’excite. Encore plus que ce qu’on a put faire jusqu’à présent. J’ignore les plaintes de Myrddin et sourit simplement lorsqu’il me dit que je dois réparer ce que je casse. Lorsque le dernier bouton saute, je me redresse et le regarde en défaisant ma cravate. «Voilà qui est bien mieux » disais-je en désignant le torse maintenant dénudé du jeune anglais en pressant un peu mon bassin contre le sien.

C’est alors qu’advient le retournement de situation, dans le sens propre du terme. Myrddin se redresse, attrape mes mains pour me stopper dans mon geste et enlève ma cravate. Puis, se tournant de manière à ce que je me retrouve sous lui, excité et frustré en même temps. De telle manière que je ne me rends comptes qu’il utilise ma cravate pour m’attacher au lit que lorsqu’il est trop tard. Je lève mon regard vers ma main, tire un peu sur mon bras puis regarde à nouveau Myrddin qui dit que je vais devoir me laisser faire.

Cette voix, cette malice dans son regard, son sourire aguicheur… je frémis de bonheur rien qu’en l’observant. « je suis tout à toi mon amour» disais-je en me redressant un peu pour contrer la tension qui se crée dans mes épaules. Adossé contre la tête du lit, je défis Myrddin du regard, attendant presqu’impatiemment la suite de la chose.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyMer 22 Juin - 22:59


COME ON, LET'S BE PSYCHOS TOGETHER. —

— MYRDDIN & THOMAS
Je ne sais pas ce qui me prend, je ne me savais pas comme ça ! Et pourtant, ça ne m’étonne guère. Depuis que je connais Thomas (c’est-à-dire même pas 48h), je me découvre un peu plus, à mesure que son caractère à lui m’apparaît. Je trouve ça merveilleux, je ne me suis jamais senti aussi bien que lorsque je suis avec Tom. Il me fait être plus que moi-même, c’est super étrange. Je suis loin d’être adulte, d’avoir une idée de l’homme que je veux devenir. Néanmoins, quand je suis sous le regard de mon australien, je n’ai pas de questions à me poser : je suis celui que je veux être. Et lorsque nous nous séparerons à la fin de la semaine, je suis certain que ce sentiment me poursuivra, et qu’ainsi, je n’aurais plus qu’à remercier Thomas pour tout ce qu’il m’apporte.

Mais revenons à nos moutons. Ou plutôt, à mes boutons. Le militaire prend à malin à les arracher sans hésitation. Malgré mon mécontentement de voir cette chemise ruinée, je le laisse faire. Mon dieu, comment vais-je l’expliquer à ma mère... ? Je sors de ces pensées lorsque je remarque la cravate à moitié défaite de Thomas. Alors que ce dernier me taquine, moi, il me vient une idée que je qualifierais de géniale. Sans lui enlever totalement le bout de tissus autour du cou, je remonte sur le lit pour m’installer plus confortablement. Là, nous entamons un ballet de baisers et de caresses tous plus passionnés les uns que les autres. Ainsi occupé, Thomas me laisse prendre le dessus, au sens propre. C’est à mon tour de le surplomber, et de le maintenir un peu frustré. Je détourne son attention du fait que j’ai chopper sa cravate et que, sans en avoir l’air, je me saisis de ses poignets...

Et il se retrouve en un rien de temps prisonnier. Merci les scouts et le temps passé à apprendre à faire des nœuds. J’observe mon amour qui comprend avec incrédulité sa situation. D’un grand sourire, presque innocent, alors que mon regard exprime tout autre de chose (de moins catholique), je lui annonce qu’il n’a plus qu’à se laisser faire. Il paraît ravi de la tournure des choses, bien que je décerne une lueur de défi dans son regard. Ne m’en croit-il pas capable ? Un sourire en coin se forme sur mes lèvres, alors que je pose une main délicate sur son torse. Je commence à défaire naturellement les boutons de sa chemise, prenant mon temps. Une fois l’accès à son torse ouvert, je vais y déposer une myriade de baisers. A la différence de mon amant, je prends mon temps. J’en souffre un peu, mais je sais que le forcer à prendre son mal en patience ne rendra la suite que plus délicieuse. Ainsi, je finis par le débarrasser de son pantalon, puis de son caleçon, sans me presser, avec quelques caresses là où il faut, là où je le devine un peu sensible.

Sans lui accorder un autre regard, je viens me placer entre ses jambes, que je prends soin d’écarter un peu. Ma main vient à la rencontre de l’entrejambe de Thomas, puis je me penche, et c’est ensuite mes lèvres qui viennent effleurer la peau de ce membre tendu. Plein d’audace, j’utilise ma langue pour taquiner sensuellement mon cher Tom. C’est la première fois que je fais une chose pareille, pourtant, ce n’est qu’après quelques secondes, et un petit coup d’œil à mon amant, que je finis par le prendre en bouche. Mon but n’est cependant pas de le faire jouir tout de suite. Je me débrouille du mieux que je peux pour doser mes mouvements, étant loin de maîtriser la technique de la fellation. Je m’aide des mouvements et des bruits venant de l’australien pour cesser de jouer avec ma langue ou au contraire, aller un peu plus loin dans mes mouvements de tête.

J’arrête après je ne sais combien de temps, pour reprendre mon souffle, et aussi parce que j’ai estimé que Thomas n’allait pas tenir beaucoup plus longtemps. Je dépose quelques baisers sur son bas-ventre, en remontant son torse, jusqu’à l’embrasser sur la mâchoire.

— Avoue tu t’y attendais pas, murmurais-je d'une voix rauque et taquine.

code by lizzou
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 EmptyVen 24 Juin - 16:06


Je ne savais pas que, se faire ainsi dominé, était aussi agréable et jouissif. Je pense que c’est sans doute parce que c’est Myrddin qui est sur moi que je me sens frémir aussi vivement. Mais ça ne change rien au fait que … putain. Ce garçon est magique. Il est tout ce que j’attends d’une personne qui me fait l’amour : doux mais véhément, tendre mais sauvage, malin, aguicheur. Il ne me connait que depuis même 48h, mais il sait trouver les endroits sensibles, ceux qui augmentent graduellement mon plaisir. Je l’aime Myrddin. J’en ai la certitude. J’ai testé tellement d’autre chose, j’ai enchaîné les copines, eu quelque plan d’un soir, mais jamais, oh non jamais personne n’a eu cet effet sur moi. Pas même Joana, ma première vraie copine que j’ai quittée pour entrer dans l’armée, après 3 ans de relation.
 
Myrddin est différent. Son amour est sincère. Et plus il me caresse, plus il m’embrasse, plus je me dis que nous devrions tenter une relation à distance. Je pense que chacun de nous gagnera à rester en contact. Ou peut-être pas ? Je cesse de me poser tant de question lorsque les doigts agiles de mon amant ouvrent lentement ma chemise.  Heureusement que lui n’en arrache pas les boutons car je n’en aie pas d’autre ici. Enfin peu importe. Je le frémis lorsqu’il me touche le torse, me cambre lorsque ses mains passent sur mon pantalon pour le déboutonné. Il se penche, embrasse ma poitrine et mon ventre, écarte mes jambes et se place de manière à pouvoir abaisser mon pantalon sans problème.
 
 
La suite fût aussi parfaite que le reste de la semaine. Tout. Absolument tout avec Myrddin était parfait. Et lorsque je remonte dans l’Eurostar et que je le vois sur le quai, mon cœur se sert. Jamais je ne le reverrais, j’en suis persuadé. Regretterais-je cette semaine ? Absolument pas. Regretterais-je ne pas lui avoir demandé mon numéro de téléphone et l’avoir invité pour me rejoindre à Brest ? Sûrement. Mais il est trop tard maintenant.
 
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty
Message(#)[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas - Page 5 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

[Hot] come on, let's be psychos together • Myrddas

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 5 sur 5Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
30 YEARS STILL YOUNG :: 
écrire son histoire
 :: nouer des contacts :: mémoire du passé
-