| If you're happy, don't let it go - JorBir |
| | (#)Mar 20 Juil 2021 - 21:11 | |
| “Nah. I’m gonna let you all alone naked and wet in my shower, obviously.” Comme toujours, ça te fait vraiment beaucoup de bien qu’au travers de ces mots elle dise qu’elle aime te voir nu. Elle est bien la seule de vous deux. Même si à chaque nouvel addition à l’encre sur ta peau, tu t’aimes un peu plus. Ce qui est le cas à ce moment précis par rapport à la dernière fois que vous vous êtes vus. Elle prend ta main, tu la suis, elle mène la danse. Tu n’as aucune idée de où se trouve quoi, mais elle te guide jusqu’à la salle de bain. T’aimes bien les escaliers qui ne sont pas discret. Ca permettra d’entendre en avance si quelqu’un arrive. Elle a belle et bien une baignoire, mais t’as pas tant envie de t’y attarder cette fois. Tu finiras juste par t’endormir dans l’eau. Vaut mieux pas. “Famille nombreuse oblige.” Tu hoches la tête, t’imaginant comment ça devait être quand elle était enfant ici avec tout ce monde qui vit en harmonie. T’es pas très loquace veux ton niveau d’énergie mais tu es sûr qu’elle ne t’en voudra pas de lui offrir que des sourires fatigués car t’es le plus adorable de tout Elimbah yup. Et voilà qu’elle commence à ôter ses vêtements, sûr qu’elle doit avoir hâte que tu fasses de même vu comme elle cherchait le contact de ta chair un peu plus tôt. Elle t’en a fait frissonner bien sûr. Tu te languis de ses mains sur toi, tu vas être servi pendant tu ne sais combien de jours. Cette perspective te gonfle le coeur. Vous deux ici sans personne pour vous déranger. Paradise. T’as juste enlevé ton hoodie alors que tu la mates s’enlever sa jupe, oubliant de continuer de te désaper car ça fait longtemps que tu voulais revoir son corps. Elle te regarde de cet air qui veut tout dire. Yeah I love your body. C’est assez rare de voir l’oiseau en sous vêtements. C’est plutôt très beau à voir. Un peu de vêtement te fait toujours un petit quelque chose car tu n’es pas forcément à l’aise avec la nudité. Mais avec Bird tu as largement dépassé ce cap, même si globalement, tu préfères porter quelque chose sur toi.
“Do you think you could give a hand to your girl here ?” Elle te sort de tes pensées et tu souris bien plus. “I will help you out too.” Tu t’approches d’elle alors que tu es en short t-shirt de ton côté. « Obviously I will. It’s asked so nicely. » Et tu vas avoir droit à un visuel sur tes babies très rapidement. Cette perspective t’enchante. Tu enlèves tes baskets uniquement avec tes pieds pour que ce soit ça de moins quand elle viendra s’occuper de ton cas. Tes mains qui vont directement se placer dans son dos pour dégrafer son soutien gorge. Un sourire amusé sur tes lèvres parce que yep, même fatigué t’as pas perdu de vue tes priorités. Tu fais glisser les bretelles de ses épaules et sa poitrine se dévoile enfin à tes yeux. « Oh my pretty ones… » Tu te penches vers eux pour les embrasser en guise de salutation pour marquer ces retrouvailles. Tu te redresses ensuite. « You haven’t changed a bit. » T’es si stupide Jordan. Tu remontes tes yeux à Birdie profitant de regarder son visage. Puis tu reprends la parole alors que t’es en train de descendre doucement ce qu’il reste de ses sous vêtement sur elle.« Can’t say the same about me… Got something new. Somewhere. » T’embrasses sa poitrine de nouveau au passage parce que c’est juste là. Ton sourire qui se fait plus grand. Amusé par ta bêtise que tu viens de lui avouer. It’s not. It’s a surprise C’est comme ça que tu le vois. Quand tu braves ton impatience à lui dévoiler un nouveau tatouage que tu t’es fait à Los Angeles pour le plaisir de voir l’expression sur son visage. Elle a tout intérêt à voir le petit oiseau que tu as à présent sur la fesse. La même fesse que ton autre tatouage. L’oiseau a l’air de voler en direction intérieur de ton fessier, ce qui n’est pas un choix anodin bien évidemment.
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| | | | (#)Mar 20 Juil 2021 - 23:13 | |
| « Obviously I will. It’s asked so nicely. » Jordan fait un effort. Il en sourit ; ce n’est pas une contrainte - même si ça l’est un peu. Car le rapprochement se faire en conséquence, qu’il a enlevé son hoodie, que t’es quasiment nue et que t’attends sagement qu’il te déballe comme un cadeau. Tu n’es pas supposé en être un. T’es chiante. T’es pénible. T’es intenable. T’es gourmande. T’as plein de défauts qui te rendent insupportables - mais des qualités qui te rendent attachante. Jamais tu n’aurais souhaité que ce terme te soit associé ; ça te montre comme faible. Facilement atteignable. Manipulable. Tu ne comptes plus l’être ; tu joues des autres et pas l’inverse - plus jamais l’inverse. Mais avec Jordan, la magie s’opère. Il y a quelque chose en lui qui te fait abattre tes dominos un par un. Il y a un tout avec le musicien ; ce n’est pas une raison mais plusieurs cumulées. Il t’émeut, il te fait vibrer et t’apprends à être capturée par son être. Tu commences à apprécier d’être sa prisonnière, de plus en plus. L’indépendante que tu es s’est retrouvée à se languir de ça pendant des jours et c’est inédit pour toi. Tout comme le voir s’avancer vers toi ; tu frémis, tu te mords la joue, t’as un sourire qui commence à s’afficher au fur et à mesure de ses pas. Come on, buddy. Tes prunelles ne le quittent pas une seconde alors que les siens dérivent plus bas, là où ses mains viennent ensuite pour libérer ta poitrine ; t’es à peu près certaine que Jordan n’attendait que ça. « Oh my pretty ones… » Ton visage s’acquiert d’une expression attendrie de voir le musicien épris à ce point. « You haven’t changed a bit. » Tu ricanes légèrement alors qu’il remonte son visage vers le tien. “Je savais que j'aurais dû faire de la chirurgie. Pour deux tailles supérieures au moins.” Autant être aussi con que lui. Vous êtes parfaits. Aussi bien dans votre stupidité que dans le reste.
Jordan se baisse, et t’es enfin la plus grande des deux quand il te libère de tout vêtement qui t’emprisonnait encore. Il a l’air cérémonieux comme ça ; pour une fois que tu baisses la tête pour le suivre. Ta peau continue de réagir alors qu’il la frôle subtilement, de tes hanches à tes mollets en passant par tes cuisses. « Can’t say the same about me… Got something new. Somewhere. » Tu penches la tête sur le côté ; tu ne caches pas ta curiosité car c’est certainement ce que cherche Jordan. Te piquer à vif de la plus subtile des façons ; le fourbe commence à bien te connaître. Tes mains vont épouser ses épaules avec ce petit air scrutateur que tu abordes, commençant déjà à voir si tu vois quelque d’apparant. Tu te mords la lèvre avant de te pencher vers lui, le bout de tes lippes allant caresser les siennes, un geste léger qui se veut espiègle.“You told me about a tattoo… A baby Yoda tattoo.” Tes paumes remontent sur son cou et ses joues alors que tu lui voles un baiser. Il est à ta portée totale, il serait fou de ne pas en profiter. “J’ai une chasse au trésor à faire pour savoir où il se trouve.” Tes lippes dévient vers sa joue, sa mâchoire pour picorer son épiderme, y foutre de nouveau ton empreinte. Ton timbre est malicieux, digne de la promesse que tu vas sortir ta casquette d’Indiana Jones pour y trouver le trésor caché que Jordan aborde quelque part sur lui. Tes paumes retournent sur ses épaules et au final, même si cela te chagrine, tu l’incites à se relever. Oh les propositions indécentes que tu aurais pu lui demander s’il n’avait pas été fatigué. S’il ne t’avait pas foutu une si jolie carotte devant le nez pour que tu viennes tirer son tee shirt hors de lui un peu trop rapidement, fébrilement, les yeux déjà sur les formes de son torse. Ta langue humidifie tes lippes, ton corps te rappelle les sensations de désir que t’aurais presque oublié tellement que ça fait trois semaines que t’en as eu qu’au travers des photos que le musicien a pu t’envoyer. He’s beautiful as hell. Tes digitales vont le caresser, du haut de son torse jusqu’à son ventre, ton ongle tournant autour de son nombril alors que tu t’approches pour embrasser son tronc. Au niveau de son cœur en priorité. Ta bouche descend sa ligne alors que tes doigts s’aggrippent à son short et à ce qu’il y a en-dessous ; il a besoin d’une douche rapidement alors t’enlèves le reste aussi furtivement que le haut. C’est toi qui te retrouves en bas et t’y restes ; la dernière fois qu’il y avait quelque chose de changé, c’était au mollet. “Let’s see.” Tu prends la tâche au sérieux quand tu vas voir si Jordan a marqué son autre mollet ; tes doigts suivent le trajet de tes yeux pour être sûre et tu remontes le devant en analysant chaque parcelle sans aucune trace de bébé Yoda. “Donc, c’est côté pile.” Bien joué, la maligne ; t’es bien trop fière de toi alors que t’embrasses son épaule avant de le contourner. Cette fois, tu fais l’inverse ; tes phalanges massent gentiment son dos tout en le parcourant, tes yeux suivant le mouvement, descendant jusqu’à ses reins que tu caresses tendrement. Puis il y a ses fesses qui ont tes flatteries et- wait. Qu’une de tes mains passe par-dessus son tatouage d’amour envers Zac Efron est une chose. Mais il y a autre chose et tu sais qu’y avait rien d’autre à part Zac Efron. Et maintenant, y a un putain d’oiseau qui y trône, qui vole, qui est marqué à l’encre sur lui et- “Jordan… I thought it was baby Yoda.” ta voix est si basse, si éberluée, si sonnée qu’on ne dirait pas toi. Vous en avez parlé mille et une fois et il a fini par le faire. Tes doigts repassent par-dessus même si tu ne sens rien. “You got me under your skin. Next to Zac. I’m very very flattered. And moved.” T’es amazed. T’es émue pour un simple tatouage - mais c’est tellement plus pour toi qui n’a rien encore sur ta propre peau. C’est l’affirmation que tu fais partie de son histoire quoiqu’il peut arriver. Autant dire que c’est une des plus belles preuves d’affection - d’amour - qu’on puisse te faire.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 0:00 | |
| T’es peut être très fatigué, mais tu remarques que tu ne la laisses pas indifférentes à votre proximité alors que tu l’effeuilles. Faut dire que t’as des forces miraculeuses qui pointent le bout de leur nez à ce moment là. Sûrement le pouvoir de sa magnifique paire de sein. Ils ont un effet considérable sur ta personne. “Je savais que j'aurais dû faire de la chirurgie. Pour deux tailles supérieures au moins.” Tu ouvres grand la bouche en l’entendant. Outré. « They are perfect just the way they are. » Ces mots que tu penses réellement et qui te font penser à toi. Car ces mots tu ne les crois jamais quand on te les dit et la formulation de ta phrase là est douce à tes oreilles. Tu chéris sa peau de baisers ici et là au fur et à mesure que tu accomplis la demande de Birdie.
Et puis tu lui lances l’indice pas subtile du tout d’un nouveau tatouage sur ta peau. Elle a la réaction escompté. Elle est intriguée. Tu la laisses te voler un baiser car yes please. “You told me about a tattoo… A baby Yoda tattoo.” Tu souris un peu plus en l’entendant. T’avais oublié que tu avais dit cette connerie. Cela dit c’était très tentant, ça l’est toujours. Tu le feras à un moment donné. Tu voues un grand amour à Baby Yoda qui est le fond d’écran de ton téléphone depuis bien longtemps. “J’ai une chasse au trésor à faire pour savoir où il se trouve.” Tu hoches la tête. Elle a tout compris bien sûr. Vous avez le même cerveau pour beaucoup de choses. « Ce serait pas drôle sinon. » Et voilà qu’elle entame ses recherches. De la laisse prendre tout le temps qu’elle veut même si tu te frottes les yeux par moments. La fatigue reste très réelle. Tu apprécies la délicatesse dont elle fait preuve à chaque contact de vos corps. Tu ne loupes pas le baiser qu’elle dépose exactement à l’emplacement de ton tout premier tatouage. She remembers. Bien sûr qu’elle se rappelle Jordan. “Let’s see.” T’es à présent totalement nu devant elle. Elle ne va pas mettre bien plus longtemps avant de trouver. “Donc, c’est côté pile.” Tes yeux qui se ferment alors qu’elle est si douce à t’embrasser et caresser la peau. Tu sens ses mains sur le bas de ton dos. She’s getting closer… Et tu remarques peu de temps après un temps d’arrêt. She saw it. Elle le caresse même. Y’a plus du tout de doute.
“Jordan… I thought it was baby Yoda.” Tu la sens totalement prise au dépourvu. Tu te demandes si t’as pas fait une connerie parce que t’es bête comme ça. Parce que tu te dis qu’elle va peut être s’énerver car tu ne l’as pas attendu. Vous aviez prévu depuis longtemps. Trop longtemps. Tu as eu envie de marquer l’oiseau sur toi enfin. Car elle t’a trop manqué pendant ces trois semaines et tu la voulais encore plus près de cette façon là qui est un très beau symbole. Elle passe et repasse ses doigts dessus. “You got me under your skin. Next to Zac. I’m very very flattered. And moved.” Ok she’s not mad. C’est maintenant que tu te tournes pour la regarder. Tu relèves son visage pour aller déposer un baiser sur ses lèvres car tu as bizarrement perdu ta langue. Sa réaction est vraiment très touchante. Elle met des mots sur ses émotions et tu as beaucoup de mal à réfléchir pour dire des trucs cohérant. Tu préfères lui répondre avec des actions. Un baiser et toute ta délicatesse. C’est un peu comme si les rôles étaient échangé cette fois. Elle qui parle et toi qui montre. You’re welcome. « I’ll sleep on my stomach so you can look at it while I rest. » Tu dors très rarement nu. Tu trouves toujours le moyen d’enfiler quelque chose à un moment si tu t’endors dans le simple appareil. Tu ne sais pas si elle va te prendre au sérieux mais tu en serais capable. Tout ça c’est surtout un message subliminale (non) pour filer à la douche car tu veux juste aller t’allonger.
Pas que tu te sois pressé sous la douche mais si quand même. En moins de quinze minutes l’affaire était réglée et te voilà en train de t’allonger sur le lit de l’oiseau avec une serviette nouée autour de ta taille. La vérité là c’est que si elle te donne pas des fringues pour dormir, tu n’en auras pas car tu n’as pas monté ta valise et tu as la flemme totale de descendre. Tant pis tu dormiras comme ça. Tu soupires doucement, tes yeux déjà fermés à la seconde où tu as touché le matelas. Tu n’as pas trop pris la peine de regarder la chambre de ta partenaire. Trop sommeil là. « Hmmmmm... Good night. » Tu n’as plus de notion de l’heure. Tu espères que tu vas pouvoir dormir au moins quatre ou cinq heures. Plus ce serait un véritable miracle.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 6:59 | |
| « They are perfect just the way they are. » t’aimes le faire marcher ; t’as le rire qui ne sort que brièvement des lèvres mais c’est tout ton corps qui vibre de cette drôlerie passagère. Jordan te flatte en étant outré, en jouant sur sa peau et en le prononçant à voix haute. Heureusement pour lui que ce n’est pas dans tes projets. Non pas que tu ais besoin de son accord pour quoique ce soit car c’est ton enveloppe et tu en fais ce que tu veux mais au moins, c’est toujours plaisant et rassurant de voir que Jordan l’apprécie toujours tel quel. Que même ça, surtout ça, tu n’y toucheras pas. Mais tu fais quand même la moue de celle qui est déçue d’entendre un truc pareil, alors que la réalité est tout autre. “Moi qui pensais que tout le monde fanstasmait sur Pamela.” Pamela et sa poitrine magique, oh que toi, t’en as fantasmé.
« Ce serait pas drôle sinon. » t’entends là une permission dont tu n’avais pas vraiment besoin car Jordan n’a aucune retenue pour s’offrir à toi. Il te laisse parcourir tout, renouer avec chaque fibre de son corps malgré le fait qu’il baille doucement, qu’il se frotte les yeux. Son manque de réactions face à ta progression et ton parcours est une preuve irrémédiable que ton compagnon est fatigué. Le musicien est en train de voguer ailleurs ; mais quand il se retourne vers toi, il est bien présent quand il plonge sa tête vers la tienne pour happer tes lèvres. Tu souris à travers son baiser car tu remarques que les tables tournent ; Jordan ne s’exprime pas, il démontre. T’es vraiment émue, et assez choquée donc tu le laisses faire, tes bras restant sagement sur tes côtés. « I’ll sleep on my stomach so you can look at it while I rest. » Ton regard brille car Jordan persiste à ce que tu réalises que c’est bien réel. T’hoches la tête, une demande silencieuse pour qu’il fasse ce qu’il dit. C’est un grand sacrifice à tes yeux qu’il te fait car t’es incapable de dormir sur le ventre ; c’est d’un inconfort certain.
Dans la douche, tu tiens ta promesse ; c’est toi qui t’occupe de lui avec toute la délicatesse de la partenaire soucieuse de son bien-être. C’est tellement doux, t’ignorais toi-même que tu pouvais être capable d’autant de prévenance et de tendresse envers quelqu’un - oh tu te sous estimes, Birdie. Jordan te donne envie de l’être car Jordan n’est pas qu’un amusement ; il ne l’est plus depuis longtemps et c’est pour cela que le voir s’allonger dans ton lit serre ton coeur, mais de façon positive. C’est agréable alors que tu t’asseois contre les oreillers à côté de lui, tes prunelles ne quittant pas les siennes qui ferment et ta main allant caresser son dos humide pour y dessiner des formes quelconque. « Hmmmmm... Good night. » Tu serais bien tentée de l’y rejoindre, juste un peu car tu réalises ne pas avoir beaucoup dormi la nuit d’avant ; tu avais un dernier créneau jusqu’à tard au petit matin et tu n’as réussi à t’assoupir que quelques heures perturbées par ton excitation de le revoir. Tes lèvres vont frôler ses cheveux, sa tempe et sa joue. “Enjoy yourself over there.” pas à LA, pas à Mexico, mais juste dans ses songes. Il est solide sous ta main, il est bel et bien présent et tu finis par te caler contre lui, ta main toujours sur lui qui descend sur ses fesses couvertes ; une petite joie intérieure galope en toi car tu sais ce qu’il s’y trouve à présent.
Tu réussis à t’endormir quelque temps, assez pour commencer à voir le soleil se baisser. Pour une fois, Jordan est toujours assoupi quand tu ouvres les paupières, un baillement te détendant la mâchoire entière. Tu prends soin de ne pas réveiller le musicien - même si cela ne t’empêche pas ni de l’embrasser entre les omoplates ni même d’aller voir son derrière pour être sûre que tu n’as rien rêvé - et c’est le coeur léger que tu vas troquer ta serviette contre l’étoffe léger de ton kimono, t’appareillant d’un simple boxer pour camoufler ton intimité mais laissant le reste s’envelopper de l’air doux et réconfortant de la maison. Tu attaches la ceinture avant d’aller trifouiller ton sac en bas pour y chercher téléphone et écouteurs que t’enfoncent dans tes oreilles. Tu commences à te dandiner en regardant dans le frigo ; t’as un haussement de sourcils de voir qu’Aurora a finalement dû passer il n’y a pas longtemps car non seulement il est bien trop rempli mais en plus, il y a un ou deux plats dedans, faits maison ou ce qu’elle veut faire croire, avec un post-it annonçant “pas besoin que j’y mette une interdiction, t’y toucheras quand même” ; ton sourire s’aggrandit en refermant la porte parce que oui, forcément que tu vas y toucher.
Quand Jordan se lèvera, il la trouvera dans le jardin à l’arrière de la maison - t’aurais dû le prévenir pour la marche qui fait dégringoler tout le monde - en train de danser et de chantonner les paroles aux herbes folles, aux arbres, à la balançoire qui a vu des jours meilleurs, aux oiseaux qui passent et s’arrêtent sur les nombreuses habitations que vous leur avez fait au fil des années. Tu vas vérifier qu’il y a des graines pour eux tout comme tu vas prendre soin d’aller explorer le jardin pour voir si rien n’avait été dérangé. Et au milieu, tu virevoltes, tu tournes, tu souris au ciel parce qu’il est beau ; tu savais qu’Elimbah faisait du bien à ton âme, mais tu n’aurais jamais songé à quel point la combinaison avec Jordan aurait amplifié ton sentiment de contentement. Tu en as amené des gens ici mais ton musicien est l’exception qui confirme la règle ; celle que ton univers semble vouloir s’accorder avec le sien, et le sien uniquement. T’es heureuse et ça fait plaisir à voir.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 10:53 | |
| “Moi qui pensais que tout le monde fanstasmait sur Pamela.” « You said Leonardo DiCaprio wrong. »
Y’en a d’autres sur qui tu fantasmes. La jauge des personnes doté d’un penis est bien plus élevé que celles avec un vagin. Leonardo reste ton fantasme ultime avec Hugh Jackman mais t’as voulu rester sur les blonds vu ce qu’elle a dit. Et quand elle découvre le tatouage, elle est la plus adorable de tout Elimbah avec ses sourires et ses hochements de tête. I wanna protect her forever. Elle est si soft ça te retourne la tête à chaque fois de la voir comme ça. En attendant c’est elle qui s’occupe de toi comme une Queen dans la douche. T’as un oeil fermé tout le long car tu n’as plus que la force d’en garder un ouvert. L’eau te réveille un poil mais tu préfères utiliser ton énergie pour la mater en te souvenant de tout ce que tu regardes d’un oeil plutôt que faire quoi que ce soit. Tu gémis quelques : « C’est bon là je suis assez propre. » Pour aller plus vite. La bonne chose dans ta tête là c’est que quoi qu’il arrive, tu es avec elle pour le reste de la journée. Pour le reste de la semaine sûrement même. Juste vous deux. Tu n’as pas à gagner du temps à rester avec elle sous la douche. Elle ne va nul part et toi non plus. C’est le meilleur feeling.
Quand t’es allongé en serviette elle a sa main sur toi et ça t’en fait sourire doucement. Content de la sentir une dernière fois avant de te laisser sombrer. “Enjoy yourself over there.” Tu hoches la tête, complètement niché dans son coussin qui est très confortable. Tu es vraiment bien là mais c’est sûrement parce que tu pourrais dormir littéralement n’importe où vu ta fatigue. This is quality. Uniquement parce que tu peux sentir la présence de l’oiseau dans toutes les fibres des draps et oreillers. Quality.
Tu sais pas combien de temps t’as dormi mais t’as l’impression que c’était une éternité. Il fait presque nuit et tu te dis que tu as du dormir toute l’après midi ce qui est un exploit et forcément dans ta tête tu te sens en forme rien que par ce constat. Tu lézardes dans le lit mais pas longtemps car tu sais que l’oiseau est dans le coin dans cette propriété et tu veux la voir. Tu noues de nouveau ta serviette autour de la taille avant de partir à la recherche de Birdie. Tu regardes autour de toi alors que tu évolues dans les couloirs, cherchant ici et là les interrupteurs au fur et à mesure pour éclairer ton chemin. Même avec la lumière tu n’as pas vu la marche et tu trébuches, sans tomber mais t’es content de n’être rentré dans rien dans l’élan. Si tu casses un truc à peine aux premiers moments dans cette maison ça va pas le faire. « Bird ? » Tu cherches dans quelques pièces du bas et puis tu la vois au travers de la porte fenêtre, dans le jardin, en train de danser.
Un IMMENSE sourire se forme sur tes lèvres alors que tu t’approches pour être dans le jardin toi aussi. Tu ne vas pas à sa rencontre tout de suite, tu l’observes papillonner ici et là. Tu ne la déranges pas car le visuel est très plaisant. Quand vos yeux entrent en contact enfin, tu prends la parole.« J’ai hésité à enlever la serviette pour que tu me vois plus vite. » Car tu es sûr qu’elle aurait senti la présence de toute ton anatomie exposée à l’air frais d’Elimbah en un temps record. Mais tu as préféré l’observer avec son air si heureux sur le visage. « Tu peux refaire le petit pas de danse d’un peu plus tôt là ? » Tu sonnes comme un petit con qui veut la faire chier mais la vérité c’est qu’elle est adorable as fuck. Imma eat her. Yup you will. Soon. Very soon. Come to me baby. Parce que tu ne bouges pas de l’encadrement de la porte et puis tu remarques le ciel qui est dans les tons roses et t’as envie de prendre une photo mais… flemme encore. Sunset will be there tomorrow again. Tu perdrais trop de temps à chercher ton téléphone, t'as aucune idée où tu l'as foutu. Tu veux pas gâcher le temps du moment présent avec l’oiseau en peignoir léger dans son jardin avec un immense sourire aux lèvres.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 13:59 | |
| « You said Leonardo DiCaprio wrong. » tu as oublié son crush intemporel pour Leo ; pas la même poitrine, clairement. Tout est dans le détail et t’essaies du mieux que tu peux de tous les engloutir et les mémoriser. Si t’arrives à retenir des trucs absurdes et inutiles, ta mémoire pourrait faire un effort de se rappeler que Leo est le crush de ton musicien, même si ce dernier te prouve une nouvelle fois qu'il ne manquera jamais l’occasion de te le rappeler. Subtilement et avec le sourire, s’il vous plaît. « C’est bon là je suis assez propre. » tu fais la moue mais tu cèdes ; tu trouves que tu le fais beaucoup ces derniers instants mais tu n’es pas d’humeur à faire la difficile. C’est une preuve que ton contentement est sévère, qu’il est dur, qu’il percute et qu’il fait du bien. Tu auras bien le temps et les occasions d’être la peste chieuse que tu sais si bien être plus tard. Tu comptes bien l’emprisonner chez toi aussi longtemps qu’on te le permettra.
En attendant que la princesse se réveille, tu as renoué avec ton environnement. Tu as eu le temps de te faire un petit joint, de profiter de la balançoire, et celle accrochée à l’arbre, d’aller déposer la racine de tes pieds dans l’herbe folle et chatouillante à chaque pas. Tu t’es émerveillée des papillons, des insectes, des petites fourmis que t’as croisé, t’es un pur produit d’ici et ça se voit, ça s’apprécie. L’air devient plus frais à mesure que le soleil s’affaisse mais cela ne t’empêche pas de faire virevolter tes bras et tes jambes, les étoffes suivant le geste au même gré que la fumée de ton herbe qui t’aide un peu plus à atteindre ce profond sentiment de plénitude. Il ne t’en faut pas beaucoup, la musique te suffisant comme fond. Tu tournes, tu ris doucement, tu déploies ton être, l’envie d’apprendre à voler se représentant dans chacun de tes gestes et tu repenses au nouveau tatouage de Jordan ; t’en glousses, t’en rougirai presque, parce que t’as conscience que ce n’est pas rien, comme symbole. I think he kinda loves me. Ce n’est pas étonnant que tu penses à lui quand il y a des chansons romantiques qui passent ; and suddenly all the songs are about you.
Un énième tour sur toi avant que tu remarques que tu n’es plus aussi seule ; Jordan est là, Jordan ne s’est pas plus habillé que ça, Jordan est terriblement beau, Jordan qui fait battre ton coeur un peu plus fort sous les effluves de ta substance que tu as consommé et terminé il y a quelques minutes déjà. Jordan qui a l’air de parler alors que tu ôtes un de tes écouteurs en t’approchant de lui, le pas léger, enfantin, le visage rayonnant. « -à enlever la serviette pour que tu me vois plus vite. » t’éclates de rire. “Are you implying I’m a dick radar ? Only for yours, then.” l’image te divertit, elle est drôle, l’idée même que tu puisses détecter sa présence par son membre ; c’est moins niais que son coeur même si ça serait clairement mieux. Everything is okay for me. Tu le veux entier et entièrement. « Tu peux refaire le petit pas de danse d’un peu plus tôt là ? » T’es à quelques pas de lui et tu t’arrêtes, penchant ta tête sur le côté, la moue pensive parce que t’ignores de quoi il parle ; t’as cumulé les gestes mais tu ne sais plus ce que t’as fait. Et puis, pourquoi tu te prends la tête sur ce détail ? Jordan a son air idiot et son timbre idiot et il se fout clairement de toi et he’s so handsome I want to kiss him to death. “Mmh. Celui-là ?” tu fais la toupie en tourbillonnant sur toi-même, parfaitement chronométré pour que t’atterrisse contre lui, ton menton contre son torse, tes bras repliés sur toi et ce léger sourire flottant, béate de pouvoir l’admirer pour de vrai. “Ou celui-là ?” Jordan est trop haut alors tu te contentes de presser tes lippes contre son tronc. Ta langue se mêle à la partie alors que tes baisers se font légers mais intenses sur lui, bien décidée à ce qu’il parte avec ton odeur, ton empreinte, ta tendresse illimitée que t’es apparemment capable et qui te donne envie de l’engloutir vivant. “Ou ça peut-être ?” que tu murmures contre son épiderme, une vile main qui file sous la serviette pour attraper sa fesse, celle que tu partages avec Zac. La chanson qui apparait dans ton oreille est parfaite. Tu vas placer l’écouteur que tu tiens dans l’oreille de Jordan pour qu’il en profite aussi.
Boy, have I told ya? I swear you put the sun up in my sky When it's cold, you pull me closer So hot it's like the middle of July
Tes prunelles se relèvent vers lui car ça parle de lui, et de ce qu’il te fait ressentir et t’es profondément perdue pour lui, c’est toujours une réalisation percutante que tu as. Sauf là, où ça te semble naturel, où tout est détendu dans ton être, pensant que Jordan est la meilleure chose qui te soit arrivé dernièrement. “Wanna have a little taste so let me lay you down nothing better than your skin on mine and I been looking for that feeling, looking all my life boy, you give it to me every time.” tu peux continuer la chanson entièrement car tu la connais par coeur, l’air sifflotant de tes lippes alors que ton regard est ancré dans le sien quand ce n’est pas sur ses lèvres tentatrices ou sur les traits de son visage. Que Jordan entend ce que tu veux lui transmettre ; t’es prête à faire tous les pas avec lui s’il te l’autorise et le demande. “Can we make it all night? We don't stop, all up on my body, babe, ooh Touch me like a summer night, you feel like a holiday, ooh.” ton sourire est gourmand, quémendeur et pourtant, tu ne fais rien d’autres que laisser tes digitaux caresser la courbe de sa croupe ; Jordan est en forme, maintenant, n’est-ce pas ?
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 15:05 | |
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“Are you implying I’m a dick radar ?.” « Yeah. » “ Only for yours, then.” « Mow. »
Elle est adorable af. Elle n’a pas perdu une seconde pour s’approcher de toi et tu as bien capté qu’elle était en train de danser au rythme de la musique dans ses oreilles. Tu te demandes ce qu’elle écoute, mais elle est bien trop occupée à véritablement réfléchir au pas de danse auquel tu a fait référence. Can you stop being so fucking cute please? Tu veux la bouffer sans préavis. “Mmh. Celui-là ?” Tu la regardes faire et elle te tombe dans les bras. « That’s a good one. » Tu te mords la lèvre alors que tu vas poser une main sur elle. “Ou celui-là ?” Elle commence à baiser ta peau bariolée. « Oh that’s better. » Ta main qui cherche un chemin jusqu’à sa peau mais son léger peignoir n’a pas d’accès dans son dos, sauf si tu le lui relèves totalement. Ca se capte que tu cherches un accès vu les mouvements de ta main. “Ou ça peut-être ?” Et elle le trouve son accès direct à tes fesses. « Oh my... yes please this is the best move. » Tu te lèches les lèvres et voilà qu’elle va glisser son écouteur dans une oreille alors que tu réussis enfin à remonter tout son peignoir pour que ta main se trouve sur sa peau. Un peu surpris qu’elle ait un short en dessous. « How- » Mais la chanson commence et tu prêtes attention aux paroles. Tu en oublies totalement la phrase que tu allais dire. Tu remontes ta main à son dos pour sentir sa peau en même temps que tu es de plus en plus surpris par les paroles. Tu n’avais jamais entendu cette chanson avant. “Wanna have a little taste so let me lay you down nothing better than your skin on mine and I been looking for that feeling, looking all my life boy, you give it to me every time.” Mais c’est qu’en plus Bird se met à chanter.
You. Wanna. Kill. Me.
Que tu dis sans qu’un mot ne sort de tes lèvres. En playback. Tu sais qu’elle va réussir à te comprendre. Tu sais aussi que tu ne vas pas décrocher tes yeux d’elle parce qu’elle chante tous les mots parfaitement. “Can we make it all night? We don't stop, all up on my body, babe, ooh Touch me like a summer night, you feel like a holiday, ooh.” Ton envie et ton amour pour elle qui sont en train d’augmenter à vitesse grand V mais tu ne la coupes pas. Tu aimes trop les paroles. Tu aimes trop l’entendre chanter. Tu aimes tout. Ton coeur bat vite. Tes mains qui sont sur elle mais qui ne cherchent pas plus pour l’instant. Tu ne veux pas arrêter sa performance que tu veux graver dans ta mémoire. Tu espères que tu en auras droit à d’autres parce que c’est le meilleur truc. Cette chanson est en train de se placer dans le top 10 de ta vie alors que c’est ta toute première écoute. C’est pas juste les morceaux c’est les moments qui y sont associés. La chanson qui se termine et tu vas doucement la soulever pour l’avoir encore plus près de toi. Tu poses tes lèvres sur les siennes, enroulant ses jambes autour de ta taille tu la maintiens bien. Ta serviette qui a été un peu moins serré autour de ton corps, tombe à tes pieds. Tu te détaches de ses lèvres pour regarder les environs parce que tu n’as pas fait attention au reste du jardin, tu n’avais d’yeux que pour elle. Tu remarques qu’il y a véritablement rien que de la nature et ton inquiétude d’être totalement nu à la vue d’autrui qui s’envole. T’as eu un mini ascenseur émotionnel là. Tes yeux qui redescendent sur Birdie. « Je suis pas encore familier avec les lieux… » Tu ne sais pas où aller, où il vaut mieux, où il faut pas. Tu veux rien casser ou abîmer. T’es freaking cute à pas oser parce que t’es juste pas chez toi et t’as clairement encore rien vu de chez elle. T’avais soit les yeux fermés, soit les yeux sur elle. T’as rien vu. Tu vas déposer un baiser sur ses lèvres, doux, tu murmures contre. « Guide moi… » T’as encore de la force pour la porter dans tes bras quelques minutes et psychologiquement, t’as dormi beaucoup, alors tu te sens en forme. Mais il est certain que tu as envie de la bouffer ton anatomie qui prend feu peu à peu depuis qu’elle a commencé ses pas de danses contre ton corps puis le bouquet finale avec la chanson…
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 20:03 | |
| Entre le radar lui étant spécialement dédié que tu aurais en plus de cet emploi tordu d’être sa pute dorée rien qu’à lui, c’est exactement pour cela que tu nourris autant d’affection et d’attachement envers Jordan. Vous deux, c’est bien plus que physique. Ca ne l’était pas au début, ça l’est devenu au milieu mais c’est une nouvelle étape qui a été franchie récemment. Vous pouvez évoquer et plaisanter de sujets granuleux de la sorte alors que le commun des mortels en serait profondément choqué. Mais vous n’êtes pas le commun des mortels, vous êtes vous et même différents, t’as toujours cette sensation que Jordan est pareil ; qu’il suffit de le pousser pour qu’il prenne ton pli, un peu comme à l’image du peu de vêtements qui le recouvrent. Oh que tu seras volontiers sa pute s’il te le demande - ou pas - et il n’a même pas besoin de sortir un billet parce que franchement, son regard sur toi te suffit amplement comme monnaie d’échange. Celui-là même qui, bien réveillé et reposé, brille même dans la lueur de la faible lumière, celle qui promet mille et une choses que vous vous êtes promis sans le dire vraiment durant les jours passés. Il te transmet sa chaleur à travers ses prunelles - comme si t’avais besoin d’aide pour ça. « That’s a good one. » d’autant que t’es collée à lui à présent, que tu papillonnes et flattes sa peau tatouée de tes baisers lascifs. « Oh that’s better. » tu souris en entendant ses appréciations, encore plus sous sa main à lui qui se balade sur toi. Pour une fois que c’est toi la plus couverte des deux. « Oh my... yes please this is the best move. » tu pinces tes lippes entre elles pour étouffer ton léger ricanement, ce petit rictus qui ne pourrait s’empêcher de déferler parce que tu le sais. T’exploites ses faiblesses, t’abuses de tes forces alors tu continues ton manège.
D’autant que Jordan a une main sur toi, directement à ton contact et ça te fait hausser les sourcils ; tu ne veux pas te laisser perturber par les frissons qui te parcourent, pas déjà, car ils seront nombreux ce soir, demain, les jours d’après. Mais c’est si agréable de sentir ton musicien si proche de toi. « How- » tu l’interromps, l’impolie. Mais de la meilleure des façons. Celle que Jordan comprendra. Tu fais moins la maligne mais ton visage est l’empreinte de la sincérité de tes mots. C’est percutant à quel point ça sonne si juste. You. Wanna. Kill. Me. C’est de sa faute. Tu as pris une sensibilité musicale par son contact. Il te fait découvrir, il te fait apprendre donc c’est de son fait à lui exclusivement si tu as le coeur qui bat bien trop fort. Ton joint dévoré précédemment te fait perdre un peu plus pied, ta transe étant belle, jouissive, plaisante. La retenue que t’avais tous les jours avant son départ commence à s’éfilocher. Tes barrières aussi. “Boy, have I told ya? You give it to me like no other guy we got that heat, yeah, like the summer and that's why I'm so glad I made you mine.” Jordan ne t’interrompt pas en retour ; au contraire, il te donne l’impression que tu l’épates. Que tu viens de lui faire la découverte de l’année. Ou alors ce sont les réactions des mots que tu chantonnes. Tes doigts glissent un peu sur lui mais tes yeux restent ancrés dans les siens. “So put your love on me, up on me oh, boy, I love it when you're touchin' me, holdin' me no way nobody put that thing on me up on me, like you do feel like a holiday, you know that I want it, babe.” And I know you want it too. Tu caresses sa mâchoire, tu penches la tête en arrière, tu te presses un peu plus contre lui ; tes gestes ne sont pas calculés, tu te laisses juste aller et c’est inédit que tu te montres aussi nu - de l’esprit et du coeur, en tout cas. “We're taking it slow whenever, wherever, we're lasting forever, my baby.” ta voix est douce, t’ignores si les notes y sont mais tu t’en contrefous ; t’es pas à un concours de chant. T’es portée par le moment en même temps que tu l’es dans les bras de Jordan. “And you're turning me on.” Tes cuisses se serrent autour de ses hanches, tes bras s’enroulent autour de son cou et tu n’opposes aucune résistance quand Jordan vient pêcher ta bouche qui n’attendait que cela. Avide, délicieuse, tu le grignotes, tu le savoure, tu lui donnes ce qu’il veut - ce que vous voulez tous les deux. Le musicien se détache pour regarder autour, tu ne comprends pas pourquoi avant de sentir que tes pieds sont sur ses fesses nues et tu souris légèrement ; Jordan s’inquiète du voisinage, naturellement. Toi, tu coinces ton visage contre sa joue, y déposant un millième baiser qui ne sera toujours pas suffisant pour rattraper le compte de tous ceux perdus pendant trois semaines. “I wanna make you feel alive.” tu chuchotes rien que pour lui, toujours pour lui, seulement pour lui. La mort est bien là où elle est ; loin de vous.
« Je suis pas encore familier avec les lieux… » Ce qui explique pourquoi Jordan ne bouge pas. Il stationne, à moitié entre dehors et dedans, à moitié entre la sécurité de l’intimité et la frivolité de la liberté. Ta langue passe sur tes lèvres alors que tu redresses ton tronc, ta poitrine jouant à cache cache avec ton vêtement long, ton emprise autour de lui ne laissant place à aucune faiblesse dans ta volonté à vouloir rester sagement (ou pas) aggripée à lui. « Guide moi… » oh Jordan. Tu le maudis silencieusement car sa voix soft est une des raisons qui fait que t’es aussi accrochée et mordue - même si t’adores ça. “Y a un mur juste là…” tu pointes un peu partout pour prouver ton point ; tu l’embrasses encore, t’es insasiable, t’as cumulé de la frustration et ça se ressent à présent. Encore plus avec tes membres engourdis de plénitude et de détente totale. “Y a le meuble à côté du seuil si tu recules…” t’énumères en laissant une traînée de baisers dans ton sillon, tes phalanges entourant ses mèches blondes alors que le frôlement de vos torses en plus de l’avoir contre ton bassin te procure de nouveaux frissons. “Canapé dedans et dehors…Ou les fauteuils...” on peut s’arranger absolument pour tout. T’es complètement perdue dans tes retrouvailles avec ses traits, sa forme, sa silhouette. “I also can offer guidance for your way inside me if needed.” le service civique, toujours - ah. Jordan connaît très bien le trajet en toi, que ce soit vers ton désir qui se fait cinglant en toi, que vers ton cœur qui s’emballe et qui ne cesse de taper fort dans sa cage. Tu n’es pas pieuse, y a rien de catholique dans ta tête qui défile. Tu souhaites juste qu’il fasse son choix parce qu’une fois posés, tu sais que vous allez vous retrouver. Pleinement et entièrement. T’en as envie, t’en as besoin, t’as tes reins qui te le rappellent et tu le démontres une nouvelle fois en l’embrassant avec impatience. Ta langue s'ajoute à la danse sensuelle, tu inclines sa tête pour approfondir votre étreinte, tes veines s’embrasant en conséquence - we’re lasting forever, my baby.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 21:18 | |
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“Boy, have I told ya? You give it to me like no other guy we got that heat, yeah, like the summer and that's why I'm so glad I made you mine.” La chanson est extra ordinaire. She is mine. Elle le confirme. Elle le chante. Elle l’a dit. Ca compte pour toi. “So put your love on me, up on me oh, boy, I love it when you're touchin' me, holdin' me no way nobody put that thing on me up on me, like you do feel like a holiday, you know that I want it, babe.” Et toi aussi tu le veux. “We’re taking it slow whenever, wherever, we're lasting forever, my baby.” Tu vas te plier à toutes ces demandes avec le plus grand plaisir. Elle est en train de te faire tourner la tête de la meilleure des façons. T’avais clairement pas besoin qu’elle y aille si fort vu tout le manque que tu as de ce côté là. “And you're turning me on.” Clairement elle sait quoi dire et faire car tu es aussi bien bien allumé à présent. Tu la serres fort contre toi, elle en fait de même. Tu te sens si bien d’être enfin entre ses cuisses. Elle ne s’inquiète pas une seconde de ta nudité à l’extérieur de sa maison. T’es rassuré après un coup d’oeil. “I wanna make you feel alive.” Tu trouves sa phrase intéressante car elle te fait réagir bien plus que tu ne l’aurais cru. Ces mots là sont subtilement choisi. Toi qui parle tout le temps de la mort, elle t’en éloigne avec brio. Vu comme tu es fièrement dressé, elle peut sentir que tu es plus que vivant.
“Y a un mur juste là…” Qu’elle te dit avant de reprendre tes lèvres. Tu as du coup pas le temps de te sentir stupide vu sa proposition. Elle est pressée. Tu comprends bien pourquoi. Tu es dans le même état qu’elle. “Y a le meuble à côté du seuil si tu recules…” Elle interrompt vos baisers pour donner un peu plus d’options car tu n’as pas encore bougé. Elle t’embrasse trop pour que tu te décides rapidement. Tu aimes plus que de raisons la sentir contre toi de la sorte. Elle s’occupe de tout ton visage et tu frissonnes un peu plus à chaque coup de langues qu’elle te donne. “Canapé dedans et dehors…Ou les fauteuils…” Tu as vraiment que l’embarras du choix. Il serait temps de bouger tes jambes Jordan. Should not forget the step. Oui parce que tu te l’es mangé en arrivant, et tu ne veux vraiment pas te la prendre alors que tu portes Birdie. “I also can offer guidance for your way inside me if needed.” Un grand sourire se forme sur tes lèvres alors que tu l’entends dire ces derniers mots.
Enfin tu te déplaces, l’oiseau qui te picore le visage alors que tu regardes où tu vas. Direction le canapé à l'intérieur. Tu l’allonges doucement, t’installant sur elle alors que tu reprends ses lèvres en même temps que tu lui ouvres son peignoir pour enfin libérer ses seins. Tu gémis doucement alors qu’une de tes mains s’occupe de sa poitrine. Tu es positif que tu pourrais rester à caresser et embrasser ses seins pour toute la nuit. Mais elle a bien fait comprendre qu’elle te voulait à l’intérieur d’elle. Ca aurait été plus vite si elle n’avait pas un short, ou est-ce un boxer? Sur elle. Tu laisses ton membre se frotter sur le tissu de son sous vêtements entre ses jambes. T’as peut être bien envie de la frustrer un tout petit peu… Car tu te mouves au dessus d’elle et y’a un sourire de petit con qui se forme peut être sur tes lèvres alors que tu vas emprisonner un de ses tétons., histoire de cacher ton sourire. My God I missed you.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 22:22 | |
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Y a le torrent dans tes membres, y a le brasier dans tes reins, t’as la frénésie qui ne s’estompe pas. Cette fois, plus rien ne vous empêche d’être indécent ensemble. Plus rien ne peut venir tordre la volonté commune que vous avez à vouloir vous rapprocher, fusionner, vous conquérir l’un et l’autre. Il n’y a plus de bienséance à respecter, il n’y a pas de troisième paire d’yeux, il n’y a plus de route à faire. Il n’y a pas de séparation prochaine, pas dans l’immédiat et ça te satisfait grandement. T’es fièvreuse et ton impatience augmente. Tu n’as pas les idées en place, tu sens que Jordan est dans le même état que toi et ça te rend dingue à présent. Oh non qu’il n’est plus fatigué. Si t’as su être sage pour respecter son état quand vous êtes arrivés, il est clair que tu ne l’es plus maintenant. Pas quand tu le charmes à outrance de la sorte. Quand tu perles ta langue sur chaque endroit que tu frôles, quand tu marques tes paumes contre ses muscles pour les sentir tendus et puissants sous toi. Tu redécouvres chaque courbe de son être, tu reconnectes avec son âme et ça fait du bien.
Tu ne proposes aucun endroit à l’étage ; tes indications démontrent un peu plus que tu n’as pas le loisir d’attendre que Jordan traverse la maison, qu’il gravit les escaliers et qu’il se trompe de porte de chambre. Le périmètre est restreint et la prise d’initiative du musicien pour se décider est plaisante. Y a Ariana qui se joue en fond dans vos oreilles ; Jordan voulait ta playlist, il en peut en avoir quelques idées, là. 'Cause every time I'm with you, I go into a zone and I remember all the places you wanna go. Tu humes légèrement alors que le blond bouge, t’as encore envie de chanter, les paroles au bout des lèvres, amplifiant un peu plus l’ambiance électrique et sensuelle qui vous entoure. Ton dos se déploie sur le canapé, tes cuisses quittant doucement leur pression autour de lui alors que tu l’observes avec attention. Jordan s’occupe de tes lippes, il s’occupe de ta poitrine - évidemment - et il prend soin aussi de te faire sentir qu’il est là, que son désir est aussi prenant que le tien. Tu lâches un râle quand il quitte tes lèvres pour ton sein, tes mains dans ses cheveux qui les tirent et les défait un peu plus de leur masse bordélique sans aucune once de remords. 'Cause every time I see you, I don't wanna behave. I'm tired of being patient, so let's pick up the pace. Take me all the way. “Ain't nobody gonna touch it, touch it, touch it.” Tu ne peux pas t’empêcher de fredonner malgré tout, la voix enrouée de ce foutu désir alors que t’es portée par la saveur du moment, par les gestes de Jordan sur toi, par tes propres sentiments qui rendent tout absolument plus sublime, décuplants les sensations en toi. Tu te rappelles vaguement que t’avais déjà chantonné cette chanson, à la pride, et t’aimerais bien qu’il mette ses doigts et sa bouche au même endroit qu’il avait flatté ce jour-là. 'Cause we both know what we want, so why don't we fall in love? “Baby, let's be in love.” tu murmures, tes yeux à moitié fermés, gigotant légèrement sous lui, ton intimité recouverte rencontrant le sien en pleine conscience des choses - vague sur vague qui t’envahit et qui te font échapper une douce plainte. “I’ve never made love on this couch.” une précision, un détail que t’émets en remontant son délicieux minois vers le tien pour pouvoir mordre sa lèvre inférieure. “Be my first.” tu joues de tes reins contre les siens alors que la voix d’Ariana se meurt dans les écouteurs, la tienne étant aussi légère que la brise qui s’inscrute dans le salon. Tu souhaites qu’il soit délicat. Qu’il soit lent. Que vous puissiez apprécier vos retrouvailles dans son entiéreté. Le loisir de le sentir en toi. Retrouver ces sensations ; t’as presque l’impression d’être vierge de nouveau vu que tu n’as jamais passé quasiment un mois sans relation. Vous aurez bien le temps d’être bestiaux si vous le souhaitez. Une main vole vers son membre, fragile et délicat, et tu râles doucement en le sentant contre toi. Qu’il te comble, qu’il t’envahisse, qu’il te prenne, tu te languis de son intrusion alors que tes lippes viennent capturer les siennes dans un geste avide et impatient.
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| | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 23:09 | |
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Tu reconnais la chanson qui commence ensuite et toi qui allait te débarrasser de l’écouteur à un moment donné - dans le feu de l’action - tu fais attention à bien le garder. Ca te fait légèrement louper l’intensité des gémissement de l’oiseau car la musique a un volume considérable dans ton oreille mais t’as pas besoin du son de Birdie pour voir et ressentir qu’elle perd déjà la tête. Don’t get off too fast babe. Que tu penses. “Ain’t nobody gonna touch it, touch it, touch it.” Dear. God. Mais voilà qu’elle se met à chanter et là c’est toi qui risque de décoller plus vite que ton ombre si elle continue. She knows. Bien sûr qu’elle sait Jordan. Tu mordilles un peu plus fort sa peau comme pour la punir de te faire autant réagir. “Baby, let's be in love.” Oh my god Bird… Elle se rend compte des mots qu’elle chante ? Et dans cette voix en plus. Car oui elle susurre presque à ton oreille t’as envie de la bouffer encore plus et comme tu as tes lèvres sur elle, tu redoubles tes baisers, tes coups de dents ici et là pendant qu’elle te décoiffe toujours plus. “I’ve never made love on this couch.” Le choix de mots n’entre pas dans l’oreille d’un sourd. « Me neither. » T’es con Jordan. I know. Elle te coupe de ton entreprise sur son torse nu pour s’en prendre à tes lèvres. “Be my first.” Tu captes clairement qu’elle y va bien de son côté aussi à continuer les frottements de vos entrejambes. Elle veut que tu ailles par là. Elle veut que vous fassiez l’amour. Tout autant de demandes de sa part qui te font tourner la tête plus que tu ne l’aurais cru. Elle prend les devants quand tu ne fais toujours rien pour trouver le chemin vers son intérieur. Ton tour de gémir plus fort. Tu apprécies de la sentir là de nouveau.
« I’m gonna need more guidance from my bird… » Tu mords doucement sa joue car quand tu dis que tu veux la manger, tu ne mens pas. Tes lèvres sur elle qui vont de paire avec l’intensité qu’elle met à te caresser. « Where are the condoms…? » Parce qu’il est toujours hors de question de faire sans. Tu sais pas si la miss est fertile. Tu sais pas si la miss a d’autres moyens de contraception que celui là. Tu sais pas si elle est en santé également. Tu ne prends pas de risque à ce niveau là, tu aimes avoir le contrôle. T’es en train doucement de réaliser que vous devriez peut être avoir ce genre de conversation à présent que vous deux c’est du sérieux. I don't mind wearing a condom forever. T'as bien trop l'habitude des relations sexuelles uniquement dans cette configuration là. T'as jamais connu autre chose. Y'a peut être un peu du fait que tu ne saurais pas comment entamer ce genre de conversation. « …Please take off these underwear while I go grab them. » Tu fais dans la gestion du temps Jordan. T’as envie de rapidement pouvoir t’insérer en elle quand tu seras prêt à le faire. Ces sous vêtements. Ils sont totalement des indésirables là, ils gênent. Tu as toujours tes lèvres sur elle au milieu de tes questions, tes demandes. Tu mords, tu embrasses, tu chéris. Ton écouteur s’est envolé quelque part sur le canapé, mais depuis qu'elle a ses mains sur toi t'as perdu un peu plus la tête. Tu ne faisais plus attention aux paroles. Tu te redresses légèrement pour la regarder avec une nouvelle question, sérieuse en plus. « Are underwear mandatory in the city of Elimbah? » Parce que tu te souviens très bien que la veille elle en avait aussi sur elle. Tu ne saurais même pas dire quand remonte la dernière fois que tu l’as vu avec des sous vêtements. Maybe never? Elle t’a toujours surpris très agréablement avec ses opérations commado que tu aimes énormément. Son boxer là, il te gène carrément. Elle t’a mal habitué. T’es surtout flemmard Jordan. I’m not. Tu prends la peine de ne pas aller la toucher franchement là bas. Juste vos frottements. Tu veux la frustrer elle comme pour la punir d'avoir mis ce vêtement entre vous quand toi t'es nu pour une fois. Mais tu prends cher aussi niveau frustration car tu veux te glisser en elle. The wait will be worth it. Tu ne vas rien gâcher de vos retrouvailles…
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| | | | (#)Jeu 22 Juil 2021 - 7:05 | |
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« Me neither. » si tu n’avais pas le feu dans les entrailles et les idées perdues dans les sensations, tu aurais sûrement éclaté de rire. T’aurais souligné encore une fois la bêtise de ses mots, he’s a fool et que ce n’est pas sympa de se moquer de toi. Mais l’oiseau a le souffle coupé, on a trouvé un moyen pour la faire taire temporairement et elle n’est foutue que de gémir et de soupirer alors que Jordan embrasse et Jordan mord et le bien que ça te fait ne devrait même pas être permis. Tu tournes autour du pot avec les mots, tu évoques, tu fais de lourds sous-entendus mais sans jamais rien dire ni assumer. Ton esprit est focalisé sur ce que tu connais le mieux, le physique, l’appel des corps en symbiose et à cet instant T, tu t’y prélasses en toute force et volonté. « I’m gonna need more guidance from my bird… » C’est appliqué, c’est doux tout en étant intense, c’est délicat tout en état bestial. C’est cruellement familier mais c’est aussi différent ; l’air entre vous est chargé de tout ce qui a été dit en plus, tout ce qui a pu te rendre nerveuse de ces retrouvailles. Tu as été extra tendre dans tes messages, dans tes paroles car la distance avait aidé ; tes pas entre vous sont incertains mais pour une fois, tu n’étouffes pas tout ce que tu peux ressentir. Tu n’as plus le contrôle sur tes sentiments, la maîtrise que t’avais eu découlant d’une volonté sans faille a disparu au moment même où Jordan t’avait laissé sur ces mots. Tu n’as pas eu l’occasion de fuir car il partait déjà, comme s’il aurait pu prévoir les devants avant même de t’en laisser l’occasion. Mais forcer de constater que t’es aussi perdue que lui à présent ; la distance et la séparation forcée auront eu un bénéfice pour vous que tu n’aurais pas soupçonné. « Where are the condoms…? » righty right. Tes phalanges opérant toujours de légers mouvements sur son membre, tes dents mordent la pulpe de ta lèvre en essayant de te rappeler de ce détail. Ce qui est compliqué quand tu ne vois que lui au-dessus de toi, la voix engorgée de désir et les prunelles portées par les mêmes sensations que les tiennes, trépidantes et enflammées alors que vos peaux se réchauffent un peu plus l’un contre l’autre. T’y as pensé, t’en as, quelque part et il faudrait que tu fasses un effort pour te souvenir où tu les as mis. “Table de chevet de ma chambre… Ou dans mon sac.” celui qui trône gentiment dans la cuisine, que t’as balancé sans aucune délicatesse sur le plan de travail en arrivant. Les protestations de devoir se lever pour aller les chercher te poussent à grimacer, tu n’as aucune envie de quitter votre cocon ; au contraire, tu n’attends que Jordan pour le renforcer, te faire sentir pleinement à la maison, satisfaite et répue, comblée et extasiée. « …Please take off these underwear while I go grab them. » Une demande contre ton épiderme que Jordan continue à torturer, provoquant des ondes de choc partout en toi, tes soupirs n’ayant d’égal ton coeur vacillant et trempé d’amour à chaque battement.
« Are underwear mandatory in the city of Elimbah? » Ta main dérive son exploration sur la courbe de sa hanche, abandonnant ainsi sa virilité redressée, alors que Jordan t’interroge sérieusement ; un léger gloussement te fait frémir une nouvelle fois, une cuisse resserrant l’étreinte de vos bassins pour que la torture continue à double sens. “You’re upset about it, aren’t you ?” la taquinerie se faisant office de messager à travers tes lippes redressées, tu brilles de malice en étant fière de pouvoir percer à jour ce qui provoque autant de contrariété chez Jordan à ce moment-là. Ton dos se cambre et tu te courbes délicieusement pour le distraire, la pointe de tes seins venant frôler son torse alors que tu te redresses sur tes avant bras pour avancer ta bouche avide contre la sienne. “Vois-le comme un cadeau à déballer. Un cadeau de bienvenue.” T’épouses la courbe de ses lèvres avec les tiennes dans un mouvement charnel et amoureux, espérant que Jordan prendra plaisir à la vision que tu lui donnes. Pour une fois que c’est lui qui est complètement dénudé, tu t’amuses alors qu’il cherche à faire traîner en longueur le moment où il viendra immanquablement flatter ton intimité. Est-ce qu’il est en train de te punir ? De te faire languir pour protester contre la présence scandaleuse de ton vêtement ? Le problème est que tu aimes bien trop cette idée ; i like them savage. Et il n’y a rien de plus beau que de voir Jordan perdre le contrôle.
“Be careful of the step while you go.” Jordan qui s’en va quérir ce qu’il faut, t’es têtue et vilaine en ôtant seulement les pans de ton kimono mais pas le reste. Tu t’étires comme un chat sur le canapé pour détendre tes muscles qui le sont déjà, la légère fraîcheur redressant tes poils et ta poitrine alors que ta main s’en va machinalement contre ta cuisse, pour gratter, caresser, délaisser un peu de frustration - même si ça ne fait rien à part l’effet inverse et tu t’enfonces un peu plus. Quand le musicien revient, ton sourire n’a d’égal à la fierté que t’éprouves de ne pas avoir répondu à sa demande, comme une enfant satisfaite de pouvoir défier les premières règles qu’on lui impose. “I think I forgot to do something but I can’t remember what is it.” you’re a bitch et t’en joues alors que tes jambes se replient, les bras au-dessus de ta tête, complètement offerte à lui. Come on, babe, open me.
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| | | | (#)Jeu 22 Juil 2021 - 12:49 | |
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Elle n’a pas l’air très concentrée dans ses réflexions et tu te dis que tu aurais dû les prendre, les capotes, avant d’aller à sa rencontre. C’était sûr que ça allait se terminer comme ça. Commencer. Ouais. Car c’est le début des vacances dans sa ville natale. Tu n’auras jamais pris autant de jours de congés consécutifs. Des journées à 2h de boulot, c’est des congés pour toi. “Table de chevet de ma chambre… Ou dans mon sac.” T’es en train de te dire que tu en as peut être dans ton sac aussi. Tu ne les as pas touché, tu ne les as pas cherché de tout ton séjour en Amérique, ils ne devraient pas avoir bougé du coup. Tu iras voir dans son sac, et dans le tiens qui est aussi au Rez de chaussé car tu ne t’es pas encore installé dans sa maison. “You’re upset about it, aren’t you ?” Elle a bien compris, t'as pas trop cherché à le cacher non plus avec tes répétitions du dit 'problème" de sous vêtements. Pour toutes réponses tu lui donnes un sourire malicieux. Pas envie de la satisfaire d’une réponse claire quand ça l’amuse. I love that bad bitch. On sait Jordan on sait. T’as de la chance qu’elle se soit défait de ton intimité car tu es moins faible comme ça. Sa posture en reste très indécente et vraiment magnifique à tes yeux. I’m gonna eat her. Yup Jordan. Ca y est. Tu vas pouvoir le faire vraiment. Va chercher les préservatifs au lieu de la dévorer du regard. “Vois-le comme un cadeau à déballer. Un cadeau de bienvenue.” Elle te sort de ta contemplation avec sa phrase et tu dois avouer que sa vision des choses te plaît. Elle a réussi à tourner ça en la faveur du bien public. En ta faveur oui. Toi qui est si doué pour voir le bon dans toutes les situations, c’est elle qui l’a fait cette fois ci. My Bird is smart. Elle veut que ton bien. Elle veut aussi le sien. Le votre. Elle veut juste enfin te sentir en elle, que vous vous unissiez. Elle l’a bien exprimé plusieurs fois ce souhait même s’il n’y avait aucunement besoin de le préciser. Vos corps s’appellent mutuellement depuis des semaines par delà les océans. Tu vas doucement l’embrasser, écrasant ton entrejambe au sien l’air de rien. Histoire de la tease une nouvelle fois. Y’en a vraiment pas un pour rattraper l’autre. Et puis tu te défais pour aller choper les préservatifs car c’est important là. “Be careful of the step while you go.” T’es en train de regarder un peu partout pour voir où se trouve son sac, tu fais attention à la marche grâce à son avertissement. Elle a bien fait parce que tu avais déjà oublié et tu ne regardes pas forcément où tu mets tes pieds là. Le plus simple en premier c’est de mettre la main sur les préservatif. Tu fonces vers ton sac que tu vois en premier. Tu espères qu'’ils se trouvent là où tu as dû les mettre y'a trois semaines de ça. T’as de la chance t’en trouves deux en un temps record. Tu ranges vraiment bien tes affaires t’es super fier de ton toi du passé.
Quand tu reviens vers le canapé en oubliant la marche - mais sans tomber - tu plisses les yeux alors qu’elle n’a pas exaucé ta demande. “I think I forgot to do something but I can’t remember what is it.” Tu vas poser les préservatifs sur l’accoudoir alors que tu la tires doucement par les jambes, la tournant sur le canapé tout en lui enlevant son boxer avec une agilité déconcertante. T’as fait ça toute ta vie Jordan ? I’m very skilled when I’m thirsty. Et c’est ta main qui va se glisser au plus creux de son être alors que tu verrouilles tes yeux aux siens. No more time to waste. Vous vous êtes assez allumés chacun votre tour, tu lui donnes le dernier mot en cédant à sa demande de déballage. Elle est si humide tu sens ton érection se gonfler encore plus. « Someone is very much in need… » Tout comme toi Jordan. Tu retournes l’embrasser entre deux morsures car ton envie de la manger est plus que jamais là. Ta respiration qui s’accélère en même temps que tes doigts en elle et autant t’as envie de prendre le temps, autant tu n’en peux plus là… Tu vas enfiler un préservatif pour enfin te glisser en elle sans véritablement lui laisser le choix dans tes actions car tu la domines toujours sur ce canapé. L’air sur ton visage quand sa chaleur se mélange à toi est sans surprise. Tu vrilles, tu gémis doucement. T’as chaud en même temps que tu frissonnes. Il te faut quelques longues secondes avant de retrouver un tant soit peu tes esprits au milieu de tes vas et viens. Tu vas coller ton visage au sien pour la couvrir de baiser encore et encore. Tu perds ton latin mais pas tes mains sur elle que tu touches bien fermement comme pour te rassurer qu’elle est bien là. Que ce n’est pas un rêve. Tu pinces doucement ses cuisses à force de la serrer de tes mains. De tes lèvres ne sortent que des sons de pure contentement au milieu des baisers que tu lui fais à tous les instants. Tes dents, tes lèvres, ta langue toujours sur sa peau. Son visage, sa poitrine, ses épaules, son cou… Y’a absolument tout de comestible chez ton oiseau et tu sais que tu ne seras pas rassasié de si tôt.
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| | | | (#)Jeu 22 Juil 2021 - 17:32 | |
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Depuis quand mon être frémit d’impatience à ce point ? De quelle magie est capable celui que je caresse de mes prunelles bleutées pour qu’il réussisse à me rendre aussi accro ? Si je suis facilement ménable sous l’emprise de la luxure, il est certain que l’attachement et la dépendance dont je fais preuve et que je découvre doucement mais sûrement après des jours de torture sont une nouveauté pour moi. Mes doigts n’ont été que de pâles copies, des tentatives désespérées de le remplacer, de conquérir mon propre corps, mes courbes que je connais pourtant par coeur. Il y a ma marque de naissance sur mon bras gauche, il y a les fines cicatrices sur mes mains et mes avants bras, vestiges de la gamine qui se prenaient des branches et des griffes et des écorces d’arbre à foison. Je sais où appuyer, je sais ce qui me rend dingue mais il y avait un goût d’insatisfaction dans mes manœuvres. Mon corps me trahit et mes propres délicatesses ne sont pas celles de Jordan et c’est celles-là que je réclamais. Que je voulais. Ne pas savoir ce qu’il allait faire. Pouvoir m’abreuver de son regard qui me donne toutes les cartes en main pour me sentir incroyablement forte. Je suis intimement convaincue que Jordan pourrait m’engloutir entièrement ; les sensations qu’il ressent, j’ai les mêmes qui persistent, qui coulent et qui frappent. Mon air est mutin quand Jordan apparaît et qu’il plisse les yeux. J’ai pas obéi. J’ai pas fait ce qu’il a demandé.
J’ai pas envie de lui faciliter la vie car il n’a pas facilité la mienne en partant. Il a créé le manque et je n’ai pu que contempler le résultat de notre séparation après avoir été des jours et des semaines quasiment ensemble tout le temps. Depuis la Pride qui a donné une nouvelle dimension, et le pseudo romantique que Jordan a été au moment de son départ en fut une autre, dramatique et sensationnel à souhait, pire d’un rom-com mielleux - mais j’en ai rien à faire car c’est mon rom-com et que forcément, ça a plus de valeur que tous les autres réunis. Mais je cède (encore) facilement sous les mains de Jordan qui m’agrippent avec force pour me débarrasser de cette gêne de l’extrême alors que je retiens mon soupir en le regardant faire ; l’observer prendre les rênes est une distraction en soi, my very polite lover becoming that sexy beast under the sheets. « Someone is very much in need… » il enfouit, il explore, il ne peut que voir à quel point. Un fin filet sort de mes lèvres, pauvre pantin que je suis sous ses doigts de musicien aguerri, les cordes devenant de plus en plus tendus et les notes étant coupées dans leur étui. “You think ?” Jordan fait le malin et je réussis à extraire cette simple question rhétorique alors que sa bouche mordille mon épiderme, se délectant de ma personne sans intention d'arrêter ; je ne le lui permettrai pas alors que mes membres le retiennent contre moi, le bourreau se faisant aussi prisonnier.
Mes doigts s’enfoncent dans ses épaules en même temps qu’il vient (enfin, bordel) en moi, profitant de l’image qu’il me donne et des sensations que son intrusion procure. Mon être se cambre, épousant la forme du sien, perdant en moi mais solide contre moi. Je le retiens même s’il est clair que Jordan n’a aucune intention de fuir - il n’a jamais fui, lui. Il a toujours été courageux, franc, honnête et sincère. Tout ce que je n’ai jamais connu dans ma précédente et unique vraie relation. Ses digitales serrent mes cuisses alors que les miens s’en vont pianoter et caresser les muscles de son dos, alors que nos visages sont si proches que je pourrai lui murmurer le secret le plus sordide de l’univers. I might be in love with you. Je n'ai pas besoin de le dire. Je n'ai pas ce cran là. Mais j'ai l'intime conviction que Jordan le sait. Il peut sentir à quel point ma tendresse envers lui dépasse tout ce qu’on aurait pu prévoir - déjà que ce n’était pas grand chose, ce qu’il se passe maintenant l’est encore moins. Il n’y a que nos râles et nos soupirs qui font office de rythme musical, le rythme plus langoureux me convenant parfaitement ; je compte profiter de ces retrouvailles, de sa façon de flatter chaque parcelle de ma personne, de savoir comment me manipuler et me manier. C’est doux et sensuel, différent de la dernière fois et mon contentement n’en est que décuplé alors que les vagues commencent à se faire puissantes en moins, déferlant comme une tornade qui m’avait cruellement manqué. J’attrape ses lippes, je laisse ma langue caresser la sienne, j’enroule une jambe autour de son bassin dans un gémissement plaintif. “So close, babe, so- so close, please.” Nous aurons le temps de prendre le temps. Nous aurons l’occasion de faire durer les choses plus tard. Les coups sont lents et séduisants, et il suffit de les cumuler avec l’attente des jours passés pour que je veux déjà défaillir. Que je me sente déjà perdre pied mais que je n’y suis pas encore ; je gémis un peu plus fort, je me courbe et me cambre un peu plus, je me plains dans mes murmures et j’enfonce mes ongles dans la chair de son dos ; love me now, Jordan, please.
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| | | | (#)Jeu 22 Juil 2021 - 18:23 | |
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“You think ?” L’oiseau qui veut le dernier mot et tu lui laisses. T’es bien trop occupé à retrouver son corps. Non pas que tu te lasses de vos joutes verbales mais y’a une priorité différente là surtout quand tu sens combien elle est prête à t’accueillir. Tu n’attends pas plus longtemps pour te fondre en elle. Vous êtes comme deux cons à vous serrer si fort. Vous avez tellement besoin de vous sentir physiquement bien présent là. Le manque a été vraiment grand. Surtout que votre relation s’est élevé à un nouveau rang pendant ces trois semaines. Vous avez dit tant de choses nouvelles. Vous vous êtes dévoilé encore plus. Bien plus. Vous êtes comme dans une transe maintenant que vos corps communient enfin. Les paroles sont loins, tout est dans les gestes, les baisers, les frissons, les coups de reins. Tes yeux qui cherchent carrément à lire le fond de son âme alors que tu es en train de reprendre vie d’être entre ses cuisses. Tu crains que tu n’atteignes l’orgasme en un temps record vu votre historiques à tous les deux mais… Ce coup ci, c’est justement bien plus qu’un coup. Y’a toute une dimension émotionnelle qui n’était pas à ce niveau là avant. Sans parler du manque de vos chaires respectives. Si tu fermes les yeux c’est pour essayer de ralentir la montée en toi. “So close, babe, so- so close, please.” Mais voilà qu’elle a comme lu tes pensées. Tu rouvres les yeux et tu n’as même pas besoin d’aller plus intensément car tu étais déjà au bord du gouffre par votre simple rythme langoureux. Une de tes mains qui va descendre sur le creux de son être pour lui donner le max de sensations. Elle se cambre, tu te sens arriver au même moment et tu laisses tout te traverser. Ton visage collé au sien alors que tu lui assènes quelques derniers coups de reins. Ta main qui aide à sa torture jusqu’au bout et puis tu relâches tout. Ton corps qui s’effondre sur elle. T’es encore en train de sentir les frissons en toi. Ca faisait très très très longtemps que tu n’avais pas ressenti cette intensité avec quelqu’un… Peut être même que c’est la première fois… Tu chasses bien vite ces pensées de ta tête, n’ayant pas envie de te sentir triste d’avoir éventuellement oublié comment c’était avec Rosa. Ca fait dix ans, c’est normal que tu ne saches plus. Y’a pas besoin de comparer Jordan. Vis ton moment avec Birdie car il faut vivre dans le présent. Tu le sais. Tu déposes un doux baiser sur sa mâchoire alors que tu la regardes avec un sourire sur les lèvres. T’as plein de conneries qui te traversent la tête mais tu es plus intelligent que ça là, tu décides de laisser le moment flotter dans l’air encore. L’électricité est palpable. T’as pas envie de t’enlever de cette position. T’as encore peur qu’elle s’échappe Jordan ? Nah. T’as juste pas encore totalement rechargé tes batteries du corps de l’oiseau contre le tiens.
Mais t’es coupé dans ton moment de sérénité absolu par la sonnerie de ton téléphone qui retentit. C’est un rappel. Pas un coup de fil. Tu reconnais. Tu gémis doucement comme un enfant à qui on retire son jouet mais tu ne bouges pas pour autant. T’es juste dérangé par la sonnerie qui sort de l’étage. Ca te donne une idée de la localisation de ton téléphone. « C’est un rappel… Je m’en fou. » Ouh. Jordan ? Première fois que tu laisses délibérément ton emploi du temps être chamboulé par la présence de l’oiseau. Le truc c’est que tu viens de te souvenir de quoi il s’agissait vu l’heure et le jour. C’est pas le boulot. Tes lèvres qui sont toujours sur la peau de Birdie. Tu te dis que ton téléphone va bien finir par s’arrêter à un moment non ? T’en sais rien en fait, t’as toujours été docile sur tes rappels à les éteindre rapidement. « Who needs therapy when I got you next to me? » Que tu dis en chantonnant ça dans l’air de Physical de Dua Lipa. T’es un petit rigolo Jordan. Shut it, that was great. Ouais j’avoue. T'es une vraie comédie musicale vivante. Mais ce qui est GREAT surtout là c’est que ton corps tout entier est au plus proche de son corps tout entier. Tu te sens totalement en harmonie avec elle. Tu ne veux pas t’en décrocher. Pas tout de suite. Please.
Win : l'alarme s'arrêtera après 5min So close : l'alarme s'arrêtera après 15 min Fail : l'alarme va monter en volume après 5min et continuer pour 15 de plus en plus fort
Dernière édition par Jordan Fisher le Jeu 22 Juil 2021 - 18:36, édité 2 fois |
| | | | | | | | If you're happy, don't let it go - JorBir |
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