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 joamie + all that matter is my family

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 10:12

all that matter is my family
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Ca ne dérangeait pas Joanne en soi, d'être l'exemple à suivre pour son fils, mais pour le moment, celu-ci n'avait pas grand chose à tirer des passions de sa mère, parce qu'elle n'en avait plus vraiment. Bien sûr, elle adorait toujours autant l'histoire et son art, toujours preneuse de revues, livres et documentaires sur les périodes qui lui plaisaient le plus. Mais Daniel était encore un peu trop jeune pour lui inculquer cette soif de connaissance. Peut-être qu'il s'inspirera déjà rien que de la bonté de sa mère, des valeurs familiales qui lui tenaient à coeur. Ce n'était pas rien. Si elle parvenait à lui apprendre et lui faire comprendre déjà tout ça, il en aura déjà beaucoup retiré d'elle. Ce n'était pas la peine de trouver une source d'inspiration, Joanne était sûre qu'il trouvera ses propres hobbies. Il s'y essaiera jusqu'à ce qu'il trouve ce qui le définit vraiment. Sa mère sera toujours là pour l'accompagner. "J'avoue que je me vois un peu plus comme un guide." lui avoua-t-elle en souriant. "Je lui donne tous les éléments possibles pour qu'il puisse se construire. Il aime déjà faire des activités avec moi, même si ça ne se résume qu'à mettre littéralement la main dans la pâte." Elle riait face à ce souvenir, il en avait mis partout. "Je lui montrerai ce qui me passionne, ce que j'aime faire, même si ça ne se résume pour le moment qu'à m'occuper de ma famille, prendre soin de vous. Ce sont déjà des valeurs qu'il apprendra. Pour tout ce qui est hobby, je pense qu'il pourra largement plus puiser chez son père. Et à côté, il tentera ce qu'il voudra comme activité, jusqu'à ce qu'il trouve la bonne." Il avait un père passionné d'art, de nature, c'était un bon joueur de piano. Sa mère adorait l'histoire, avait conservé tout ce qu'elle appris en danse étant plus jeune, et avait conservé une certaine souplesse. "A la limite, je pourrai lui apprendre la valse, et d'autres danses de couple." finit-elle par dire, un peu amusée à cette idée - mais cela serait tout de même une grande fierté. "J'aimerais bien reprendre la danse, quand j'y pense." dit-elle plus bas, totalement dans les nuages. Jamie se sentait presque fautif que sa belle se retrouve devant le fait accompli, sans ne plus avoir de repères qui lui était propres. Il pensait que c'était de sa faute, que c'était lui qui lui avait retiré une partie d'elle, tout ce qu'elle était de sa vie d'avant. "C'est grâce à toi que j'ai cette vie là, Jamie. Nous avons une vie que tout le monde puisse envier, nous avons un bébé merveilleux." lui assura-t-elle. "J'ai quitté mon travail, oui. Mais j'ai démissionné parce qu'on m'a laissée un choix entre mon travail, et ma famille. Et tu sais que tout ce dont j'ai toujours désiré, c'était la deuxième option. Je n'ai pas vraiment hésité sur cette décision." lui dit-elle. "J'aime ma vie telle qu'elle est." Même si elle avait encore beaucoup de travail sur elle-même, encore plus depuis qu'on lui permettait de recréer son monde. Après avoir changé de sous-vêtements, Joanne se réinstalla à côté de Jamie, alors qu'il lisait une histoire à leur fils. "Ils ont tous les deux un bec, tu me diras." lui répondit-elle en riant. "On pourrait l'emmener au zoo, je pense, il devrait adoré, même à son âge. Il comprendra que c'est très intéressant en voyant Papa devenir complètement gaga devant chaque animal qu'il verra." suggéra-t-elle en lui lançant un regard complice. "Vu comme il s'émerveille d'un rien, il devrait adorer voir des animaux autre des chiens." Joanne était impressionnée par sa capacité à reconnaître les animaux, à les imiter. "Je t'avais dit que Papa savait bien mieux faire le bruit des animaux que moi." dit-elle à Daniel en lui caressant la joue. Ils finissaient tous ensemble le petit livre sur les animaux, et en prirent même un deuxième. Il adorait qu'on lui racontait des histoires, même s'il devait à peine commencer à comprendre tout ce qu'on lui disait. C'était certainement entendre la voix d'un de leurs parents pendant de longues minutes, qui l'apaisaient. Là, c'était Jamie qui racontait, et qui allait ensuite le coucher. Pendant ce temps, Joanne alluma la télé, et fit chauffer de l'eau pour prendre un peu de thé. Rien ne garantissait qu'ils allaient le boire. Qu'importe. Installée sur le canapé, elle regardait sur la TV à la demande une série qui pourrait leur plaire. "J'espère que ta berceuse l'a profondément endormi." lui demanda-t-elle tout bas alors qu'il s'installait confortablement sur le canapé. "Jusqu'à demain, dix heures, au moins." Elle se blottit contre lui une fois qu'il avait trouvé sa position. "J'ai commencé à regarder quelle série pourrait se montrer intéressante. Mais je ne savais pas si tu avais envie d'un peu de fantastique, ou plutôt quelque chose d'humoristique, ou autre... Peut-être pas une série trop intellectuelle, faut quand même qu'on arrive à suivre." dit-elle en continuant de parcourir la liste. "Et j'ai fait chauffer de l'eau chaude, mais rien mis à infuser. Je ne savais pas si tu voulais en boire." Elle riait légèrement.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 11:18


☙ all that matter is my family


C'est une des rares fois où nos points de vue divergent vraiment sur un point de l'éducation de Daniel -et même si ce n'est pas vraiment la question dans le cadre de cette future pièce pour Joanne, il est toujours bon de savoir comment celle-ci envisage son rôle de mère. Les différences de point de vue. Je ne me permettrais pas de remettre en question sa manière de considérer son rôle, qu'importe ce que j'en pense ; à mes yeux, elle est une bonne mère dans tous les cas, et elle fera toujours mieux le job que moi. Ainsi, transmettre ses passions n'est pas dans les impératifs d'une mère pour elle, mais elle admet qu'au besoin, elle pourra toujours apprendre notre fils à danser. « Ca peut toujours être utile. » je rétorque avec un petit rire. Je m'efforce de conserver ce sourire, comme si de rien n'était, lorsque Joanne en profite pour glisser son envie de reprendre la danse. « Pourquoi pas. » dis-je en haussant les épaules, encourageant. Sauf que la danse, ça se pratique à deux. Il lui faudra un partenaire, qui ne sera pas moi. Autant dire que si j'adorerais qu'elle se prenne de passion pour une activité, la danse ne faisait pas partie de la liste -pas en duo en tout cas. Mais si c'est ce qu'elle veut, je ne peux pas l'en empêcher. Elle a déjà abandonné bien des choses pour moi et notre famille, elle peut bien avoir ce plaisir là pour elle. C'est l'idée, après tout. Ma fiancée tient à me faire comprendre que je n'ai pas à me sentir coupable des bouleversements de sa vie. Je souris en coin. En soi, la culpabilité est moindre. C'est surtout la perte de son poste au musée qui me chagrine. Elle m'assure que sa vie telle qu'elle est la satisfait. « C'est bon à savoir. » je murmure avant de lui voler un baiser. « Je t'aime. » Puis elle file se changer pendant le biberon du soir de notre garçon. A son retour, elle s'installe à côté de nous pour suivre l'histoire palpitante des animaux de la ferme, celle où le fameux canard rend tout fou Daniel. Il ne sait imiter qu'un animal, mais je ne suis pas sûr qu'il comprenne qu'il est en train de l'imiter, c'est surtout le son qui l'amuse à mon avis. « Ils n'ont rien à voir. » dis-je avec une mine boudeuse. On ne mélange pas pingouins et canards en ma présence. C'est un tir à corriger au plus vite. « Je ne deviens pas gaga devant les animaux. » je réponds quand Joanne suggère une prochaine sortie au zoo maintenant que Daniel semble s'intéresser aux bêtes. « Je… j'apprécie juste leur diversité. » Et je les trouve tous adorables, autant que j'adore en apprendre plus sur eux constamment. Je ris lorsque la jeune femme vent mon don d'imitateur d'animaux. J'en use souvent avec le petit, cela semble l'amuser. « Un talent de grande nécessité. » Surtout avec les enfants. Tous les enfants aiment les animaux, Daniel ne fait pas exception, encore moins avec un père pareil. Nous passons d'un petit livre à l'autre, et cela le captive toujours autant. A la fin, l'heure d'aller dormir est venue. Malgré sa longue sieste, nous ne doutons pas qu'il s'endormira bien vite. « On dit bonne nuit à maman ? » je demande au garçon qui lance un de ses sourires les plus charmeurs à sa mère. Je secoue un peu la main comme pour dire au revoir, puis prend la sienne pour lui faire reproduire le geste. « Bonne nuit maman ! » Puis, avant de quitter le salon, je nous tourne vers Joanne. « Regarde, on envoie un bisou comme ça. » Je dépose un baiser dans ma main, le souffle vers la jeune femme, puis lui fait répéter le geste. Ca l'intrigue, tous ces petits codes. Il regardera sa main et le bisou invisible pendant tout le chemin jusqu'à sa chambre. Pendant de longues minutes, faisant les cent pas, je le berce tendrement et lui chantonne tout bas, à l'oreille, An other day in paradise. Il n'est pas tout à fait assoupi quand je le dépose dans son lit, mais cela ne saurait tarder. Cela ne semble pas le déranger d'avoir un moment pour somnoler tout seul dans sa chambre avant de s'endormir. Il a sûrement quelques secrets à partager à son doudou avant d'aller au pays des rêves. Je ferme doucement la porte derrière moi, et retourne au salon. « Eh bien, s'il se réveille avant, tu pourras te plaindre auprès de Phil Collins. » dis-je en me laissant tomber dans le canapé. Joanne se blottit tout contre moi. En l'écoutant, je l'embrasse sur le front. « Pourquoi voudrais-je du thé s'il y a de l'eau chaude nature, voyons ? » je demande pour la taquiner, un peu moqueur. « Je vais préparer ça. » Je l'embrasse et quitte de nouveau le canapé pour aller mettre du thé à infuser. Nous n'avons pas beaucoup de choix dans cette maison-ci, alors j'y ajoute un peu de miel pour sucrer et adoucir le tout. Puis j'apporte le tout sur la petite table. « Je suis très loin d'être un expert en matière de séries, tu sais. J'ai entendu beaucoup de bien de celle sur des détenues, là, avec un nom à rallonge. » C'est dire à quel point je ne suis rien du tout, pas même Game of Thrones. De temps en temps je regarde ce qu'il y a au programme sur les chaînes d'ABC en allant déjeuner à la régie générale de la télévision ces jours où j'ai besoin d'une pause dans un endroit où l'on ne pensera pas me chercher et où il n'y a pas de réseau. Quand je joue à cache-cache avec mes responsabilités en somme. Le temps que Joanne se décide sur un programme, je range un peu les jouets de Daniel étalés au sol, histoire que personne ne trébuche sur l'un d'eux. « Au pire, si rien ne nous inspire, nous pourrons toujours nous faire une lecture analytique de… « Où est mon os ? ». Best seller. » dis-je pour plaisanter, l'air sérieux, en montrant le livre en carton de nôtre garçon.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 12:05

all that matter is my family
I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Joanne savait que rares étaient les fois où ses paroles parvenaient véritablement rassurer son fiancé. Les résultats n'étaient jamais convaincants, et elle se doutait que c'était toujours le cas lorsqu'elle lui dit qu'elle était heureuse de la vie qu'il lui avait offerte, malgré toutes les concessions auxquelles elle avait été confronté. Il sourit tout de même, volant un baiser à sa belle. Oui, elle avait du renoncer à un métier qu'elle adorait, et encore à ce jour, ça lui manquait énormément d'y travailler. Mais elle avait été confronté à un choix compliqué, et elle avait fini par trancher. Ce n'était jamais son for, de faire des choix. Pourtant, en très peu de temps, elle avait pris des décisions capitales dans la poursuite du cours de sa vie. Elle avait rendu son appartement, elle avait renoncé à son métier, et, malgré tout, cela avait rompu le contact avec beaucoup de ses collègues. Sophia était partie aussi. Joanne n'avait pas passé en revue tout ce qu'il s'était passé ses derniers mois, et elle ne le voulait pas vraiment. C'était comme si sa vie était tranchée en deux, et qu'elle venait tout juste de commencer une nouvelle partie, une nouvelle phase. Avec Daniel, ils regardaient divers livres sur les animaux. "Tu t'émerveilles énormément, tu retrouves tout le temps ton âme d'enfant quand on va quelque part où il y a des bestioles." lui dit-elle d'un air attendri. Il était encore plus craquant lorsqu'il cherchait à se justifier. "Tu es adorable, mon amour." lui dit-elle en lui caressant la joue. Jamie arrivait à fasciner leur fils par tous les bruits d'animaux qu'il parvenait à faire, même si Daniel avait une franche préférence pour le canard. "Tu vas avoir un succès fou auprès des enfants, avec un talent pareil." lui dit-elle en riant. Il était ensuite temps de coucher le bébé, il avait grand besoin de sommeil. Joanne lui fit un geste de la main, comme Jamie lui faisait faire, pour lui dire bonne nuit. "Dors bien, mon trésor." Elle lui envoya aussi un baiser en soufflant sur la paume de sa main, et regardait ensuite d'un air attendri son fiancé qui montrait comment faire au petit. "Je t'aime, Daniel." dit-elle avant qu'ils ne partent. Jamie revint quelques minutes plus tard, n'hésitant pas à la taquiner par rapport au thé. "Oh mais tu sais, je ne voudrais pas que l'on oublie le thé et qu'on le fasse infuser trop longtemps." rétorqua-t-elle en riant. "Je suis parfois un peu tête en l'air." Elle lui fit un clin avant qu'il ne file terminer de préparer la boisson chaude. "Je ne pense pas que je m'y connaisse beaucoup plus que toi." lui précisa-t-elle. "Quand j'étais seule chez moi, quand j'avais mon appartement, je regardais surtout des séries policières, ou des sitcoms lorsque je n'avais pas très envie de réfléchir." Tout en parlant, elle continuait de parcourir la liste des suggestions. "Mais on peut toujours essayer de trouver cette série avec un nom à rallonge." reprit-elle. Elle finit par la trouver, et fit charger le premier épisode. "On peut toujours lire ça, oui, au pire." répondit-elle en riant, voyant Jamie finissant de ranger tous les jouets de Daniel. Une fois qu'il avait terminé, elle lança le premier épisode et se blottit contre Jamie. A vrai dire, Joanne était un peu distraite et ne suivait pas vraiment l'épisode, se plongeant parfois dans ses pensées. Elle se demandait toujours ce qu'elle pouvait bien mettre dans cette pièce. C'était une idée assez plaisante, de se dire que ce serait son propre sanctuaire, qu'elle serait la seule à pouvoir y entrer. La main posée sur sa cuisse, Joanne le caressait doucement avec ses doigts, perdue dans ses pensées. C'était un bruit un peu plus fort venant de la télévision qui la fit légèrement sursauter et revenir à elle. Elle regarda ensuite son fiancé, lui sourit, et l'embrasse délicatement. Elle tenta de se reconcentrer sur l'épisode, mais elle n'en avait pas suivi une bonne partie. "On m'a déjà perdue." dit-elle au bout d'un moment en riant. Elle récupéra sa tasse pour boire une gorgée de thé et la reposer sur le plateau. "Je suis un peu distraite." dit-elle tout bas, ne sachant pas si Jamie, lui, avait suivi quelque chose. "Il y a un homme magnifique à côté de moi, difficile de se concentrer sur quelque chose d'autre que lui." ajouta-t-elle en riant un peu, fière de réussir à glisser des compliments quand elle veut, dès qu'elle en a l'occasion.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 12:42


☙ all that matter is my family


Il y a des jouets un peu partout. Le tapis du salon en est couvert. Ce garçon est beaucoup trop gâté, me dis-je, mais au moins, il a de quoi s'amuser et répondre à son immense curiosité. Pleins de bidules qui font du bruit ou des couleurs, des hochets, des peluches, des livres en carton et en plastique, et de quoi mordiller depuis que Daniel fait ses dents. Le tout retrouve sa place dans le grand sac que nous apportons toujours avec nous ici, dans un coin de la pièce. Le salon ayant retrouvé un aspect plus décent, je retourne dans le canapé. Confortablement installé, j'ai ma tasse d thé dans une main, ma fiancée sous le bras d l'autre ; autant dire que je suis loin d'être mal loti. La jeune femme lance la série que j'avais vaguement évoqué, puisque c'est la seule nous venant à l'esprit -et puis, ça ne coûte rien d'essayer et savoir de qui il s'agit. De temps en temps, je caresse machinalement l'épaule de Joanne. Sinon, je porte ma tasse à mes lèvres et bois un peu de thé. Lorsqu'un film ou une série me captive, elle obtient toute mon attention, et non la moitié. Si je ne suis pas emballé, mon esprit s'égare, et rapidement je dois choisir entre m'endormir comme une masse ou faire quelque chose de mes quatre membres. Soit je ne tiens pas en place, soit je m'assoupis, pas de demi-mesure. Mais la série parvient à garder mon attention. Elle est originale, et plutôt drôle, alors je suis bon spectateur, et le niveau de mon thé baisse progressivement. Le sursaut de Joanne me surprend également. Mon regard se pose sur elle ; elle n'a pas bougé depuis le début de l'épisode et a à peine touché à sa tasse. Pour cause, elle n'était en rien attentive, plongée dans ses pensées. Je souris en coin. Quel cas. Je pouffe un peu, nerveusement, secouant négativement la tête lorsqu'elle me glisse une flatterie. Du coup, j'ai perdu le fil de la série. Et si la jeune femme ne la suit pas, cela n'a plus vraiment d'intérêt. « Tu n'y mets vraiment pas du tien. » dis-je en faisant mine de la réprimander -ce qui est parfois un jeu dangereux vu son manque de second degré par moments. Je mets la télévision sur pause et abandonne ma tasse sur la table basse, l'air agacé. « Je suis en train d'essayer de passer un samedi soir banal, d'une normalité absolue, comme n'importe quel autre petit couple plan plan, et tu ruines tout. » je reprends, ayant de plus en plus de mal à contenir mon sourire amusé. Qui voudrait d'une vie plan plan ? Néanmoins, il est drôle de constater que nous sommes finalement à peine capables de regarder un épisode jusqu'au bout. « Du coup, mon pronostic était mauvais. » dis-je en préférence à mon estimation de tout à l'heure, lorsque nous parlions du programme de ce soir. « Finalement, nous ne pouvons même pas tenir un seul épisode. » J'espère quand même que nous réussirons à être plus attentifs demain, sans quoi nous risquons de finir la journée au lit, soit à faire l'amour, soit à nous ennuyer ferme. Il doit bien y avoir un moyen de nous détourner de tout ça. Mais pas cette fois, pas ce soir. C'est un échec. « Je crois que nous ne sommes pas faits pour ça. » dis-je, résigné, haussant les épaules. Mon regard se pose sur Joanne, complice et malicieux. Je me tourne un peu vers elle, l'observe. Il y a donc bien une surprise pour moi là-dessous. « Il va falloir se trouver une autre occupation alors. Comme, découvrir ce qui se cache sous cette robe. » Je suis toujours très curieux de savoir ce qu'elle me réserve, ce qu'elle aura choisi pour une occasion ou une autre. Je me demande ce que ça sera, cette fois -s'il y a bien quelque chose sous le tissu. Je me demande quelle humeur cela lui inspirera ; si je serai plus à elle, ou elle plus à moi.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 13:17

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Joanne peinait à se concentrer sur la série télévisée, et pour preuve, elle ne comprenait pas un traître mot de l'intrigue lorsqu'elle tentait de suivre la conversation des deux personnages affichés à l'écran. Elle partagea son manque d'attention à son fiancé, qui ne semblait pas plus inspiré que ça pour le moment. Joanne sourit largement lorsqu'elle le vit secouer la tête après qu'elle l'ait complimenté. "Je n'y peux rien, si tu me fais constamment cet effet là." lui rétorqua-t-elle malicieusement, avec un sourire sur ses lèvres. Jamie tentait de lui reprocher le fait qu'elle perturbe leur soirée qui était un peu trop banale pour leur histoire de couple. Joanne haussa les sourcils en le regardant, prête à rire face à l'expression qu'il avait. "Mais depuis quand aimez-vous donc la normalité, Mr. Keynes ?" lui demanda-t-elle, les yeux rieurs. "Si nous avions regardé la télévision toute la soirée, nous aurions été trop raisonnables." Et depuis que Jamie avait arrêté ses médicaments, et depuis que Joanne était revenue de Perth, ils s'étaient en quelque sorte promis de rester eux-mêmes, d'accepter ce qu'ils étaient. Et raisonnables, ils ne l'étaient certainement pas. Il constata que le pronostic qu'il avait estimé un peu plus tôt était faux. "Oh, à un épisode prêt." lui dit-elle. "Est-ce un mal, de ne pas pouvoir tenir si longtemps ?" demanda-t-elle. "Dans certaines situations, ce serait très délicat, mais on peut se permettre d'écourter le délai pour ce soir." Jamie était un excellent comédien,  et savait faire tellement d'expressions différentes, cela émerveillait toujours la jeune femme. Et elle tombait toujours dans le panneau. Leur complicité s'était aussi beaucoup décuplée depuis qu'elle était revenue. Ces petits regards où ils arrivaient à tout se dire sans avoir à ouvrir la bouche. "Mince alors." lui dit-elle d'un air résolu, en faisant un petit peu la moue. Joanne ne put s'empêcher de rire quelques secondes après. Forcément, le bel homme était on ne peut plus curieux de voir les derniers achats de sa fiancée. Elle ne put s'empêcher de sourire, toujours satisfaite de l'éveiller ainsi. Et surtout, de lui plaire. Il y avait toujours une petite pression, de peur qu'il n'aime pas la coupe, ou la couleur. Mais jusqu'ici, il était tombé sous le charme des nouveaux dessus de sa belle. Ou plutôt de sa belle dans ses nouveaux dessus. Joanne se pencha pour l'embrasser, avec beaucoup de lenteur de son geste. "J'ai voulu mettre un peu de couleurs, cette fois-ci." dit-elle en guise d'indice, toute malicieuse. Jusqu'ici, elle portait des couleurs assez basiques, qu'importe le type de lingerie. Cette fois-ci, elle avait opté pour un ensemble turquoise, mettant sa poitrine particulièrement en valeur. Joanne avait eu un véritable coup de coeur pour celui-ci. Joanne se redressa et se tourna légèrement pour être face à lui. Tentant d'être aussi séduisante que possible, même si elle ne perdra certainement jamais son côté ingénu, elle retira tout en lenteur sa robe, avec autant de délicatesse possible. Elle avait toujours son coeur qui battait un peu plus vite à ce moment là, à chaque fois qu'elle lui dévoilait son coeur. Certainement un petit reste de sa pudeur, mais qui procurait un sentiment particulièrement positif. Elle ôta complètement sa robe, qu'elle laissa ensuite glisser par terre. Il n'y avait plus que ses sous-vêtements et sa bague de fiançailles sur elle. Joanne se demandait s'il aimait ce petit changement. Elle le laissait le regarder autant qu'il le voulait, observer le moindre détail de son corps. Son regard ne le gênait plus vraiment, au contraire. Joanne avait fini par apprécier par attirer son regard à lui, se fichant bien de ceux des autres hommes. Elle ne voulait plaire qu'à lui. "Je suis tout à toi. Rien qu'à toi." dit-elle dans un murmure, comme pour ne pas perturber la sérénité de la pièce avant la suite des événements.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 14:42


☙ all that matter is my family


« Je voulais juste essayer. » je réponds en haussant les épaules. « Peut-être que j'y aurais pris goût. » Mais non, la normalité n'est pas faite pour nous. Pas pour le moment en tout cas. Peut-être qu'un jour la passion passera, le calme s'imposera et nous nous aimerons d'une autre manière, plus raisonnable et tendre. Pas ce soir. Ainsi reprenant nos habitudes, je propose à Joanne de me laisser voir cette fameuse lingerie qu'elle a glissé sous robe tout à l'heure en prévision de cette soirée. Nous avon sune frustration à soulager. Face à moi, Joanne se charge de défaire l'emballage du cadeau. Avec sensualité, elle retire peu à peu sa robe, dévoilant d'abord le haut de son ensemble. Nonchalamment accoudé au dossier du canapé, je la regarde faire avec un petit sourire au coin des lèvres, appréciant simplement le spectacle. C'est vrai, c'est bien plus coloré que tout ce qu'elle avait pu porter jusqu'à présent. Mais ce bleu se marie superbement avec sa peau pâle, lui donnant un petit air de ces créatures sous-marines mythiques qui faisaient chavirer le coeur des hommes. La robe tombe le long de ses belles jambes, et laisse alors la moindre courbe de sa silhouette à ma vue. Le furtif passage de mes dents sur ma lèvre laisse deviner que j'apprécie beaucoup ce que je vois. Peut-être peut-elle voir, d'où elle est, mes pupilles dilatées pour ne pas en rater une seule miette. Mon regard glisse de haut en bas, lentement, à plusieurs reprises. Sur cette même femme, je ne me lasse pas d'admirer la courbe de ses jambes, puis ses hanches et sa taille, le galbe de sa poitrine, ses frêles épaules nues, son cou, ses délicieuses lèvres. Quoi qu'il arrive, elle garde sa bague de fiançailles sur elle. Elle ne la retirerait sous aucun prétexte. Le petit bijou brille à son doigt, d'une lueur légèrement rosée. Elle est tout à moi. C'est toujours très flatteur de se dire que cette beauté là est mienne. Qu'elle se donne du mal pour moi, pour me plaire, alors qu'elle est déjà magnifique et qu'elle fait tourner les têtes. Que tout cet amour qu'elle a à donner est mien. Et que bientôt, à son doigt, s'ajoutera l'anneau qui fera d'elle ma femme, la faisant mienne pour toujours. « J'aime assez quand tu le dis. » je murmure tout bas, toujours ce sourire au coin des lèvres, toujours en train d'admirer le moindre détail de son anatomie. Malgré son petit air ingénu, malgré elle, on ne pourrait pas faire plus féminin et admirable. A la fois gracieuse et adorable. Toujours un peu nerveuse, mais déterminée à se montrer aussi sensuelle qu'elle peut l'être pour moi. « Tu es superbe. » je finis par souffler au bout d'un long moment de contemplation. Quoi que je pourrais rester là encore plus longtemps, des heures durant, à l'admirer sans la toucher, et laisser mes yeux se ravir de la plus belle des vues. Je me lève finalement pour me mettre face à elle ; je glisse une main dans ses cheveux, l'autre allant chercher la sienne pour entremêler nos doigts et l'attirer dans le couloir. Nous nous sommes déjà occupés du salon aujourd'hui. Nous pouvons retourner dans notre bulle, notre chambre. Nous ne faisons pas un bruit, comme pour conserver toute la tranquillité de la maison, et ne garder toutes les démonstrations de passion que pour notre antre. Là où, une fois la porte fermée, le monde extérieur n'existe plus, où il n'y a qu'elle et moi, et l'envie d'être à l'autre. Je compte prendre le temps cette fois. Profiter de la vue qu'elle m'offre et de sa silhouette en beauté. Mes mains sur son fessier, je la soulève du sol et la prend dans mes bras. Le dos contre le mur à côté de la porte, ses jambes cerclent ma taille pour m'avoir aussi près d'elle que possible. Je l'embrasse avec tendresse, une certaine application. Mes doigts glisse le long de sa fesse pour trouver, entre ses jambes, son intimité. Je ne la frôle qu'à peine, pour pouvoir avaler quelques soupirs naissants.  Mes baisers s'exilent dans son cou. A travers mon torse nu contre le sien, Joanne eut certainement sentir le tambourinement de mon coeur.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyDim 24 Juil 2016 - 15:40

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


Il n'y avait certain rien de plus valorisant qu'un tel regard sur soi. A travers ses iris verts, Joanne était soulagée et ravie de savoir qu'elle lui plaisait toujours. Il la regardait de haut en bas, s'attardant sur les courbes qu'il préférait le plus chez elle. Il passait même ses dents sur sa lèvre, très rapidement. Il ne pouvait pas prononcer un mot pendant de longues minutes, il était bien trop submergé par sa contemplation. Il la regardait toujours comme si elle était une divinité, la chose la plus belle et la plus précieuse qui soit. S'il la voyait ainsi, se dit-elle, il devait jubiler à l'idée de savoir qu'il était le seul à pouvoir la regarder comme ça, le seul qui en avait le droit. Ses yeux étaient vitreux, les pupilles dilatées par l'excitation et le désir. Il ne le démentait pas, il adorait lorsqu'elle disait qu'elle était à lui, et à personne d'autre. Jamie arborait ce petit sourire, satisfait et malicieux à la fois, terriblement envieux. "Je te le dirai toute la soirée, si tu veux." dit-elle tout bas. Elle le lui susurrerait inlassablement. Lui, comme elle, avait besoin de sentir à l'autre, de lui appartenir. Alors ils se répétaient constamment cette phrase, mais ils se le communiquaient aussi par la chair, l'amour. Ils se le demandaient de manière égal. Jamie ne manqua pas de la complimenter, ce qui fit largement rougir et sourire sa belle. A chaque fois, elle était tellement heureuse que ça lui plaise. Ce n'était pas grand chose pour elle, mais pour lui, c'était à chaque fois amplement suffisant. Elle était toujours un peu surprise qu'il apprécie autant qu'elle prenne le dessus sur leurs ébats, non seulement dans la position que dans la manière de faire. Il avait toujours énormément besoin d'amour, et il puisait absolument tout chez sa belle. Joanne lui en donnait autant qu'il en voulait. Le bel homme se leva, passa l'une de ses mains entre les mèches blondes de sa belle avant de croiser ses doigts avec les siens pour l'emmener dans un endroit qui n'appartenait qu'à eux. Leur chambre matérialisait un petit peu leur bulle. A peine la porte fut fermée derrière eux que Jamie la porte en se saisissant de son postérieur. Il la soulevait avec une facilité déconcertante à chaque fois. Il la plaqua délicatement contre le mur, et elle entoura sa taille avec ses jambes, par pur automatisme. Joanne répondait à son baiser avec autant de délicatesse. Le torse de Jamie était déjà terriblement. Elle puisait un peu de sa chaleur en collant sa poitrine contre lui, même si sa propre température corporelle allait grimper en flèche d'ici peu. Ses bras étaient passés au dessus de ses épaules, l'une de ses mains s'était glissé dans ses cheveux, l'autre lui caressait délicatement le dos. Les doigts de Jamie furent un peu plus entreprenants en venant à peine toucher le tissu au niveau de l'intimité de sa belle. Cela lui suffit largement pour émettre un léger soupir de surprise et d'exaltation. Histoire de lui donner encore plus envie qu'elle ne l'était déjà, les lèvres de Jamie migrèrent jusqu'à la peau de son cou, qu'il chérissait avec délicatesse et attention. Ses gestes et ses caresses, malgré l'énorme frustration de l'après-midi, étaient encore incroyablement mesurées et contrôlées. Joanne se serait attendue à ce qu'il soit un peu plus sauvage, voir bestial, comme elle l'avait déjà connu, mais non. Mais son coeur, qui frappait si fort sa poitrine, trahissait un peu le désir qu'il ressentait à son égard, malgré tout le calme et l'application qu'il avait l'embrassant. Joanne avait penché la tête sur le côté, quelques unes de ses mèches glissèrent sur son visage. Les yeux fermés, elle frissonnait sous chaque nouveau baiser, complètement désarmée par la douceur de sa bouche. "Jamie..." dit-elle tout bas, dans un soupir, comme s'il lui avait jeté un sort. Le simple fait d'effleurer sa lingerie avait été largement suffisant pour éveiller davantage le désir qu'il avait pour lui. Malgré elle, elle reserrait un peu plus l'étreinte de ses jambes autour de lui à force de baisers et de caresser cherchant à la titiller. Ses doigts continuaient à caresser ses cheveux, elle serrait parfois délicatement ses mèches. "Je suis à toi." dit-elle, les yeux vitreux. C'était un peu comme si l'entièreté de son âme, même son inconscient, même pour elle. "Je t'appartiendrai jusqu'à la fin de temps." Joanne le serrait un peu plus contre elle sans qu'elle ne s'en rende compte. "Je ne suis qu'à toi." répéta-t-elle inlassablement. Malgré tout, elle appréciait sa possessivité, qu'il considère comme une pièce de musée que personne d'autre ne pouvait toucher. Cela avait un côté rassurant. Joanne redressa délicatement son visage pour pouvoir croiser son regard, et lui transmettre aussi toute sa dévotion, lui vouer tout son être, toute son âme. Ils faisaient tous les deux tout dans une certaine démesure et ça leur convenait. Elle l'embrassa, avec un peu plus de passion qu'avant, mais toujours avec autant de tendresse et d'attention. Sans qu'elle ne le réalise, son bassin effectuait de légères ondulations qui faisaient office de caresse pour son fiancé. A son tour, Joanne glissait ses lèvres le long de sa mâchoire, puis son cou, déposant de temps en temps sa bouche sur son épaule.

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Malgré l'envie dévorante et une passion brûlante, les gestes sont maîtrisés, appliqués, fins. Les baisers sont tendres et délicats, les caresses sont légères et mesurées. Ce n'est pas comme si je n'avais pas envie de lui sauter dessus et lui faire l'amour dans la seconde, estimant avoir bien assez attendu après que le petit nous ait interrompu tout à l'heure. Mais parfois, je me dis que Joanne mérite mieux. Lorsqu'elle se donne ainsi du mal pour moi, pour le plaire, alors je peux bien en faire de même. Et je sais à quel point elle aime que chaque parcelle de son corps soit flattée avec attention. Je débute tout en finesse avec ce petit frôlement de mes doigts sur le tissu qui couvre son intimité. J'intercepte un soupir, et un long frisson. Son corps se colle immédiatement au mien. Elle penche la tête pour me laisser parsemer des baisers sur son cou, cette partie sensible de son corps qui permet d'accroître son envie. Comme s'il y avait ici un mécanisme pour lui ôter toute volonté, Joanne continue de murmurer les mots qui m'exaltent à chaque fois un peu plus. Cette idée de domination, de l'avoir pour moi, et qu'elle ait conscience de m'appartenir, est quelque chose qui titille mon excitation. Parfois, c'est de me sentir complètement à elle, en son pouvoir et à sa merci qui me rend plus fébrile. D'autres, c'est d'avoir le dessus sur cette belle poupée qui ne s'en remet qu'à moi et se plie à mes envies. Seconde après seconde, l'envie monte d'un cran. Je me surprends à être particulièrement tenté par le contact de sa peau, glisser mes doigts sous le tissu pour effectuer des caresses à même son intimité -ce que je fais, pendant quelques minutes, juste pour palper cette chaleur et l'humidité qui émane de son corps, traduisant sa propre envie. Toujours avec délicatesse, je décolle ma belle du mur. Je la dépose sur le lit, allongée, les jambes au bord. Mourant de chaud, je prends le temps de me défaire de mon pantalon afin de ne rester qu'en sous-vêtements, laissant deviner une érection plus que naissante. Puis je me pencher sur elle ; en la surplombant, je peux l'admirer encore un instant, entre deux baisers. Mes lèvres longent son cou et poursuivent sur sa poitrine, à la naissance de ses seins, et tout le long, avec une application quasiment dévote, sur son ventre et l'intérieur de ses cuisses, terminant à genoux devant elle. Ma bouche s'appose au tissu de son dessous, suçotant légèrement comme pour annoncer la suite des événements. Quand Joanne prend soin de moi, je prends soin d'elle. Quand elle est toute à moi, je me voue à elle. L'échange va toujours dans les deux sens, personne n'est perdant. Après tout, c'est un dialogue, des mots d'amour qui vont de l'un à l'autre inlassablement, logés dans les souffles et les baisers qui passent de sa bouche à la mienne. C'est avec la même délicatesse que je fais glisser son dessous le long des jambes de la jeune femme -cette fois, plus pour le plaisir de voir le tissu longer cette courbe et mettre son intimité à nu, lentement. D'ici, la vue est parfaite. Je lui adresse un regard terriblement envieux avant d'approcher mon visage de son entrejambe. Au premier contact de mes lèvres avec les siennes, brûlantes et rosies, une grande vague de chaleur s'empare de moi. Mes caresses sont légères et douces en attendant que Joanne ne commence à s'abandonner complètement à elles ; alors elle glisse ses doigts entre mes cheveux, et je poursuis en intensifiant le passage de ma langue sur son intimité, retrouvant aisément les caresses qui font multiplier ses gémissements et qui sont le petit plaisir de mes oreilles.

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Joanne était particulièrement fière de son fiancé. Celui-ci contrôlait ses émotions, du moins, bien plus qu'auparavant. C'était ce qu'elle avait constaté, elle avait peut-être faux. Depuis qu'elle était revenue de chez sa grand-mère, ils n'avaient jamais encore vécu de situation extrême pouvant le mettre à bout. Ce sera certainement durant un moment comme celui-ci où elle verra la facette colérique et sanguine du bel homme. Mais même pendant leurs ébats, même s'ils étaient bien plus passionnés que durant le traitement, et qu'avant Perth, il ne la blessait plus par accident, à cause d'un geste incontrôlé. Il parvenait à exprimer son trop plein d'amour autrement. En somme, il s'était trouvé d'autres mots, qui convenaient tout autant à Joanne. Celle-ci se vouait corps et âme à lui, ainsi, collée au mur. Oui, elle était sa poupée, c'était un statut qu'elle acceptait. Elle sentait cette bouffée de chaleur plus grande que les autres l'envahir et réchauffer l'ensemble de son corps. Ils devenaient d'ailleurs tous les deux bien fébriles, à force de s'embrasser amoureusement. Le bel homme finit par glisser ses doigts sous le tissu pour effleurer à même la peau chaude et humide de sa belle. Celle-ci coupait même parfois sa respiration, ne bougeait plus pour mieux sentir ses caresses. Parfois, un gémissement sortait de sa bouche, alors que son front était collé au sien, pouvant inspirer l'air qu'il expirait. Ils restaient ainsi pendant plusieurs minutes, comme si Jamie tâtait un peu le terrain avant d'avancer dans leurs préliminaires. Tout en la portant, il a déposa allongée sur le lit. Joanne se laissait totalement faire, comme si elle était un pantin. Avant de continuer, Jamie se débarrassa de son pantalon. Joanne redressa un peu sa tête, trop envieuse de pouvoir l'admirer d'où elle était. Elle trouvait son corps parfait, sans le moindre défaut. Elle passait ses dents sur sa lèvre inférieure, l'admirant de haut en bas, constatant bien évidemment la traduction de son excitation au niveau de sa virilité. Cela faisait gonfler le coeur de Joanne de sang gavé de désir et d'amour, qu'il éjectait ensuite dans tout son organisme, provoquant ainsi une vive bouffée de chaleur lui donnant quelque suées. Elle reposa sa tête sur le lit et souffla un bon. Jamie se pencha sur elle pour l'embrasser, jetant toujours un oeil sur sa silhouette dès qu'il le pouvait. Il fit ensuite voyager ses lèvres le long de cette dernière, passant par ses omoplates, sa poitrine, son ventre, jusqu'à atteindre son but. Il avait les yeux vitreux, extrêmement envieux et désireux de continuer à lui prodiguer du plaisir. Alors il commença à caresser son intimité au travers du tissu, annonçant la couleur de la suite des événements.Cela fit soupirer Joanne de plaisir, et fit frémir tout son corps. Le fait de ressentir qu'il éprouve autant de satisfaction à faire tout ce qu'il faisait exaltait davantage Joanne. Ses doigts se glissaient entre ses mèches brunes après qu'il ait retiré avec lenteur son sous-vêtement, admirant avec attention son parcours le long de ses jambes. Ses soupirs se multipliaient à force de ses caresses parfaitement mesurées, délicates, attentionnées. Certains provoquaient une réaction spontanée de son bassin, qui faisait de petits mouvements, ou qui se contractaient par moment, comme si elle recevait un petit coup de jus. Il était courant que le nom de son fiancé glisse entre ses lèvres. Parfois, Joanne redressa la tête pour le regarder faire, et cela ne fit que décupler le plaisir qu'il lui faisait, et ses gémissements devenaient plus sonores. Et plus c'était le cas, plus il intensifiait les caresses avec sa langue et ses lèvres afin qu'elle perde totalement pied. Elle était déjà totalement à lui, mais elle, elle s'abandonnait complètement à lui. Elle était à sa merci. Elle l'appelait à la fois pour le supplier d'arrêter et lui demander de continuer. Ses doigts se crispaient dans ses cheveux, ses jambes se repliaient et sa respiration devenait haletante. Il continuait jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il voulait entendre, ce qu'il voulait sentir tout au travers du corps de sa poupée, qui se raidissait au possible pendant plusieurs secondes. Elle n'avait pas besoin de le lui dire, mais elle adorait ses caresses. C'était terriblement sensuel à sentir, et à regarder. Et il la connaissait par coeur, il savait ce qu'il devait faire pour obtenir ce qu'il voulait. Jamie se redressa ensuite, Joanne parvint à lui voler un baiser en passant, en se redressant. Désormais assise au bord du lit, elle dut lever la tête pour croiser son regard. Timidement, elle lui retira le dernier vêtement qu'il portait. Ils étaient dans leur monde, Joanne avait l'impression d'être comme dans un rêve. Tout le reste n'avait plus grand intérêt mis à part à lui. Joanne déposa un baiser sur sa virilité sans quitter son regard, préférant attendre son approbation avant d'entreprendre des caresses. Elle savait que ce n'était pas toujours ce qu'il voulait, et il y avait des fois où il en avait trop envie qu'il le réclamait de lui-même. En attendant son accord -ou non-, ses mains glissaient délicatement du bas de ses cuisses jusqu'à son fessier, ne se lassant pas de toucher chaque partie de son corps, de les caresser en reconnaissant chaque muscles, chaque trait qui passait sous ses doigts.

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Comment ne pas avoir envie d'un peu plus de ces petits soupirs qui traversent les lèvres de la jeune femme ? Ils sont d'une sensualité à toute épreuve et me donnent des bouffées de chaleur à chaque fois qu'ils parviennent à mes oreilles. Impossible de se lasser de ses petits gémissements qu'elle tente parfois d'étouffer, et des petits cris qui lui échappent. Il n'y a que elle qui sait être à la fois adorable et érotique. C'est d'ailleurs peut-être son petit côté ingénu qui la rend un peu plus suave, plus désirable. Son visage d'ange, son air de poupée, qui donne envie de savoir ce que cela donne, à quoi cela ressemble, quand cette belle si douce et tendre prend du plaisir. Si c'est un sentiment plus pur et plus délectable qu'avec quelqu'un d'autre,  si elle rend la chose plus belle par sa présence et tout cette amour qui transpire malgré elle de tous les pores de sa peau. Elle n'est que tendresse, générosité et fragilité. Un homme digne de ce nom ne demanderait alors qu'à la chérir, la flatter, et en faire sa reine, demandant à genoux d'être assez digne de recevoir cette affection qu'elle a à donner. Joanne est cette reine pour moi, cette être supérieur qui influe sur ma vie, mes choix, me pousse à être meilleur, et qui me nourrit tous les jours avec cet amour. Et moi, je n'ai que peu de moyens de lui rendre la pareille. Je peux la couvrir de cadeaux, mais il n'y a qu'une fois mis à nu, corps et âme, et complètement dévoué à elle, que je peux partager cette passion qu'elle m'inspire. Alors, elle est tout à moi. Elle ma poupée qui se laisse faire et s'abandonne à mes soins. La jeune femme peut lâcher prise, et profiter de chaque baiser, chaque caresse, absorber l'amour qui se trouve dans chaque geste pour en gonfler son trop petit corps. Forcément, au bout d'un moment, elle ne tient plus. Elle ne peut pas retenir ses sensations indéfiniment. Les doigts de Joanne finissent par se serrer dans mes cheveux, et son corps raidi se laisse parcourir par ce courant électrique particulièrement délectable. Satisfait, je me redresse, lui laissant l'occasion de me voler un baiser. Elle s'assoit sur le bord du lit, la respiration haletante soulevant rapidement sa poitrine encore dans le carcan de son soutien-gorge. Ses mains s'occupent de me débarrasser de mon dernier vêtement, finissant de me mettre à nu. Son visage s'approche de ma virilité pour y déposer un baiser, comme une demande tacite afin de pouvoir poursuivre. Je mentirais si je disais que cette vue là aussi n'est pas plaisante. Avoir Joanne face à moi, à ma merci, mais surtout désireuse de répondre à mon désir, de me flatter à mon tour. Je n'ai pas besoin de faire ou dire quoi que ce soit pour lui donner l'autorisation de continuer. Il suffit d'un regard débordant d'envie pour que la jeune femme entreprenne des caresses délicates, embrasse ma virilité, fasse glisse le bout de sa langue dessus ou la prenne en bouche, me faisant ainsi soupirer, parfois gémir, et peu à peu perdre le nord. La jeune femme s'y prend toujours avec application, sachant exactement quand et comment intensifier ses caresses pour me rendre toujours plus fébrile. Je l'arrête sûrement bien trop tôt à son goût. Mais elle est ma poupée ce soir. Je me remets à genoux devant elle, afin d'être à son niveau. Mes doigts trouvent leur chemin dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Sa poitrine ainsi libérée, je peux la parcourir un instant avec ma bouche, titiller ses mamelons déjà gonflés par l'excitation, histoire de voir si je peux rendre sa peau si douce encore un peu plus brûlante. Après quelques minutes, , gardant la même position, je reprends où nous en étions restés plus tôt dans la journée ; entre ses jambes écartées, j'introduis ma virilité en elle, puis attrape son visage pour lui coller un long baiser des plus passionnés. Il m'est toujours plus difficile de contrôle quoi que ce soit une fois ce cap franchi. Alors je ne la veux qu'à moi, et cette idée m'obsède, me donne envie de la dévorer, et l'assimiler toute entière jusqu'à ce qu'il n'en reste rien. J'entreprends quelques mouvements lents et amples pour débuter, une cadence qui nous permet de garder notre regard plongé dans celui de l'autre, de nous embrasser, nous sentir aller et venir inlassablement. Au bout de quelques minutes d'un plaisant avant-goût, je me retire. Je m'assois juste derrière elle, sur le lit, puis l'attire vers moi, toujours de dos, jusqu'à ce qu'elle se mette à califourchon. Une fois la position bonne, elle peut s'asseoir et me reprendre en elle. De cette manière, elle peut s'adosser à moi en effectuant des mouvements de bassins d'autant plus sensuels. Mes mains peuvent se balader sur tout son corps, et surtout, empoigner ses seins ou se glisser vers son intimité pour la stimuler encore plus. Face à elle, dans le léger reflet de la fenêtre de la chambre, elle peut voir cette danse charnelle dont elle est la principale actrice, et elle peut me voir aller et venir en elle de plus en plus vigoureusement. Mon visage au creux de son cou y dépose un baiser de temps en temps. Mon corps s'est couvert de sueur, fébrile, et traversé par des vagues de plaisir qui se multiplient alors que ma belle n'a rien pour étouffer ses gémissements.

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Joanne arrivait à donner énormément d'amour. En revanche, il avait fallu un petit temps d'adaptation afin qu'elle puisse assimiler tout ce que Jamie lui avait donné. Il avait été maladroit, incertain de la manière de communiquer tout ce qu'il ressentait. Il ne contrôlait pas ses émotions, il ne savait pas quoi en faire, il ne parvenait pas à le verbaliser. Alors tout allait dans les geste, dans la manière de lui faire l'amour. Avec le temps, et l'expérience, il avait certainement trouvé de nombreux stratagèmes pour transmettre tout ce qu'il n'arrivait pas à dire. Un langage charnel qui leur était propre, et que Joanne comprenait entièrement. Parfois, il y avait des mots nouveaux, des notes inattendues qui rendaient chaque échange unique et exclusif. De ce côté là, il était d'une générosité sans pareil, en dehors de tous les cadeaux matériels qu'il lui faisait pour la moindre petite occasion. Et il puisait tout ce dont il avait besoin en elle. Ce soir-là, il avait beaucoup à lui donner. Comme s'il était la reconquête de son territoire, il ne lésinait pas sur les moyens, minutieux et attentifs à chaque gémissement de sa bien-aimée. Il avait besoin de ressentir qu'il était l'élu de son coeur, qu'il était le seul à pouvoir lui procurer tout ce plaisir. Et il en tirait grande satisfaction, en l'entendant jouir par de simples caresses bien placées avec sa bouche. Il avait toujours ce regard, cette incroyable envie de l'avoir tout pour lui. C'était le cas, mais parfois, ce n'était pas assez, pour tous les deux. Cette envie permanente d'appartenir totalement à l'autre, de s'assmiler à lui, de faire partie de lui. Que, même si ce n'était que l'espace de quelques secondes, ils ne forment qu'un. Ils étaient en quête constante de cet idylle, rendant chaque ébat encore plus délicieux. Jamie désormais debout, le regard vitreux et envieux, fit largement comprendre à Joanne ce qu'elle pouvait faire. Alors sans attendre plus longtemps, elle caressa délicatement sa virilité, passant sa langue tout du long, l'introduisant dans sa bouche, déposant de nombreux baisers. Elle s'appliquait, motivée par le désir et la passion. Mais cela ne dura qu'une poignée de minutes. Jamie était le seul maître du temps ce soir-là, il faisait ce qu'il voulait d'elle. Il se mit à nouveau à genoux devant elle, entre ses jambes, et la mit également à nu en la débarrassant du dernier vêtement qu'il restait. De là, il pouvait embrasser et caresser sa poitrine, venant stimuler ses mamelons, et le reste de sa poitrine déjà bien fermes. Joanne lâchait quelques, toujours une main logée dans les cheveux de son homme. Celui-ci décida de passer au niveau supérieur après plus minutes de caresses, en reprenant exactement là où ils avaient été interrompus. La même position qu'auparavant, il y avait juste les habits en moins, et une envie décuplée au possible. Tout en la pénétrant délicatement, Jamie engagea un baiser des plus passionnés, faisant revenir au galop cette envie quasi bestiale de ne l'avoir que pour lui, à sa propre manière. Joanne y répondait avec tout autant ardeur. Un tel baiser la rendait toujours particulièrement fébrile. Son comportement changeait alors un peu, il se laissait totalement consumer par l'amour et l'adoration qu'il avait pour elle, et l'exprimait alors d'une bien autre façon. La cadence était d'abord lente, et ample. Chaque mouvement faisait frissonner la jeune femme. Son regard se perdait dans celui-ci de son amant, qui la dévorait d'envie, qui s'emparait d'elle rien qu'à l'aide de cette paire d'yeux verts. Joanne lâchait des soupirs à chaque mouvement, elle en appréciait le moindre contact. Il finit par s'arrêter et la quitter avant de s'installer derrière elle. Un peu dans l'incompréhension, la jeune femme se laissait toujours autant guider par Jamie. En restant dos à lui, il l'invita à se mettre à califourchon sur lui, adoptant ainsi une position qu'ils n'avaient jamais exécuté auparavant. C'était peu courant dans leur couple qu'ils aient une position où elle était dos à lui. Ils faisaient ainsi surtout quand Jamie voulait lui faire comprendre qu'elle était à lui, il y avait un léger brin de domination. Joanne se mentirait si elle disait qu'elle n'avait pas apprécié ces moments là. Elle était même déjà venue lui demander de refaire comme à la piscine. Il savait exactement à quoi elle faisait allusion. Une fois bien installés, il l'invita à reprendre la suite de leurs ébats. Joanne guida sa virilité en elle avant d'entreprendre elle-même les mouvements de va et viens. Les sensations étaient sensiblement différentes. Ca restait nouveau pour elle, et particulièrement plaisant. Jamie, quant à lui, se plaisait à stimuler les zones érogènes de sa belle, ayant bien plus de facilités dans cette position que lorsqu'ils étaient face à face. Alors que l'une de ses mains tenait fermement son sein, l'autre caressait l'intimité de sa belle pendant qu'elle continuait ces mouvements. Lorsqu'il titillait certains endroits, cela électrisait totalement Joanne et l'incitait à accélérer temporairement le mouvement. C'était un ensemble de faits et gestes on ne peut plus délicieux pour la jeune femme. Elle en était tellement déroutée qu'elle ne savait plus où en donner de la tête, perdue entre les cris et les gémissements. Son corps se contractait par acoup, mais de plus en plus régulièrement. Il sifflait son nom entre les dents dès qu'elle avait suffisamment d'air. Elle ne vit qu'un bref instant leur reflet dans la fenêtre. Joanne ne s'était jamais vraiment vu faire l'amour, du moins, pas au travers d'un reflet. La seule pensée qui lui traversa l'esprit -parce qu'en dehors de ça, elle n'était plus vraiment en capacité de réfléchir-, était qu'ils se trouvaient beaux. Beaux à faire l'amour ensemble. Appuyée contre lui, Joanne continuait ses mouvements de bassin, mais il se mit également à mouvoir ses reins de manière plus prononcés. Tout en continuant ses caresses avec ces mains. C'était divin. Des mèches de cheveux venaient barrer son visage. Elle entrait comme dans une sorte de transe, au bord d'un nouvel orgasme. Elle avait l'impression de devenir folle, elle était complètement soumise, à sa merci. Mais il y avait cette caresse, il y avait ce coup de rein qui crispa tout son corps pendant de nombreuses secondes, maintenant emprisonné pendant le même temps la virilité de son amant. Elle put enfin laisser échapper un long cri, un orgasme tout particulier, proportionnel à la stimulation qu'on lui octroyait. Jamie lui, ne l'y avait pas rejoint, comme s'il voulait se délecter du moindre moment, de la moindre seconde où elle se donnait entièrement à lui. Il voulait le vivre et le ressentir en plein état de conscience, cette petite fraction de seconde où elle faisait entièrement partie de lui. Il était certain que ça n'allait pas s'arrêter à deux phases de cet intense plaisir, il fallait bien que Jamie l'y rejoigne aussi. Mais pour le moment, Joanne était essoufflée, s'adossant contre lui. Il était toujours en elle. Elle appuya sa tête contre son épaule, les yeux fermés. Comme si elle était toujours un peu de cet état second, elle glissa sa propre main jusqu'à son intimité pour faire quelques douces caresses, qui la faisaient un peu soupirer. Elle pouvait aussi sentir du bout de ses doigts qu'il était toujours bien elle, ça la faisait sourire. Elle finit par se retirer, pour pivoter légèrement et pouvoir le regarder. Il était encore fébrile, ses pupilles étaient extrêmement dilatés. Il n'avait pas encore joui, se dit-elle. Il était hors de question qu'ils envisagent de passer sous la couette tant qu'il n'aura pas eu sa part de plaisir. Joanne l'embrassa langoureusement, sans hésiter d'utiliser également sa langue, créant ainsi une petite période transitoire avant que sa passion ne lui dicte de quelle manière il voulait également atteindre cette phase d'extase.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyLun 25 Juil 2016 - 10:56


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Souvent, nous préférons avoir un contact supplémentaire via le regard, être libre de nous embrasser comme nous le voulons pendant nos ébats. Alors Joanne me tourne rarement le dos, et cela n’est jamais de son propre chef. C’est moi qui souhaite m’en emparer de cette manière, sachant parfaitement qu’elle l’aimera tout autant, si pas plus. Même si le manque de baisers est une frustration en soi, elle est vite compensée par les caresses supplémentaires que ce genre de positions permet. Une multiplication des sensations qui n’a pour but que de lui faire perdre pieds. Joanne, une fois la surprise passée, une fois ses aises prises, se délecte et se laisse perdre dans ces nouvelles vagues de plaisir qui la submergent. Ses cris donnent chaud, terriblement chaud. Rien que de voir son plaisir, la sentir de plus en plus fébrile et tremblante, me rend complètement fou. Alors quand elle craque, je la serre de toutes mes forces et admire le passage de ce courant électrique qui raidit tout son corps. Il y a toujours de la beauté et une certaine grâce qui passent sur son visage quand elle atteint cette extrême volupté. Toute appuyée contre moi, je la laisse reprendre ses esprits ; nous échangeons un regard, complice et débordant de désir, avec un rictus de satisfaction au coin des lèvres lorsqu’elle glisse ses doigts sur nos intimités entremêlées. Joanne nous délie finalement afin de pouvoir se tourner vers moi. Capturant avec ardeur mes lèvres et ma langue, ma belle me fait ainsi comprendre que nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin. Elle aurait pu être fatiguée et repue, je l’aurais compris. Mais cela n’arrive quasiment jamais que l’un laisse l’autre sur sa faim, pour ne pas dire que je n’en ai tout simplement pas souvenir. Pendant ce baiser, prolongé avec la même passion, je fais basculer la jeune femme sur le lit et l’allonge, soulageant très certainement ses jambes de cette manière. Je retrouve ma place entre ses cuisses, toute la chaleur de son petit corps collé au mien, nos deux silhouettes s’épousant à la perfection. Sans quitter ses lèvres, je me réintroduis en elle. C’est toujours un moment particulièrement délicieux, ces quelques secondes pendant lesquelles nos corps s’unissent, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien pour nous séparer. Je reprends sans attendre des coups de reins fermes, une main saisissant sa cuisse pour m’ancrer de toutes parts dans sa chair. En manque d’air, mon front s’appose au sien pour poursuivre cette cadence en retrouvant un peu d’oxygène, mais il est si difficile de résister à l’envie de dévorer ses lèvres, les croquer, embrasser son cou, continuer de goûter sa peau salée par la sueur qui la fait légèrement luire. Mon regard croise parfois le sien, vitreux au possible, possédé par ce plaisir qui dicte une houle plus farouche, plus bestiale, car cette nature-là devait bien finir par s’exprimer, car c’est ce qu’elle attend aussi. Forcément, mes gémissements se multiplient. Je serre parfois les dents pour les contenir, mais cela ne rime à rien. Il suffit que Joanne plante ses doigts dans mon dos pour que je perde la volonté de retenir quoi que ce soit –elle sera toujours là pour me pousser à lâcher prise, parce que elle, elle me tient bien, et qu’importe si mon esprit part trop loin, elle sera toujours là pour être la seule chose réelle qui vaille la peine. Si elle y plante les ongles, elle sera sûre de m’arracher un gémissement de plaisir. Chaque vague de plaisir m’électrise et me fait un peu plus perdre la tête. Je ne maîtrise plus rien de ces vas-et-viens brutaux qui cherchent à forcer les limites de l’humainement possible pour faire partie d’elle et qu’elle fasse partie de moi. Mais cela n’est atteint que lorsque mon corps devient finalement trop étroit pour toutes ces sensations qui le tiraillent, mon cœur explose et mes poumons implorent un peu d’air ; alors mon esprit craque, lâche prise, et décharge ce trop-plein dans un long orgasme terrassant. Mon corps s’est complètement collé à celui de Joanne, abandonné à elle. Ce genre de libération est toujours exquis. Le visage logé dans son cou, je m’appuie un peu sur elle. Les battements de mon cœur martèlent mes tempes. Le retour sur terre est lent. Je ne me retire qu’au bout de quelques minutes, et m’allonge à côté de la jeune femme, lâchant au passage une sorte de petit rire, quelque chose ressemblant à de la satisfaction.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyLun 25 Juil 2016 - 12:14

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


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Joanne ne voulait pas descendre sur Terre. Elle était trop bien où elle était, entre deux mondes avec Jamie. Tout le reste s'effaçait autour d'eux, il n'y rien de plus qu'un flou artistique qui ne permettait pas de définir ce qu'il y avait autour d'eux. Le corps chaud et couvert de sueur continuait pourtant à appeler celui de l'être aimé, tant que les deux n'aient pas atteint l'orgasme. C'était une sorte de règle chez eux. Même si elle était à bout souffle, elle tomba sur ses lèvres pour les embrasser avidement, cherchant sans gêne sa langue. Sans stopper leur baiser, le bel homme força sa belle à s'allonger afin qu'il puisse retrouver une place qui lui était propre. Il était bien plus endurant, depuis qu'il avait arrêté le traitement, il s'exprimait plus, pour le plus grand bonheur de Joanne. Le simple fait de fait savoir que leurs ébats n'étaient pas encore finis la faisait déjà soupirer de plaisir. Sans attendre davantage, Jamie unit à nouveau leur corps, faisant longuement gémir sa belle. Il pouvait avaler ce son et s'en imprégner autant qu'il le désirait. Le rythme qu'il adopta fut immédiatement et particulièrement énergique, n'ayant plus rien pour stopper ou attenuer cette partie de lui. Ses doigts se plantaient fermement dans la chair de sa cuisse pour optimiser sa gestuelle particulièrement exquise. Leur peau était brûlante, humide, et brillante malgré le peu de luminosité dans la pièce. Tout les deux à cours d'air, ils gardaient leur visage proche l'un de l'autre. Mais parfois l'envie prenait le dessus sur les besoins de son corps et il l'embrassait de manière inattendue. Il passait parfois ses dents sur la peau du cou de sa belle, ce qui la fit complètement craquer. Joanne penchait toujours la tête pour lui laisser un maximum d'espace pour qu'il puisse s'appliquer à la dévorer autant qu'il le voulait. Le regard de Jamie était incroyablement profond, Joanne avait l'impression de pouvoir entièrement lire en lui. Il y avait autant cet amoureux dévoué, celui qui la vénérait que cet homme à l'instinct sauvage et animal, qui ne savait qu'exprimer l'amour et la passion dans leur état le plus brut. Ses coups de rein gagnaient alors en intensité, mettant Joanne totalement à sa merci. Elle se donnait complètement, perdu dans l'univers que Jamie lui créait. Ses ongles se plantaient dans la peau de son dos, le griffaient même un petit peu, laissant là des marques qui allaient certainement rester visibile pendant plusieurs. Mais c'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait plus contrôler tout ce qu'elle faisait. Joanne sentait au fond d'elle-même qu'elle atteindra cette phase de volupté en même temps que lui. Ses mouvements de va et viens devenaient presque même brutaux, incontrôlé. Par cette frénésie, Jamie parvint à retrouver là où il était parvenu à se loger la semaine précédente. Encore un peu plusprofondément en elle, ce qui fit crier la jeune femme. Son dos se courve de plus belle, collant son corps au sien, alors qu'elle se sentait venir, et qu'elle sentait Jamie l'y rejoindre sans tarder. C'était toujours aussi délectable de savoir qu'elle était à l'origine de ce plaisir concentré. Il logea son visage autour de son cou, peinant à trouver une respiration décente. Ils prirent énormément de temps de se remettre de leurs émotions. Il finit par s'allonger à ses côtés, lâchant un petit rire de satisfaction. Joanne mourrait de chaud, quelques une de ses mèches de cheveux s'étaient collées sur son visage. Malgré la chaleur et la transpiration, Joanne s'approcha de son fiancé en le surplombant légèrement. Sa main soutenait sa tête, son coude était sur la couverture. Mais avant de bien s'installer pour pouvoir l'admirer, elle déposa plusieurs baisers sur sa peau salée qu'elle goûtait volontiers. A cette heure-là, après de tels ébats, il n'y avait que le coeur qui parlait, et rien d'autre. "Tu es un homme magnifique." dit-elle tout bas alors que sa main caressait son torse, osant même passer délicatement par sa virilité de temps en temps. "Qui sait faire incroyablement et parfaitement l'amour." Ses yeux bleus étaient follement amoureux, reconnaissants, mais aussi avec une légère pointe de malice au milieu de son côté ingénu. Finalement, Joanne glissa vers pour se trouver sur lui, ses jambes de par et d'autres de son corps. Oui, physiquement, elle était épuisée, mais elle voulait encore donner un peu de son amour quelques baisers et quelques caresses. Et comme toujours, elle ne voulait pas se détacher de lui. Elle embrassait le haut de son torse, son cou, son visage. Son corps glissait sur le sien du fait de l'humidité de leur épiderme. "Il se peut que tu aies quelques marques en plus de ton tatouage sur le dos." lui glissa-t-elle sensuellement dans l'oreille, un large sourire aux lèvres.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyLun 25 Juil 2016 - 14:22


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De longues minutes passent avant que nous ne parvenions à nous remettre de nos émotions. Ayant retrouvé une respiration décente et un rythme cardiaque normal, je constate peu à peu à quel point mon épiderme est vraiment brûlant en comparaison de l’air ambiant. Je passe une main dans mes cheveux, leur racine est trempée par la sueur. Une douche ne serait pas de refus, mais cela attendra demain. Je n’ai aucune envie de quitter ce lit pour le reste de la nuit. Joanne se penche un peu sur moi, restant à mes côtés. Cette fois, elle est bien décoiffée. Alors qu’elle me donne quelques baisers sur le torse, je replace quelques cheveux derrière ses oreilles pour dégager son visage. Je souris à son compliment, me doutant qu’elle finirait par trouver le moyen d’en placer un après nos ébats, comme elle le fait souvent. Je ne sais pas si elle se sent obligée de me flatter comme si toute ma masculinité était en jeu dans les minutes suivants nos ébats à chaque fois, mais elle manque rarement l’occasion. La jeune femme ose rarement évoquer tout ce qui est en relation avec le sexe et surtout notre vie sexuelle à voix haute, pourtant, elle flatte même mes performances –et ma virilité par un passage furtif. « Si c’est une qualité qui peut te garder près de moi jusqu’à la fin de mes jours, ça me convient très bien. » Ce serait triste, certes, mais je crois que ni elle ni moi ne pourrions vraiment nous en plaindre si nous continuons de nous satisfaire de cette manière. C’est surtout une petite taquinerie ; nous savons tous les deux que si le monde savait ce qui se trame dans notre maison et dans notre chambre à coucher, nous serions certainement regardés de travers et jugés comme un couple bien trop basé sur le côté charnel de leur relation. Nous échangeons longuement un regard amoureux avant que Joanne se décide de se mettre sur moi pour m’embrasser tendrement. Tout le calme est revenu, la douceur aussi. Rien à voir avec les ébats des minutes précédentes. Je souris, laissant la jeune femme parsemer le haut de mon corps de baisers autant qu’elle le veut, frissonnant parfois. « J’aime quand tu me laisses des souvenirs de ton passage. » je réponds avec ce même sourire malicieux. Par surprise, je la fais soudainement basculer afin d’inverser nos places. Amusé par son petit cri, je lui souris puis l’embrasse délicatement. Du bout des doigts, je frôle son visage, ses traits fins et pleins d’harmonie. Belle, adorable, sensuelle, tout à la fois. Je pourrais l’admirer indéfiniment. « Mon ange… » je souffle tout bas. Après quelques minutes de contemplation, fatigués, nous filons sous la couverture. Je garde Joanne bien logée dans mes bras, et ne prend qu’une minute pour m’endormir, satisfait de la journée.

« Salut, bébé canard. Tu m’as l’air en forme. » Au fond de son lit, Daniel gazouille. Il bat des pattes, ses bras comme des petites ailes, des gambettes comme des palmes. Cela doit faire un moment qu’il est réveillé pour avoir aussi bien émergé. Et il n’est que neuf heures. Je prends le petit et le fait rapidement passer par le service technique, changement de couche et habillage, non sans difficulté car Monsieur a décidé qu’il gigotera dans tous les sens pour montrer tout son enthousiasme face à cette nouvelle journée de jeu qui s’annonce, quitte à vite s’épuiser. « Et voilà, décollage ! » Nous quittons sa chambre, et une fois dans le couloir, je prends Daniel par la taille, façon avion –ou canard- que je tiens bien au-dessus de ma tête. Nous traversons ainsi la maison, dont le salon, évitant les obstacles, sur notre chemin. « Attention, on contourne le Mont Canapé… on survole le lac Tapis… on passe au-dessus du canyon du passe-plat… coin coin ! » Je fais un tas de détours autour des meubles inutilement, juste parce que les virages le font bien rire. De temps en temps, je l’abaisse à ras du sol, lui fait frôler la table basse. Bruit de troupe de canards en pleine migration toujours inclus. « Et nous arrivons dans ce pays merveilleux qui est… ! » Sur la surface miroitée du grille-pain, je devine la petite silhouette de Joanne derrière moi, alors que je tiens Daniel bien haut dans les airs –et que lui affiche cet air d’aventurier conquérant adorable. Je me tourne, reprends le petit normalement dans mes bras. « … la cuisine. » je murmure tout bas. Je reste comme un idiot quelques secondes, comme pris en flagrant délit de bêtise. Petit à petit mes joues virent au rouge alors que je bafouille des « je… » à foison. « J’allais faire son biberon. » dis-je finalement avant de me décider à en prendre un du placard et faire comme si de rien n’était.

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Message(#)joamie + all that matter is my family - Page 5 EmptyLun 25 Juil 2016 - 14:53

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I believe in the lost possibilities you can see. And I believe that the darkness reminds us where light can be. I know that your heart is still beating, beating darling. I believe that you fell so you can land next to me. ‘Cause I have been where you are before. And I have felt the pain of losing who you are. And I have died so many times, but I am still alive


"Ca ne serait pas pareil s'il n'y avait pas tout ce qu'il y avait à côté." lui répondit-elle tendrement, un léger sourire sur ses lèvres. Ils ne faisaient pas l'amour juste pour le sexe, ils le savaien tous les deux. C'était dans leur couple le seul moyen, qui allait dans les deux sens, où ils pouvaient faire parler leurs sentiments comme bon leur semblait. Joanne se plongeait dans son regard longuement avant de passer par dessus lui, pour lui déposer des dizaines de baisers où bon lui semblait. Cela contrastait totalement avec leurs ébats, la beauté de leur amour venait aussi de là. Joanne lui précis qu'il aura certainement quelques marques au niveau de son dos, mais ça ne semblait pas lui gêner, bien au contraire. Il avait ce petit sourire malicieux et satisfait de savoir que ces marques là avaient été faites. Soudain, Jamie inversa leur place. Joanne émit un petit cri de surprise avant de rire face à ce geste inattendu. A son tour, il prenait le soin de la regarder, d'observer le moindre détail de son visage. Joanne avait un léger sourire dessiné sur ses lèvres, impossible de s'en défaire. Elle fermait les yeux lorsqu'il caressait son visage du doigt. C'est à ce moment là qu'elle commença à ressentir toute sa fatigue physique, mais aussi ce sentiment de complétude qui était particulièrement apaisant. Ils finirent par aller sous la couette, le fond de l'air commençant à se faire froid comparé à la chaleur de leur peau. Malgré tout, Joanne ne perdait pas l'habitude de se blottir contre lui, comptant bien passer toute la nuit dans ses bras. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, la pièce était déjà bien illuminée. Sa tête reposait sur un oreiller, et non sur le torse de son fiancé. Elle prit un certain temps à émerger, entendant tout de même une voix qui lui semblait lointaine. A vrai dire, elle aurait presque pu dormir une heure de plus, facilement. Joanne s'étira, se frotta les yeux avant de songer à se découvrir. Ayant beaucoup trop de nonchalance à ce réveil, elle n'enfila que son kimono, histoire d'avoir quelque chose pour l'habiller un minimum. Elle tenta de remettre un peu en ordre ses cheveux, histoire qu'ils semblent un peu moins ébouriffés. Pieds nus, elle marchait encore un peu au radar, jusqu'au salon. Là, elle voyait Jamie faire l'avion - ou n'importe quelle autre chose qui vole - à leur fils, qui lui, contrairement à sa mère, était en pleine forme. Une minute plus tard, Jamie remarqua sa présence et arrêta le petit jeu qu'il faisait avec son fils. Joanne lui sourit tendrement et s'approcha de lui pour lui déposer un baiser tendre sur ses lèvres. "Tu es adorable." lui dit-elle tout bas. "Vous êtes adorables et craquants, tous les deux." Le visage de Daniel s'illumina encore plus en voyant sa mère si près de lui. "Bonjour, mon trésor." lui dit-elle en l'embrassant sur la joue. "Tu vas beaucoup mieux toi." se réjouit-elle en lui caressant sa joue rose. Elle porta ensuite son attention sur Jamie pour l'embrasser longuement. "Bonjour, mon amour." dit-elle au bord de ses lèvres. Il n'avait qu'enfiler son pantalon de pyjama. Une douche sera de rigueur pour les deux parents. Le bel homme s’attela à préparer le biberon du petit. Joanne restait à côté, ayant toujours du mal à émerger. Elle les suivit machinalement jusqu'au canapé, se blottissant ensuite contre Jamie pour fermer encore un peu les yeux. "Jusqu'à dix heures, j'avais dit." dit-elle tout bas, en riant un petit peu. D'habitude, Daniel restait un peu avec eux au lit le dimanche matin, le temps que ses parents ne se réveillent correctement. Ce matin-là, il n'avait certainement pas la patience pour ça, vu la boule d'énergie qu'il était. "Je n'ai même pas pris le temps de regarder le temps qu'il fait dehors." La promenade était à éviter, un de leurs chiens avaient la patte dans le plâtre. Et Ben serait affreusement triste de ne pas pouvoir accompagner sa famille en promenade, lui qui aimait tellement ça. Joanne finit par s'allonger, posant sa tête sur la cuisse de son fiancé. Daniel avait fini son biberon était assis juste à côté de lui. Il fut bien évidemment trop tenté de mettre ses mains dans les cheveux de sa mère, tirant quelques mèches. "Aïe ! Daniel, tu me fais mal comme ça." dit-elle calmement en prenant sa main dans la sienne pour le faire arrêter, tout en douceur. Il était certainement très perplexe en voyant le visage de sa mère se crisper brièvement de douleurs. "Si tu veux me faire des câlins, il faut le faire tout doucement, d'accord ?" lui expliqua-t-elle en lui lâchant délicatement ses petits doigts. Elle mit à nouveau ses mains le long de son corps, laissant son fils reposer ses mains sur sa tête si l'envie lui disait.

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